Life is but a journey, an ephemeral and fragile one. Now it simply became bloody as well...
Jericho est de retour, et ses sbires ont remis en marche l’entreprise d’esclavagisme qu’ils semblaient avoir mis en veilleuse depuis quelques mois. N’importe quel survivant est une cible potentielle pour le regroupement de pillards et Dieu seul sait ce qui arrive alors aux pauvres âmes qui en sont les victimes… Le seul espoir des survivants de la ville s’incarne dans le maître d’orchestre de la seule victoire que les rescapés de Salem ont arraché à Jericho, Azad Kamrane. C’est-à-dire, l’homme derrière la chute de la Marion et qui a dans le même temps remis en liberté les esclaves que les Raiders avaient si durement rassemblés à l’intérieur des murs de la prison. L’Iranien a poursuivi les préparations de la lutte à venir, mais au-delà des questions concrètes qu’il lui faut considérer, plusieurs interrogations restent sans réponse. Qui sont-ils réellement? Que veulent-ils? Où sont-ils? Que font-ils de leurs victimes? Combien de personnes suivent Jericho? Autant d’inquiétudes auxquelles le leader des Offsprings devra très rapidement trouver des réponses…
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A savoir
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#
Contexte
De l'humanité il ne reste presque plus rien. Derniers survivants face à la menace zombie, vous avez combattu la peur, la maladie et la misère. Six années se sont écoulées, combien de jours tiendrez-vous encore ? Nous sommes en 2017 et le monde a été plongé dans le chaos suite à une catastrophe biologique. Que vous veniez de Central City ou de contrées plus éloignées, votre course effrénée pour la survie vous a mené jusqu'à Salem, dans l'Oregon. L’accalmie qui régnait dans les derniers mois s’est terminé dans le sang et la douleur avec le retour des Raiders qui sont sortis de l’ombre dans laquelle ils se trouvaient. Ils ont depuis repris leur entreprise sombre, et tout être humain encore dans les environs, homme, femme et enfant sont à risque d’être faits prisonniers comme ils l’ont fait lors de leur arrivée en mars. Dans ce monde totalement changé, le danger rôde à chaque instant, et l’avenir de tous ceux se trouvant dans Salem est voilé d’une incertitude qui n’est pas près de se lever. Face à un tel raz-de-marée de sauvagerie, la survie de tous dépendra des actions individuelles de chacun... Et vous, qu'attendez vous pour nous rejoindre ?
Remerciements
Nous tenions à remercier le forum Never-Utopia grâce à qui le forum peut aujourd'hui connaître un renouveau. Un merci aussi à nos joueurs pour leur patience et leur soutien après tout ce temps. ZA n'est pas encore parfait, mais grâce à vous il vit. Un merci également aux administrateurs qui donnent de leur temps et ne cessent d'essayer d'améliorer le forum et le confort des joueurs...

Longue vie à ZA, et que la passion de l'écriture continue de nous lier, tous ensemble, dans cet univers.
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 [Scénario] Wild Alliances

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Alexia Stevens
Alexia Stevens
→ 14 Juin 2017
→ 14h52
→ 1980 Commercial St SE, Salem,
A proximité de Zenithside.



La tension commençait à monter dans les rangs des Offsprings, inexorablement. Le survivant recherché depuis des jours avait été localisé en très mauvaise posture et un petit commando de suicidaires avait été dépêché sur place pour tenter de lui venir en aide. Alexia pestait de rage. Azad n'avait pas voulu qu'elle et Nathan se rendent sur place pour tenter d'aider, non... Il avait préféré les envoyer surveiller les alentours de Zenithside. Semblerait-il que quelques Offsprings avaient aperçu du mouvement dans le coin, du mouvement assez inquiétant. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien en avoir à foutre sans déconner ? Elle avait pas été élue babysitter attitrée de tous les survivants du coin, ils n'avaient qu'à se débrouiller un peu par eux-mêmes tous ces imbéciles.

« Tu devrais respirer un peu, juste pour essayer, on dirait que t'es en train de te transformer là. »

La tentative d'humour dédramatisant de Nathan n'avait évidemment pas eu l'effet escompté sur l'humeur enragée de la demoiselle qui lui faisait face, et il ne reçut pour réponse qu'un regard noir à donner envie à un zombie de retourner de lui même s'enterrer sans faire d'histoire.

« Si c'est pour dire de la merde autant que tu la boucles ! Sans déconner, qu'est-ce qu'on fout là sur ce toit !? Tu crois pas qu'on aurait un peu plus d'utilité ailleurs ? Putain quoi ! Ça doit bien faire trois heures qu'on poireaute comme des cons ! »

Le même florilège d'insanités s'échappait en continu de la bouche de cette demoiselle qui en perdait tout son charme... et en plus elle n'en avait carrément rien à faire. Nathan l'observait, son petit sourire narquois en coin. Dieu qu'elle aurait aimé lui arracher les lèvres et.. les lui recoudre sur le front. Ça c'était le genre de truc bien dégueulasse qui aurait pu la détendre et même peut être lui arracher un rictus.

« N'importe quoi... Si ça fait une demie-heure qu'on est là c'est déjà beau. T'as vraiment aucune patience Stevens, c'est mignon comme tout.
- Si tu fermes pas ta gueule, tu risques de tomber accidentellement du toit et finir en plat à emporter pour zombie affamé. »

La menace était lancée, cinglante et pleine de rage à peine contenue, comme d'habitude. Alexia grogna en se levant, commençant à tourner tout autour de l'espace qu'ils occupaient, quasi semblable à une bête en cage en cet instant. Une foutue demie heure qu'ils étaient plantés sur le toit d'un ancien marchand, le Daynight Donuts. Quel nom de merde sans déconner, songea la caractérielle brune. Tout était prétexte à râler pour elle désormais, puisqu'ils étaient là depuis une demie heure et pas l'ombre même d'un zombie à l'horizon... Ah si, ils avaient vu passer un chat. Un putain de chat particulièrement laid. Elle avait même hésité à le flinguer, histoire d'abréger sa vie de chat moche. Mais gaspiller une balle pour ça, elle n'en avait même pas eu la foi.

« Je vais virer cinglée si ça continue.
- Je veux pas te faire de peine mais je crois que c'est trop tard ! » lui répondit le grand brun avec un sourire sarcastique.

Elle allait lui éclater sa jolie gueule et se faire des peintures de guerre avec son sang. Alexia, sur cette pensée, se retourna d'un geste sec vers son acolyte avec l'envie irrésistible de lui refaire le portrait... mais se stoppa dans son mouvement. Des coups de feu. Des coups de feu retentissaient en provenance de l'Est. Nathan sursauta, alerté lui aussi par ce bruit parfaitement reconnaissable, et tout deux s'accroupirent par réflexe. Un trou provoqué certainement par l'impact d'un gros calibre sur la bordure peu épaisse du toit leur permettait d'observer la rue avec une discrétion plus poussée que leurs précédentes discussions résonnantes. Les tirs se rapprochaient petit à petit.. jusqu'à ce qu'ils cessent complètement, laissant place à des rires gras qui résonnaient dans la rue vide. Observant d'un œil curieux la scène, Alexia et Nathan eurent le déplaisir d'apercevoir deux  personnages un peu étrange. L'un, grand blond costaud, s'amusait à faire tourner une machette dans sa main, tandis que le second plus petit et plus jeune rechargeait son AK-47 en l'écoutant et en riant.

