Life is but a journey, an ephemeral and fragile one. Now it simply became bloody as well...
Jericho est de retour, et ses sbires ont remis en marche l’entreprise d’esclavagisme qu’ils semblaient avoir mis en veilleuse depuis quelques mois. N’importe quel survivant est une cible potentielle pour le regroupement de pillards et Dieu seul sait ce qui arrive alors aux pauvres âmes qui en sont les victimes… Le seul espoir des survivants de la ville s’incarne dans le maître d’orchestre de la seule victoire que les rescapés de Salem ont arraché à Jericho, Azad Kamrane. C’est-à-dire, l’homme derrière la chute de la Marion et qui a dans le même temps remis en liberté les esclaves que les Raiders avaient si durement rassemblés à l’intérieur des murs de la prison. L’Iranien a poursuivi les préparations de la lutte à venir, mais au-delà des questions concrètes qu’il lui faut considérer, plusieurs interrogations restent sans réponse. Qui sont-ils réellement? Que veulent-ils? Où sont-ils? Que font-ils de leurs victimes? Combien de personnes suivent Jericho? Autant d’inquiétudes auxquelles le leader des Offsprings devra très rapidement trouver des réponses…
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A savoir
# Un event important est actuellement en cours ! N'hésitez pas à suivre son déroulement ici → An unreachable, yet invaluable prize...
#
Contexte
De l'humanité il ne reste presque plus rien. Derniers survivants face à la menace zombie, vous avez combattu la peur, la maladie et la misère. Six années se sont écoulées, combien de jours tiendrez-vous encore ? Nous sommes en 2017 et le monde a été plongé dans le chaos suite à une catastrophe biologique. Que vous veniez de Central City ou de contrées plus éloignées, votre course effrénée pour la survie vous a mené jusqu'à Salem, dans l'Oregon. L’accalmie qui régnait dans les derniers mois s’est terminé dans le sang et la douleur avec le retour des Raiders qui sont sortis de l’ombre dans laquelle ils se trouvaient. Ils ont depuis repris leur entreprise sombre, et tout être humain encore dans les environs, homme, femme et enfant sont à risque d’être faits prisonniers comme ils l’ont fait lors de leur arrivée en mars. Dans ce monde totalement changé, le danger rôde à chaque instant, et l’avenir de tous ceux se trouvant dans Salem est voilé d’une incertitude qui n’est pas près de se lever. Face à un tel raz-de-marée de sauvagerie, la survie de tous dépendra des actions individuelles de chacun... Et vous, qu'attendez vous pour nous rejoindre ?
Remerciements
Nous tenions à remercier le forum Never-Utopia grâce à qui le forum peut aujourd'hui connaître un renouveau. Un merci aussi à nos joueurs pour leur patience et leur soutien après tout ce temps. ZA n'est pas encore parfait, mais grâce à vous il vit. Un merci également aux administrateurs qui donnent de leur temps et ne cessent d'essayer d'améliorer le forum et le confort des joueurs...

Longue vie à ZA, et que la passion de l'écriture continue de nous lier, tous ensemble, dans cet univers.
Zombie Apocalypse
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 FLASHBACK : EVENT SAN ARMONICO

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ZACKARY THOMAS

Le commando de fortune avait tant bien que mal atteint l'entrée du bastion Cookers. San Armonico, ville de carnage et de boucherie. Le Sergent Ryder réfléchissait sur la marche à suivre.
Pour Zackary, c'était clair, il fallait entrer et rester groupé. Dans ce dédale, si on se séparait, c'était la mort assurée. Mais alors qu'Alexis allait se mettre à parler, la radio grésilla :

- Ici équipe fire nous nous apprêtons à infiltrer San Armonico je répète sommes sur le point d'infiltrer San Armonico, ... entrée ouest ouest, demande coordination au plus vite avec une autres équipe en place je répète demande de coordination ... terminer-
- Ici Sergent Ryder et Sergent Thomas, nous sommes à la tête d'un groupe d'environ trente personne. Entrée.. Sud-Est... Aucun officier en vie nous avons pris le commandement. Identifiez vous et communiquez vos forces. On attend votre prochaine transmission et on commence à avancer. Terminé.