« Mec, je te jure, t'aurais vu leur gueule ! Aaaaaaaah nooooon pitiééééééé ne me tuez pas ! Touchez pas à mes enfants pitié ! A crever de rire !
- J'imagine ! C'était une belle prise, 3 enfants, cinq adultes, ça faisait un moment qu'on avait pas fait aussi bien ! Le patron va être content ! »

Leur discussion ne laissait que peu de place au doute... il s'agissait bien de Raiders. Alexia sentit son sang commencer à bouillir dans ses veines. Elle allait les crever ses fumiers. Non mieux, elle allait les chopper, les ramener au QG et les torturer pour qu'ils révèlent tous leurs secrets... puis elle les saignerait comme des porcs. Nathan jeta un regard inquiet vers sa partenaire tout en continuant d'observer la scène. Il n'avait pas besoin qu'elle parle, il était presque capable de deviner ce qu'elle pensait rien qu'en la regardant quelques micro-secondes. Ils commençaient à bien se connaître après tout, et leur duo quoique explosif avait toujours fait ses preuves.

« Ça me rappelle un peu tu sais, la planque qu'on a débusqué là, au sud de la ville. Trois fois, trois putain de fois on a choppé des gens là bas ! T'imagine un peu comme ils sont cons ?
- Tu t'fous d'ma gueule Hank c'est pas possible !
- Mais non j'te jure ! Ils sont débiles, tu m'étonnes qu'on les choppe si facilement. Ca commence à faire un paquet ! »

Avec le boucan qu'ils avaient fait et qu'ils continuaient de faire, ils allaient finir par rameuter tous les zombies de la ville. Alexia adressa un regard décidé à Nathan. Ils étaient trop proches de Zenithside, ils allaient devoir se débarrasser d'eux... mais l'idée d'essayer de les chopper vivants la faisait saliver. Enfin, ramener les deux serait purement inutile. Un seul suffirait, et la mort de son compagnon lui donnerait peut être le goût de dévoiler ses secrets... L'avis de Nathan sur la question n'était clairement pas si tranché. Peut être que simplement espérer qu'ils allaient se faire dévorer serait une meilleure solution que commencer à échanger des tirs croisés en pleine rue. D'un geste de main, il intima à sa partenaire de rester calme. Ils ignoraient le nombre de raiders qui rôdaient dans le coin, peut être n'étaient-ils pas seul et dans ce cas là mieux valait attendre que d'attaquer. Alexia et lui ne possédaient que leurs glocks personnels et une dizaine de balles chacun, pas de quoi déclarer une guerre ouverte à un porteur de fusil automatique.

Arme au poing, la caractérielle brune acquiesça tout en bouillonnant littéralement de rage intérieurement. Ce n'était que le regard inquiet de Nathan qui la retenait de se relever et canarder ces fumiers.

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Charlie Smith
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Wild Alliances

Le chasseur était sur une piste. Mon alter ego remontait la rue, ombre parmi la pénombre que les couverts environnants. Je me glisse furtivement d’un endroit à l’autre avec l’aisance de la pratique. Wolfie me suit à quelques pas en arrière, couvrant mon flanc droit. Le côté gauche est sécuritaire. C’est ma louve, ma sœur d’âme et de souffrance qui surveille mes arrières. Estelle est la seule personne qui me reste au monde. La seule qui me suit et qui semble maintenant m’apprécier. Tous ceux du groupe se sont enfuis comme des lâches. Laissant en pâtures William et Aya pour couvrir leur retraite. Je n’ai rien pu faire pour mon frère. Repenser à lui me fait rager, trembler de fureur. Dans mes veines de l’adrénaline pure court et gonfle mes muscles maigres. Le chasseur qui a le dominion de mon corps hurle sa joie dans mon subconscient. L’humain est prisonnier depuis si longtemps au fin fond de moi, dans une cage à pleurer devant les actes immondes du monstre qui me contrôle. Il y a quinze minutes de ça, nous avons vu une famille se faire capturer par les esclavagistes. Je pouvais toucher ma vengeance, notre vengeance, du bout de mes doigts. Mais une main apaisante, qui me fit penser à mon étoile, s’était déposée sur mon épaule frêle. Je savais que la situation rageait autant, sinon plus, Estelle que moi. Mais elle voulait continuer à vivre et pas charger comme moi. Des fois le chasseur fait des actions insensées. Mais ma louve veille au grain. Nous sommes à cet instant de notre vie des piliers en béton. Que l’on peut se soutenir l’un et l’autre. Nous avons regardé, impuissant et à deux doigts de compromettre notre sécurité, les agresseurs embarquer la famille suppliante dans un camion. Ensuite le véhicule est parti laissant deux binômes sur le terrain. D’un commun accord, nous avons suivi le duo qui se dirigeait vers l’ouest. Les deux connards ne savaient pas que leur destin était scellé, que la mort était sur leurs talons.

Je slalome d’une carcasse de voiture rouillée à la devanture d’un magasin pillé. Je montre la voie à ma louve. Je sais que la discrétion n’est pas sa tasse de thé. Mais elle est bien meilleure que la majorité des gens avec qui j’ai pisté auparavant. Je fais des pets bonds, mes pieds effleurent à peine le sol. Je regarde toujours où je vais mettre les pieds. Du verre cassé, des détritus ou bien tout bonnement un trou peut mettre fin à la traque de façon définitive. Mais papi m’a bien formée et survivre pendant 6 ans de cette manière m’a appris à personnaliser ma démarche silencieuse. Je suis comme un esprit translucide, immatériel. Un fils de la Faucheuse qui a décidé que celui avec le AK-47 sera le tribut versé à la mort aujourd’hui. Je m’accroupis pour tenir mon centre de gravité bas et aussi me fondre plus rapidement à couvert si l’un des zigotos décide de regarder derrière.

Ben non ils ne vont pas regarder espèce de demeuré. Ils sont trop occupés à se mesurer la bitte et à faire les caves. BAISSE-TOI!

Une rafale d’arme automatique se perd dans les hauteurs, essayant surement de faire sortir des gens cachés de la dernière rafle. Je ne peux m’empêcher de sourire. Enfin de faire un rictus à la con. Mon côté droit ne peut plus sourire depuis mon adolescence. Je me dis qu’ils vont faire rappliquer surement des charognards avec leurs conneries. Mais Wolfie, étendu près de ma louve, ne grogne pas. Son odorat est notre meilleure alarme pour tout ce qui touche les putrides sur pattes. Donc c’est parfait, on a le temps de réagir. Je continue à progresser alors sur la route du nom de Rural. Je ne peux pas m’empêcher de penser alors que c’était bizarre de nommer une route dans une ville du nom de Rurale. Comme si on était en pleine campagne. Et en plus, la rue en remplit de voitures accidentées. C’est ce que j’aime en ville. Les endroits pour se déplacer en toute discrétion.

Je capture, avec mon regard vert d’épinette, la froideur d’azurs des yeux d’Estelle. Je suis juste heureux qu’elle m’aime bien. Je l’ai vu tirer et je n’aimerais pas être son gibier. Enfin comme d’habitude je me perds un peu. Avec des gestes de la main, je lui signale que je vais tuer le type avec le AK47. Elle va pouvoir s’amuser avec le costaud à la machette. Le faire parler. Juste pour savoir où on peut en trouver d’autres. Retrouver mon étoile si le destin le veut bien. Je lui signale sa position, avantageuse tout près des arbres à côté d’une ancienne banque. La nature commençait à reprendre ses droits sur l'ouvre humaine et j'adorais ça. Elle sera bien cachée là. Pour ma part je vais faire un cercle pour prendre de dos les deux nigauds qui parlent comme s’ils étaient assis dans un bar. Je sors mon couteau et je le tiens fermement. La lame vers le bas pour neutraliser un connard qui n’en sait rien comme papi me l’a montré. Il avait fait le Vietnam et il était dans les bérets verts. Il m’avait dit que ses compagnons d’armes l’appelaient le fantôme. Celui qui se promenait derrière les lignes ennemies et laissait des cartes de visite pour inspirer la peur. Je marche maintenant en crabe. D’un signe je dicte à mon chien-loup de rester auprès de la blonde. De la protéger et de l’aider. Docilement l’animal se place tout près d’Estelle. Je dépose les pieds sur la plante extérieure en premier, pour éviter de déposer le plat d’un coup. Comme ça je n’écrase pas des morceaux de n’importe quoi qui pourraient faire du bruit. Je m’arrête tout près de la voiture. Je peux voir, même sentir, les deux individus. Celui avec le AK est en train de recharger son arme. Le rand blond, comme la lune surement, s’amuse à faire tourner sa lame. Et là il déclenche le monstre qui sommeille en moi. Il parle de la ferme au sud. Des trois groupes qu’ils ont délogés de là. Ils rient de la fin de mon meilleur ami. Mes yeux si agrandissement et mon cœur tape sur mes maigres côtes comme un tambour de guerre. Un bruit, la diversion que ma louve a produite, met leurs sens de merde en alerte. L’homme à la machette regarde vers la banque, m’assurant que c’est bien Estelle qui est là. Le type au Ak-47 se fige et essaie de regarder lui aussi.

Trop facile. Il va être mort en touchant au sol.


Et je me redresse alors avec souplesse. Ombre qui se détache subitement de la pénombre de la voiture de policier carbonisé que j’avais intégré. Je me rends à lui sans qu’il me voie. J’enroule mon bras gauche tout maigre autour du cou de Raider. Aussitôt ma lame fait un arc. Le tranchant de mon couteau de chasse pénètre dans son biceps. J’utilise mon arme pour faire un lever et retire vers le côté son bras violemment. Surpris l’homme lâche la crosse du fusil d’assaut. Je saisis de ma main droite la bretelle du AK-47 pour étouffer l’homme avec. Il ne peut plus crier. Je l’entraine au sol en continuant de l’étouffer. Mon couteau ensanglanté fait un autre arc, cette fois directement vers le cœur du bougre. Ses yeux se révulsent sous la douleur. Le chasseur part d’un rire de dément dans ma tête quand de mon bras ma main libre je sais son bras blessé. Je lui colle dans le cou. Comme ça il est au sol, ne peut crier et il est immobilisé. Par acquise de conscience, je laboure ses deux cuisses après avoir dégagé ma lame de son cœur perforé. Du sang éclabousse le bitume. Mais je n’ai pas fini. Maintenant que son flanc est vulnérable, je plonge mon couteau de chasse juste à la garde et je farfouille pour trancher des organes internes. Laissant mon couteau dans sa gaine de chair, je bascule mon Remington et je mets en joue le dos massif du type qui n’a rien entendu. Je suis bien dissimulé entre les voitures, ayant un bon champ de vision sur la raclure en avant de moi. Le Raider moribond ne bouge plus, sa vie s’écoulant à gros bouillon écarlate. Neutraliser et hors de combat. Papi sera fier de moi j’en suis sur. J’aurai pu essayer de prendre le fusil d’assaut, mais j’aurai dû me débattre pour le dégager du cadavre. Et je ne suis pas fan de ce type d’arme. Je me concentre alors, libérant mes sens aiguisés de chasseur et de survivant. Mon ouïe essaie de percevoir les frottements de pieds trainants, des gémissements de faim. Mon regard détaille le survivant du duo. Alors, je vois la radio à la ceinture du type. S’il fait mine de s’en saisir, je lui tire dans le jambon qui lui sert de jambe. Connaissant ma louve, elle a surement vu la fin du type et sait que je suis prêt à la couvrir. Bon Dieu que j’aime la voir narguer les cons et les menacer. Des menaces qui sont toujours suivies par des actions sanglantes.

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Estelle Dubois
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J'avais suivi Charlie sans hésité, tentant d'imité sa furtivité afin d'évité des rôdeurs nauséabonds qui auraient pu vouloir nous dévoré en cours de route. Je n'avais qu'une seule et unique chose en tête depuis ce fastidieux jour ou mon frère a trouvé la mort, Le venger. Je ne peu croire tout ce qui s'est passé, je n'y arrive pas. Mon cœur se resserre comme un étau, on dirait presque je suffoque et que je manque d'air. Jamais je n'aurais pensé qu'il aurait pu y passé, qui l'aurais cru en fait ? Le connaissant, mon frère c'était toute une brute.

Charlie était au courant de ma haine, de mon désir de vengeance et il l'approuvait, il en avait lui aussi grandement envie. Je m’entends bien avec Charlie, on fait une très bonne équipe, on se comprend bien et on se complète bien et pour nous deux, les raiders sont une menace !

Nous débouchons finalement dans les rues de Salem, Charlie se promène d'un véhicule déglingué a un autre et me fais signe d'avancer… En silence serais le plus apprécier.  J'emprunte donc le même parcours silencieux que mon partenaire d'arme. Avec beaucoup moins d'élégance, par contre le résultat semble le même, fort heureusement. Mon regard se pose enfin sur les deux merdes qui déambulent dans la rue en faisant leurs boucans à la con. Les paroles qui sortent de leurs bouches me font serrer les poings, j’ai juste une envie les faire payé pour leurs hideux crimes et ceux commis avec les autres survivants. Comment la race humaine peut-elle être si cruelle envers ces semblables je ne comprends pas !? De ne pas les aidés, je peu comprendre étant donner que les vivres manque parfois à l’appelle. Sa fais beaucoup moins mal au subconscient de savoir que les abandonnés, ils ont une chance de survivre… mais de les exterminés, en toute gratuité pour se faire valoir. Ça je ne supporte pas !