Au moins maintenant c'était officiel, Ryder et lui avaient le commandement du commando. Zackary cherchait son nouveau pote, le soldat Thompson mais ce dernier n'était pas parmi le commando. Sûrement tué sur le champ de bataille ou bloqué par des Cookers. Dommage, Zack l'aimait bien...

- Ici l'Adjudant Robertson ! On a environ une vingtaine d'hommes... Non 18 ! On est prêt à entrer, mais pas tout seul ! Vous avez un plan ou je dois coordonner toute l'action ?
- Ici Thomas ! On va longer la muraille de la ville pour supprimer le soutien des mitrailleuses lourdes aux Cookers à l'extérieur ! Si le reste de l'armée peut nous rejoindre on pourra avancer vers l'intérieur de la ville.
- Ok, bien reçu ! On va faire pareil dans votre direction ! On les prendra en tenaille !

Le plan était donc établi. Avoir un objectif permettrait aux soldats de ne pas perdre en détermination ! Après que chaque membre du groupe eut vérifié ses armes et munitions, ils se mirent en route pour le combat.
Zackary donna l'ordre d'avancer lentement, armes en joues et prêtes à tirer. Le sergent Thomas se trouvait vers le centre de la colonne tandis que Ryder se trouvait un peu plus vers l'arrière avec sa copine qui possédait un fusil sniper.

Il faisait très chaud et de la sueur coulait sur le front de Zack. Son cœur battait à cent à l'heure, victime du stress de ne pas avoir encore rencontrer d'ennemi. Soudain, un des soldats de l'avant-garde fit signe de s'arrêter. Mais ce n'était qu'une fausse alerte.
Le commando continua sa lente avancée jusqu'à un point de la muraille où les Cookers montait vers le haut de la muraille pour tirer sur les Safepointiens.
Les Cookers ne les avaient pas repérés et vidaient leurs munitions sur les combattants de l'extérieur. Le groupe de Ryder et Thomas les prendrait par surprise de toute évidence.
Et c'était reparti pour le combat ! Ryder et Thomas crièrent l'ordre d'attaquer en même temps. Les fusils se mirent à cracher les balles dans le dos des Cookers....
L'assaut fut bref puisque les Cookers étaient ici des cibles faciles et non mouvantes. Cela faisait une mitrailleuse lourde de moins au cannibales pour canardes les collègues à l'extérieur de l'enceinte des murailles.
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MATTEW O'CONNOR

Le tawlki grésille et mon visage s’éclaircit quand j’entends la transmission. -Ici Sergent Ryder et Sergent Thomas, nous sommes à la tête d'un groupe d'environ trente personnes. Entrée.. Sud-Est... Aucun officier en vie nous avons pris le commandement. Identifiez-vous et communiquez vos forces. On attend votre prochaine transmission et on commence à avancer. Terminé.
Plusieurs secondes s’écoulent et je m’apprête à répondre au sergent Ryder, quand le grésillement de la radio m’indique une nouvelle transmission.
- Ici l'Adjudant Robertson ! On a environ une vingtaine d'hommes... Non 18 ! On est prêt à entrer, mais pas tout seul ! Vous avez un plan ou je dois coordonner toute l'action ?

- Ici Thomas ! On va longer la muraille de la ville pour supprimer le soutien des mitrailleuses lourdes aux Cookers à l'extérieur ! Si le reste de l'armée peut nous rejoindre on pourra avancer vers l'intérieur de la ville.
- Ok, bien reçu ! On va faire pareil dans votre direction ! On les prendra en tenaille !

Je me tourne une dernière fois vers mes coéquipiers avant de devoir me lancer sur le terrain à découverts. - comment vous vous appelez au fait ?- Le plus près de moi se présente le plus vite, parlant d'une voix clair et forte,- Frank !- Je me tends vers eux pour mieux les entendre les bruits de fond, de fusillade d'explosion et de hurlement n'aidant pas. - Wen ... Wendy.- La seconde se distingue d'une voix plus faible, agréablement douce, couper d'un bégaiement surement dû au stress du champ de bataille. La 3iem se nomme Nadia puis la voix d'un homme Peter, l’un des exciter … suivi de jean marc. De nouveau une femme Clara, puis Robert et Romain ses deux derniers à l'accent parisien parfaitement distinguer.