Charlie me fais quelques signes et j’en comprends qu’il va éliminer le premier gaillards avec l’arme à feu. Je considère donc  que je prendrai le second, mais avec quelques tortures en prime… Cependant mon regard se porte a sa ceinture ou j’y vois un walkie talkie, je souris doucement en pensant à l’utiliser éventuellement pour localiser les « raiders ».

Charlie se met en mode d’attaque et je me prépare à faire la mienne. Ayant auparavant attiré leurs attention vers ma direction Charlie avais amplement eu le temps de faire ce qu’il avait à faire.

Quant à moi, le corps bredouille de la victime de mon acolyte s’effondre et je sors de ma cachette pour chargé le second mec. Je ne pense pas qu’il m’est encore vu, il me fait dos.  

Sa machette en main, il semble un peu éperdu, je me prends un grand élan et de ma lame je l’abat sur sa main armé. Ayant pour but de lui trancher la main, son cri de douleur et le sang qui jaillis autour me signale que j’ai bien réussis mon coup. La carcasse délabré d’une chevrolet cabrio verdâtre se trouve à proximité de lui et moi. D’un bon coup de pied je le fais valser jusqu’au dépôt métallique alors qu’il continue de gémir sous la douleur. Bien évidemment sa Machette au sol, il n’est plus armé, je prend mon couteau de chasse pendant qu’ il tente de son autre main de prendre sa radio. J’éclate de rire…

Si tu penses !! Dis-je en souriant amèrement.
Mon couteau de chasse se plante dans sa main encore utile jusqu’à présent. Je sent les os et les muscles se déchiré sous la pression et le couteau se planté dans la voiture derrière l’emprisonnant a cet endroit là..
Je me penche et ramasse sa machette…

Et bien et bien.. Qu’est-ce que nous avons là ?! Dis-je en souriant vers Charlie. Sa pue les raiders dix milles à la ronde… Ou est le reste du groupe ?! Dis-je alors en agitant la Machette, mes yeux parcourant le gars qui continue de gémir accrocher a la voiture.
Je m’approche doucement et saisi la radio qu’il porte a sa ceinture, question de se mettre un peu plus en avantages cette fois-ci.

**La radio pourras nous servir éventuellement c’est certain**, me dis-je
Je fais un signe de tête a Charlie et quelques mimiques gestuelles pour lui indiqué de surveillez les zônards ou le camion qui les a déposé là plus tôt.
Le gars semble nerveux, une main en moins et la seconde prise dans le déchets métalliques d’une ancienne voitures, il sue à grosse gouttes et sa respiration se fais rapide...

Pauvre petite bête… Tu nous fais une petite crise de panique là ?? Un peu d’hyper-ventilation peut-être? Le pire reste a venir tu sais.. Dis-nous ce qu’on veut savoir !!! Ou se trouve le camp des raiders  !?? dis-je dans un rictus malsain qui laisse rudement place à un regard sévère pleine de haine.

Ces gémissements s’estompent tranquillement, il revient à lui doucement, reprenant lentement le contrôle de ses sens. Je me dis que c’est maintenant que nous devons en profité avant qu’il se vide de son sang et qu’il succombe…

Il crache alors a mes pieds parce que visiblement son but était de visé mon visage puisque son regard est porter sur moi et qu’il se met à rire bêtement. Je soupir et lui donne un bon coup de poing sur la gueule. Je ne suis visiblement pas fait pour se genre de combat, mes jointures me font légèrement souffrir mais je retiens une grimace pour ne pas faire paraître quoique ce soit. Mon regard croise celui de Charlie et lui signale que je dois me calmer avant de l’abattre sauvagement… Je ne veux pas perdre la chance de trouvé le reste de leurs groupes et si celui-là peu nous divulgué quelconque information utiles, vaut mieux ne pas s’empresser de sa mort.

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Alexia Stevens
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L'incroyable s'était produit sous leurs yeux ébahis. Un homme à l'allure peu attrayante était sorti de nul part et, tel un félin, s'était glissé derrière les deux Raiders pour littéralement l'éviscérer sans que son comparse ne puisse s'en rendre compte, visiblement déconcentré... Par une jeune femme blonde qui sortit de son abri derrière l'ancienne banque du coin de la rue pour couper la main du Raider à la machette. Puis, elle enfonça son couteau dans la main valide restante de leur captif et l'emprisonna contre la carcasse d'une vieille chevrolet que des gens avaient dû abandonner en plein milieu de la rue il y a de cela des années. Elle se saisit également de ce qui ressemblait à une radio et qui était auparavant accrochée à la ceinture du grand blond. Sur ses talons suivait ce qui ressemblait à s'y méprendre à un chien loup.

« Pauvre petite bête… Tu nous fais une petite crise de panique là ? Un peu d’hyper-ventilation peut-être ? Le pire reste à venir tu sais.. Dis-nous ce qu’on veut savoir ! Où se trouve le camp des raiders  !? »

La voix de la blonde parvint jusqu'aux deux comparses sur le toit, qui se jetèrent un coup d'oeil à la fois surpris et pourtant entendu. Ces personnes en bas n'étaient pas des Raiders c'était évident, et ils en avaient apparemment la haine au point de vouloir connaître leur lieu de rassemblement. Alexia fit signe à Nathan de la suivre et, sans trop de bruit, descendit les marches de l'escalier de service pour retourner à l'intérieur de l'ancien magasin de donuts, son acolyte sur les talons. Malheureusement ils n'auraient pas de raiders à interroger au menu ce soir, le premier étant mort, le second se vidant littéralement de son sang en plein milieu de la rue... Le temps pressait, la cacophonie que ces imbéciles avaient provoqué avait dû lancer dans leur direction tous les zombies du coin... et il fallait même espérer qu'il n'y ait que des morts vivants dans le paquet de curieux qui allait se pointer.

Et si Nathan et Alexia avaient chacun en tête l'importance de déguerpir le plus rapidement possible du coin... ils n'en oubliaient pas pour autant la mission première que leur avait confié Azad : offrir aux survivants qu'ils croiseraient la chance de rejoindre les Offsprings. D'autant plus que la guerre avec les Raiders semblait inévitablement se profiler à l'horizon, ces deux là dehors semblaient être des survivants aguerris qu'il pourrait s'avérer utile d'avoir à leurs côtés. S'approchant sans bruit de la vitrine, accroupis, les deux lieutenants d'Azad observèrent la scène dehors.

« Qu'est-ce que tu crois, petite traînée... Que tu vas trouver notre camp, te pointer avec ton copain et tous nous buter.. ? » Un rire gras et quelques gouttes de sang s'échappèrent de la bouche du grand blond. La souffrance tordait les traits de son visage, mais son regard était empreint de lucidité. « Tu ferais mieux de fuir le plus loin possible et prier pour qu'on... vous tombe jamais dessus... Nous sommes bien trop forts pour vous. Bien trop nombreux... On attrapera tous les survivants de Salem, jusqu'au dernier... ». Le sang coulait à flot de ses blessures. Il vacilla, tenant péniblement sur ses jambes. Son regard devint vitreux, et son horrible sourire n'en quitta pas pour autant ses lèvres. Il mourrait là, coincé contre cette voiture, mais peu lui importait : l'oeuvre des raiders continuerait. Et il rirait de là haut.

Observant la scène, Alexia tourna les yeux vers Nathan. Le deuxième venait de rendre l'âme, il fallait qu'ils interceptent les survivants avant qu'ils ne repartent... Fronçant les sourcils, elle lui fit signe de sortir négocier pendant qu'elle le couvrait avec son pistolet. Ce à quoi il répondit avec un regard ironique. « Il faut les mettre en confiance... On se dévoile, on leur parle, et on avise. Il faut leur faire comprendre qu'on est pas une menace. » chuchota-t-il à sa coéquipière, qui souffla rageusement avant de reculer un petit peu.. et se relever tout simplement pour sortir de l'ancien magasin, mains levées bien en évidence, tenant fermement son glock dans la droite. Nathan soupira en se disant qu'elle était franchement bornée puis l'imita.

« Comment on disait avant déjà ? Ah ouais, bonjour ! » s'exclama ironiquement la brune, attirant l'attention des deux inconnus sur elle. Evidemment, Nathan et elle allaient se faire mettre en joue, ils allaient peut être même se faire menacer. La routine avec les survivants isolés et méfiants quoi. S'avançant prudemment jusqu'à se stopper à dix mètres des deux personnes qui leur faisaient face avec des regards surpris, les deux lieutenants d'Azad mirent bien en évidence leurs armes pour montrer qu'ils n'avaient pas l'intention de se révéler belliqueux avec eux.

« On veut juste vous parler. » rajouta Nathan. « Et si tout le monde posait tranquillement son arme pour discuter une minute ? »

Les deux survivants face à eux n'avaient pas l'air convaincus... Alexia aux côtés du grand brun, dont la patience était tellement inexistante qu'elle avait été réduite à l'état de mythe dans les rangs des Offsprings, prit la parole d'un air peu commode.

« C'est bon pas la peine de faire ces têtes, si on était des leurs vous vous doutez bien qu'on vous aurait pas laissé les couper en petits morceaux. On fait partie des Offsprings of Freedom. » Lança-t-elle non sans une certaine fierté dans la voix. « Et on a une proposition à vous faire. »
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 Je fis un rictus de fierté, mes yeux verts comme les pins doivent étinceler d’une joie mauvaise et sadique. Je vois que malgré mes précautions pour la couvrir, ma louve à la situation bien en main. Je ne peux que de me traiter de con, vu le jeu de mots quand je vois la machette d’Estelle trancher le poignet du Raider. Elle avait mis toute sa hargne, sa fureur dans ce coup. Et je ne pouvais que l’appuyer totalement. J’aurais pu assommer le type. Mais je venais de le poignarder cinq ou six fois. Le sang qui sortait de son corps n’était que des petits filets presque taris. Les pupilles des yeux du cadavre n’étaient que des têtes d’épingle. Voyant que la lame de son couteau venait de bloquer la main intacte du costaud et que ma louve avait récupéré la radio, je replaçai alors ma carabine de chasse à mon épaule. Comme à chaque fois que j’avais le temps, après avoir récupéré mon couteau et l’essuyé sur les guenilles de ma victime, je fis une fouille de ses poches. Je pris avec avidité l’arme de guerre, une belle prise pour les temps qui courent. La voix dure et si belle d’Estelle vient de narguer le prisonnier et je ne peux m’en cacher, j’adore ça. Le chasseur qui a le dominion  voudrait le dépouiller de sa peau, lui arracher les ongles, creuser des sillons sanglants dans ses muscles et le faire souffrir au centuple. Lui démontrer le mal et la géhenne qui avaient remplacé tous nos sentiments. La Québécoise, et par le biais moi-même, n’étions que l’ombre de nous même. Des esprits de vengeances et de violence qui parcouraient les ruines de ce monde chaotique pour rechercher la vengeance. Et je sais que si je découvre mon étoile morte, je ne voudrais que mourir pour la rejoindre. Une mission suicide pour essayer d’exterminer le maximum d’enfants de putes. Comme si le chasseur au plus profond de moi voulait faire un sacrifice de masse à l’élu de mon cœur. Et je sais que sans une question, sans une parole, ma louve allait me suivre vers la mort. Mince consolation, le costaud allait nous ouvrir la voie vers les cercles infernaux.

Je me levai de dessus de ma victime pour rejoindre l’interrogatoire. Entendant les commentaires à la con de l’homme, je sus alors qu’il allait mourir.

Merde de hell ! Il va nous claquer entre les doigts. Il ne va rien nous dire.

Et comme de raison, avant que j’arrive, le Raider crève comme une merde. Je rage littéralement. Ma botte cogne avec hargne sur le genou de l’homme à moitié crucifié et je vois que ma compagne de survie tremble de fureur elle aussi. Un instant, l’humain réussit à revenir prendre le contrôle de mon âme, de mes émotions. Je dépose ma main minuscule, presque squelettique sur l’épaule de ma louve. Elle relève ses yeux et je plonge alors mon regard dans le sien. Depuis quelque temps déjà que nous vadrouillons et nos esprits sont sur la même longueur d’onde. Elle peut lire tout mon soutien, ma sollicitude et surtout mon amitié pour elle. Je le tends l’arme d’assaut et je signe quelques mots d’encouragements.

Tu sais il va en avoir bien d’autres. On va les tuer un par un, je te le promets, ma louve.

Et oui je lui ai donné ce nom signé. Signer lettre par lettre son prénom prenait trop de temps. Estelle a l’air d’apprécier ce surnom qui lui colle à la peau parfaitement. Je vais dans son dos pour surveiller les environs. Wolfie parait un peu détendu, donc aucune emmerde puante ou humaine ne se promène dans les environs. Ma louve est aussi droite qu’une barre de fer. Alors, je fais ce que mon meilleur ami préconisait dans ce genre de situation. William était un magicien pour détendre et faire retrouver le sourire aux gens autour de lui. Comme à son habitude, il réfutait ce fait. Trop humble et gentil mon frère d’âme. Mes mains, une normale et l’autre immonde comme celle d’un charognard, se déposent sur les trapèzes de la Québécoise. Et je commence à masser, pétrir, frictionner avec des fois en douceur et d’autres fois de manière plus appliquer. J’entends la voix du cowboy, son accent lent et hypnotique résonnant dans mon esprit de con, me conseiller ou appliquer la pression, comment détendre ce muscle. Je la sens se permettre un instant de bonheur, de laisser-aller.

Mais comme toute bonne chose à une fin, mon chien-loup commence à grogner. Son poil hérissé dans son encolure fait basculer l’humain vers sa cage au tréfonds des abimes de mon âme. Hurlant sauvagement, le chasseur reprend le corps chétif qui est le mien. Voyant la crosse du pistolet qui dépasse de la ceinture de ma louve, je le prends. Elle à un fusil d’assaut dans les mains alors je vais la couvrir avec son arme à feu.  Une salutation ironique et surtout empreinte d’une arrogance et d’un mépris fracasse le silence surnaturel de la rue. Un homme, presque aussi massif que le frère d’Estelle prend la parole pour essayer de rejeter le comportement de merde de sa comparse. Leurs armes sont en évidence pointer vers le ciel et les mains dans un attitude pacifique, montrant ainsi leur bonne intention. Avant je m'aurais fait jouer le tour. Me faire poignarder dans le dos. Mais pas aujourd'hui. Ils essaient de calmer le jeu mais je m’en fous et je pointe le Glock vers la gueule du type. Ils peuvent alors voir toute ma répugnance. La moitié de mon visage semble à une bougie fondue. Une victime d’un bûcher fait par l’inquisition pour bannir le monstre qui sommeille en moi en quelques sortes. Habituellement la bonne partie de mon âme aurait essayé de camoufler ma laideur, de me cacher pour ne pas dégoutter les gens. Mais le monstre, le chasseur, s’en contrefout de l’opinion des gens. Même si ça peut lui donner quelques secondes pour attaquer, il en serait très heureux. Mon doigt se crispe, je veux les descendre ces connards. On n’est pas au milieu d’un restaurant pour tailler une jasette. Maintenant Wolfie tourne sa tête dans toutes les directions, en alerte. Il va avoir de la visite dans peu de temps. Mais la dame rajoute une couche parlant des Offspring de quelques choses. L’instinct de chasseur hurle dans ma tête de les allumer, les tuer et de partir loin d’ici. Mais je me retiens. Je ne tremble pas, bien à l'aise dans la position du tireur classique. D’un coup de talon, je signale à mon loup de se placer près de moi. Il obéit sans rechigner. Je regarde alors ma louve en biais. J’articule doucement mes mots, pour lui permettre de bien comprendre.

Groupe révolte  prison .


J’utilise ma main gauche pour porter leur intention à mon macaron. Pour leur signifier que je suis un putain de muet. Estelle est tout près de moi. Mon binôme ma louve de ma meute. Un autre regard, celui-ci était confiant et presque intuitif. Ma partenaire de chasse avait carte blanche pour leur parler. J’allais me rallier à sa décision. Mais au fond de moi, je ne voyais pas l’utilité de parler. Juste à leur enfoncer leur proposition dans le fond de la gorge, leur plomber la peau et partir. À moins qu'ils savent où sont les enculés de tueurs de nos familles ou bien ils savent où est mon étoile. Au loin des râles de faims annoncent l’arrivée des charognards, ou bien des nettoyeurs. Eux aussi on le droit à un repas chaud à l’occasion. Mais si elle veut écouter leur truc, on doit se déplacé. Je fais juste le signe qu'on avait convenu. L'index et le majeur qui fait semblant de marcher. Des charognards en approche.

 
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Estelle Dubois
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Notre petite aventure ne se passait pas tout à fait comme nous l’aurions souhaité. Le mec avait refusé de nous divulgué quelconque information sur le clan des raiders et très peu endurant, avait finalement succombé à ses blessures. Il avais succombé beaucoup plus rapidement que je ne l'aurais espéré et ces propos me ravageais de l'intérieur. Il nous serais difficile d'en savoir d'avantages avec quiconque de ce même clan pensais-je.

PUTAIN DE MERDE avais-je lancé en frappa du poing sur la voiture ou j’avais empalé notre ennemi. La fureur montant dans ma gorge tel un feu ardent j’avais envie de hurler comme jamais, mais me ravisai en pensant que les ravageurs s’empresseraient de venir vers nous si je me mettais a crier au meurtre.

Je respirai un grand coup puis soupirai en prenant appuis sur la carcasse rouillée de mes deux mains, ma tête se baissant sous l’échec… Je commençais à douter de nous, de notre vengeance… mais je tentais de ne pas perdre espoir avec la radio en main, on aurait peut-être une chance de savoir ou se trouvais le camp si on écoutait bien.

Charlie avais probablement sentis mon désespoir et d’un geste aimable pour me réconforter il tentait de me rassurer, de me détendre. Mes muscles étaient complètement raidis par un stress trop longtemps accumulés. Son massage me fît le plus grand bien et je le remercier en soupirant de soulagement. Je lui fis un Tumb up mais me raidis de nouveau quand wolfie pressentis la présence de quelqu’un ou quelques choses.

Quelqu’un fais son apparition main en l’air, abandonnant la bâtisse de Donuts ou il semblait avoir trouvé refuge.  La brunette s’approche un visage peu amicale, vous savez le genre de personne que j’avais déjà croisé auparavant dans un café du coin de ma rue et qui avais un faciès de ‘’fille complètement écœurer de son boulot de merde ‘’. Bah celle-là, ressemblais à ça!

Leur voix s’élevaient a environ 10 mètres de nous, sans sembler hostile par contre. Charlie pointait mon arme sur le mec et moi Ak-47 en main mon regard se portait sur eux, instinctivement en alerte. Je n’avais pas confiance en personne, sauf Charlie et Wolfie et c’était dans ma normalité puisque nous avions passé deux mois en exile seul tout les trois. Il ne fallait pas s’attendre a moins.

Les paroles de ‘’Nathan’’ nous propose gentiment de lâché nos armes pour nous parlés comme des gens civilisés je suppose.

Je fais non de la tête;
Tu peu nous parlés et rester à cette distance je m’en contre fou mais je garde mon arme c’est clair!! Mon ton de voix semblait autoritaire mais disposé à écouté et surtout curieuse de la suite des événements.

Je fis signe a Charlie de baisser son arme à feu mais de la garder dans ces mains. Wolfie s’installe auprès de lui et il me fait signe qu’il s’agit de rescapés révoltés de la prison. J’acquiesce d’un oui dire de la tête sans plus rapportant mon attention sur la brunette qui nous lance sans grande modestie qu’ils ne nous veulent aucun mal.

Offspring of freedom?  Une proposition?  J’espère que ta proposition vaut plus que ton air bête parce que je ne suis pas convaincu de rien en ce moment  et je n’ai qu’une envie. Foutre le camp avant de vous plombez… Tu as deux minutes pour me dire ce que tu veux, les zonards ce ramènent !!! Dis-je sur un ton ferme et sans grande enthousiasme. Effectivement en écoutant bien et encore a quelques mètres de nous des râlent s'élevaient de plus en plus près de nous.

Je ne savais pas ce qu’il voulait je m’en foutais pas mal et a comprendre le faciès inexpressif de Charlie je savais que lui aussi n’avais qu’une envie.. partir!
Je leurs souhaitaient donc d’être TRÈS convainquant !


Dernière édition par Estelle Dubois le Dim 6 Nov - 22:18, édité 1 fois
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Alexia Stevens
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Alexia jeta un regard exaspéré à Nathan. Elle aurait bien volontiers fait demi tour avant de coller une balle dans la tête de cette blonde à grande gueule... Mais les yeux de son coéquipier lui renvoyèrent un message clair : tu la fermes et tu me laisses faire. Soupirant bruyamment, elle se contenta alors de ranger son arme en jetant des coups d'oeil aux alentours. S'il y avait bien une chose pour laquelle elle était d'accord avec les deux énergumènes qui se tenaient face à eux, c'était qu'il fallait faire vite : les zombies se rapprochaient, et en quantité. Il fallait qu'ils déplacent et cachent les corps pour ne pas attirer l'attention des Raiders sur le coin... Après tout, lorsqu'ils se rendraient compte que deux de leurs hommes manquaient à l'appel, sûrement reviendraient-ils sur leurs pas pour les chercher. Et ils fouilleraient la zone, mettant la sécurité de Zenithside en péril.

« Je vois que notre nom ne vous est pas inconnu... Vous devez donc avoir été enfermé à la Marion. Et en êtes sortis grâce à notre révolte n'est-ce pas ? En sortant de prison, notre groupe s'est considérablement agrandi. Nous avons sécurisés différents bâtiments de la ville, et nous nous sommes fait tout petit, dans l'espoir de ne pas se faire repérer par les Raiders. »

Alexia haussa un sourcil en portant son attention sur les deux inconnus. Est-ce qu'ils en auraient quelque chose à foutre de cette petite histoire ? Non parce que même elle ça l'emmerdait.

« On vous a entendu. Vous voulez trouver les Raiders c'est ça ? Je suppose que vous avez des actes à leur faire payer... » continua le grand brun. « Et bien ça tombe bien, nous aussi. On se prépare à sortir de l'ombre. On essaye de rassembler des informations sur eux. Et au moment venu... Ce sera la guerre. »

Sa coéquipière lui lança un regard à demi outré, du genre : explique moi pourquoi tu leur dévoiles ce genre d'informations ? Après tout, ils ne les connaissaient pas ! Mais Nathan semblait sûr de lui, et son regard ne quittait pas celui de la blonde qui lui faisait face. Alexia en profita pour détailler l'homme étrange qui l'accompagnait... La moitié de son visage était déformé, ravagé par on ne sait trop quoi. Il était inquiétant rien qu'à regarder, pourtant celle qui l'accompagnait ne semblait pas du tout gênée par son aspect repoussant. De son côté, Alexia n'était pas sûre de pouvoir s'habituer à voir sa tronche de cul tous les jours... mais en soit, à part Nathan et Azad, elle ne supportait pas grand monde alors... ! Les deux inconnus toisaient Nathan de leurs regards imperturbables, et ne semblaient pas bien comprendre où ils voulaient en venir. Ce qui agaçait fortement la jeune femme au caractère bien trempé.

« Bon je vous la donne en mille parce que ça me casse les couilles : Vous voulez trouver ces connards ? On va les trouver. Vous voulez les couper en morceaux ? On vous fournira les ustensiles de cuisine. Et en prime, on vous offre un toit sûr et de la bouffe. Elle est pas belle la vie ? » ironisa-t-elle.

Nathan aurait bien aimé se taper le front contre la bagnole rouillée contre laquelle reposait le corps sans vie du blondin... mais se contenta de soupirer. Il fallait leur donner une information, un petit truc qui pourrait les faire tilter et leur donner envie de les suivre. Un éclair passa dans ses yeux.

« On a déjà une piste. Un petit commando de chez nous est parti récupérer un survivant répondant au nom de Caleb... Il sera sûrement à même de nous donner plus d'informations sur les Raiders puisque leur chef, Jéricho, a lancé ses troupes à sa recherche. Fort heureusement nous l'avons retrouvé avant lui. »

Alexia croisa les bras et toisa les deux inconnus de haut en bas, leur laissant à peine le temps de digérer l'information.

« C'est bon là, vous êtes convaincus ? »
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Je regarde l’échange et mentalement je donne des points. Estelle les met assez vite à leurs places, laissant ses origines québécoises parler. Directe et franche. Tout ce que le chasseur adore chez une femme. Pas de sous-entendu ni de chichi. L’autre femme est aussi dure et grande gueule que ma louve. C’est vraiment intéressant comme échange de regard. Des véritables poignards volent entre eux. Je rigole à l’intérieur, mais mon visage à demi cicatrisé est fermé comme une huitre. À la demande de ma compagne de chasse, je baisse le pistolet. En angle pour pouvoir mettre le duo en joue à la seconde. Alors, la belle gueule commence à discourir comme s’il était dans un concours de poésies. Si l’homme n’était pas si imposant et grand, j’irais le gifler. Il n’entend pas les gémissements des charognards? Il doit être presque aussi sourd que je suis muet. Ou bien il aime entendre sa voix. Au choix. Un peu plus et je sortirais mon violon pour l’accompagner. Un peu comme les musiciens du Titanic quand le bateau coulait. J’aimerais bien lui dire que la révolte a été déclenchée par une attaque des Attaquants. À la base on est sorti à cause du tumulte et le chaos qui régnait dans la cour. On a suivi le mouvement. Je zieute un peu ma louve et la femme en face de nous. Les deux vont s’endormir j’en suis certain. Et il allait perdre mon attention aussi. Car il n’avait rien à nous offrir sur les Raiders à part ce que nous faisons déjà. À savoir nous cacher et les attaquer quand ils ont leurs culottes sur les chevilles.

Quand la femme parla, mes épaules frêles se soulevèrent en signe de dépit. Leur groupe ne sait pas où est la base des Raiders. Elle veut fournir de l’équipement à moi et Estelle, mais depuis deux mois on se débrouillait très bien. À la mention de la nourriture, je ne peux m’empêcher de faire mon rictus de dérision. On doit manger mieux en plein air que les révoltés du Bounty dans leurs cachettes. Mais l’abri, dormir dans un lieu sécuritaire c’est une option alléchante. Quelques fois on à dû plier bagages à cause de l’arrivée imprévue de charognards. À regarder ma sœur d’âme, je la sens sur le bord de déconnecter devant l’ironie de la brunette.

J’aillais signer mon désaccord avec le signe universel d’aller se faire foutre quand la donne changea d’un coup. Il parla d’une possible piste. Caleb est dans les emmerdes encore. Il a attiré l’attention du grand boss des Raiders. Et les boys scouts ont décidé de monter une expédition pour aller le chercher. Ça m’intéresse tout d’un coup. Il a surement lequel des enfoirés à tuer mon frère, mon seul ami. Jéricho. Bien une information gratuite. Mais ce qui m’alarme c’est qu’ils n’ont pas encore le Québécois avec eux. Si le groupe échouait et que les enfoirés mettent la main au collet de l’homme qui avait été gentil avec moi ? Je lance un coup d’œil autour de moi et heureusement les goules sont encore loin. Mais leurs grognements augmentent. La brunette lance encore un commentaire, une évidence à la con. Elle doit avoir été bercée trop près du mur, car elle devrait ne pas se fier aux apparences. J’ai l’air d’un con, mais je connais mes forces et mes faiblesses. Je détourne un peu mon regard vert comme le feuillage d’un arbre en été. J’articule alors quelques mots à l’encontre de ma louve.

Caleb vivant. On y va? Ils veulent quoi en échange? Ils parlent, mais on ne les connaît pas.


Ils ne vont pas nous donner plein de matos seulement à cause de nos gueules de porte-bonheur. Tous à un prix et surtout dans ce Nouveau Monde. Mais d’un simple regard, laissant la laideur de mon visage en premier plan pour nos deux beaux parleurs, je donne toute ma confiance au jugement d’Estelle. Si elle veut qu’on se tire, on part. Sinon on part avec eux. Dès qu’on part d’ici au lieu d’attendre l’arrivée de la parade mortuaire.


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Entendre le charabia qu’ils nous envoyaient était tel un vomi de gastro, qui arrive vite mais ne part pas facilement… Leurs paroles s’évaporaient dans l’air et leurs deux minutes s’achevaient rapidement. L’idée de faire partie d’un nouveau groupe ne m’enchantait guère et au regard que je jetai rapidement sur Charlie je constatais qu’il en était de même pour lui.

Cependant lorsque l’évocation du beau québécois fût lancée, mes sourcils se froncèrent et un millions d’interrogations parcoururent mon esprit… Il avait survécu donc ? Charlie semblait tout autant que moi intrigué par la suite des événements.

Ils avaient trouvé les derniers mots justes qui nous fissent hésiter quelques instants.
Charlie me signa quelques mots et mon regard se rapporta au couple mal agencé.

Pourquoi nous ?? Qu’est-ce que vous attendez de nous ?! Je n’ai pas l’intention de licher le cul de personne si tu vois ce que je veux dire!!! Y’a toujours anguille sous roche dans ce genre de proposition improvisée. Lançais-je un regard un peu plus méfiant mais toujours empreint d’une certaine curiosité.

Mes yeux d’azur plongé sur le spécimen mâle plutôt que la femme qui ne semblait pas très enthousiaste de m’avoir en face d’elle. Son caractère me puait au nez et j’avais l’impression de voir mon reflet dans le miroir ce qui me tapais véritablement sur les nerfs. Si en plus je me devais de l’endurer pour les jours à venir, vaudrait mieux commencer à l’éviter tout de suite ou lui faire face… J’avais opté pour le plus aisé pour l’heure et l’ignoré. Je me promis de voir avec le temps si je lui foutrerais pas une bonne raclée bien mérité.

Pour retrouver Caleb, je suis prête a vous aidez, enfin Nous sommes prêt à vous aidez… ajoutais-je après m’être assuré qu’il en était de même pour Charlie. D’un commun accord, il savait tout comme moi qu’il pourrait nous fournir des informations pertinentes depuis notre dernière séparation forcé.

Charlie bien qu’il le cachait aisément avais une nouvelle étincelle dans les yeux, partageant deux mois de solitude avec celui-ci. Cette nouvelle flamme dans son regard me rappelait l’espoir… Caleb pourrait probablement l’aider à retrouvé l’amour de sa vie et je me promis intérieurement de l’aider à achevé cette tâche, au périple de ma propre vie.

Nous voulons un toit simplement un endroit sécuritaire où dormir, pour le reste on verra !!! dis-je en opinant de la tête.

On vous suit lançais-je plus hâtivement commençant à voir les cadavres déambulant dans les rues avoisinantes de leurs habituelle démarche ''zombifiés''.
Mon arme à feu en main, j'étais prête à prendre mes jambes à mon coup ou me battre... J'attendais de voir les deux énergumènes qui nous serviraient prochainement de guide.

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Un sourire à moitié satisfait prit place sur les lèvres d'Alexia. Certes, la blonde continuait de poser questions et conditions pour rejoindre leurs rangs... Mais finalement, l'appel d'un toit sécurisé sous lequel ils pourraient se reposer fut plus fort que leurs esprits rebelles et libres. Ils acceptaient de rejoindre les Offsprings of Freedom. Une victoire mineure de plus pour le duo qui formaient Alexia et Nathan. Se lançant un regard entendu, ils regardèrent ensuite autour d'eux, baissant leurs armes. La confiance devait maintenant s'installer entre eux et perdurer, puisqu'ils allaient les ramener avec eux au QG. Azad serait certainement content de voir débarquer deux nouvelles recrues dans les rangs.

« Parfait. On se casse d'ici alors, on va rejoindre le QG principal. »

La voix d'Alexia avait percé au travers des râles de plus en plus proches des zombies qui les avaient désormais clairement repérés. Nathan hocha la tête avant de jeter un coup d'oeil aux cadavres des Raiders dont le sang était venu se répandre sur le bitume en de larges flaques foncées. Les morts vivants feraient d'eux leur repas à n'en pas douter, il ne resterait rien de leurs corps dans une heure maximum au vu du nombre de zombies qui affluait dans leur direction. Pas besoin de perdre du temps à les déplacer donc.

« On décolle. »

Alexia fut la première à faire volte face pour suivre le chemin de la Commercial Street. Rural Avenue, Commercial Street... Que de noms pourris songea-t-elle. Nathan fit signe aux deux personnes de suivre la brune au caractère bien trempé, et leur emboîta le pas, fermant la marche. Un détail de l'échange n'avait pas échappé à son attention et le laissait perplexe : ils avaient été à la limite de l'hostilité à l'égard de leur proposition au premier abord... mais à l'évocation de Caleb, leur avis avait immédiatement changé. Est-ce qu'ils le connaissaient ? Avaient-ils plus d'informations à apporter que ce qu'il avait pensé au premier abord ? Une chose était sûre, ces deux étranges personnages avaient l'air... particulièrement intéressants.


Scénario terminé.

Charlie Smith, Estelle Dubois, vous voilà officiellement membres des Offsprings of Freedom, bienvenue à vous.
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