Je m'éclaircis la gorge -Ok, moi c’est Matthew, Frank je garde ton tawlki pour le moment. Je me tourne de nouveau vers le terrain posant m'a main droite sur un capot pour me mouvoir plus vite à genoux. " Okay, Boby fait parfaitement son boulot ... on va pouvoir y aller" De nouveau en face de mon groupe. - Frank tu vas courir jusqu'à la brèche qu'on voie là bas, je te couvre d'ici mon ami Boby celui qui est resté derrière tout à l'heure. Il est en train de tirer sur toutes menaces avec son fusil de précision, vous n'avez rien à craindre tout ce que vous avez à faire c'est de courir très vite jusqu'à la brèche, compris ?-Plusieurs me réponde oui tandis que Frank hoche la tête m'indiquant qu'il a bien compris.

-Okay ... c'est parti ! Go, go GO ! – Frank s'élance et arrive sans encombre, j'identifie chaque centimètre de ce que je vois, personne ne nous a encore vus et je sais que ce n’est qu’une question de temps, parfait. Alors que je me retourne vers Wendy celle-ci ne bouge pas, effrayer. - je ... je ne veux pas y aller je vais me faire tirer dessus !- je me lève à moitié surplombent la femme et d'un geste vif indique aux suivants de commencer à courir ce qu'ils font sans hésiter, ils doivent avoir peur, je le sais très bien puisque moi aussi je la ressens un peu, j'ai l'habitude d'être dans des situations à risque, mais l'imprévu est ce qu'il y a de pire et on ne prévoit pas de se prendre une balle ... alors oui la peur est un sentiment tout à fait normal et justifier, ce qu'il faut c'est l'apprivoisée ne faire qu'un avec celle-ci, sinon c'est elle qui vous domine.

Quelques curieux semble nous avoir vus, mais l'absence de tir, me fais comprendre que ça n'est pas encore le cas. Je me lève et pointe le premier gaillard torse-nu que j'exécute d'une balle dans le poumons droit et une deuxième lui casse une côte de gauche le faisant tomber à terre recroqueviller sur lui-même il n'en a plus pour longtemps.
Le deuxième cookers se met à courir et s'excite sur la gâchette, s'approchant trop près de notre cachette je reste à couvert, une balle de Boby vient mettre fin à l'agression quand celle-ci lui perfore le crâne cassant sa boîte crânienne et répandent une giclée de sang au côté du cadavre. Tous sont passés sauf moi et Wendy, je me tourne vers Wendy et la saisit par les épaules. - Ecoute moi bien on doit avance on n'a pas le choix, rester ici c'est encore plus dangereux, il faut rester en groupe c'est notre seule chance de survivre et je ne laisse personne derrière !- Elle me fixe le regard figé par la peur ses yeux sont en larme, elle baisse la tête et se force à me répondre. - Da ... d'accord ...- Je l'attrape au bras et me lève d'un bond, nous commençons à courir je sprinte le plus vite possible mon bras se tends et je sens que j'emporte Wendy par ma vitesse, elle ne cours pas aussi vite que moi, des balles siffles ... de plus en plus, elle trébuche au moment ou nous arrivons sur la brèche, je la sens tomber lorsqu'elle tombe à terre me faisant faire un tour sur moi-même, je tombe aussi. Dans le feu de l'action je pense au pire ... Mais lorsqu'elle relève la tête et que je lui demande si elle est blesser elle me répond que non.

J’entends le tawlki grésiller, puis une voix familière en sort. –Ici Boby, j’arrive. Terminé.-
J'empoigne le tawlki et branche la fréquence puis actionne l'interrupteur. -Sergent Ryder, ici le lieutenant O'conner, nous sommes 10, nombreux civile, entamons notre entrée dans San Armonico, nous nous dirigeons vers le centre de l'enclave, équipement de frappe d’assaut et légère. Terminé.- Je me branche ensuite sur la liaison de contact de Boby. - L'ennemi nous a repéré, Nombreux sifflements de balle venant se cassait contre les blindages de l'enclave. - Je te couvre quand tu es là ne t'arrête pas ! Terminé. – Après quelques secondes de silence. -Bien reçus. Terminé.- Je me tourne vers mon équipe qui sont tous plaqués contre une épaisse tôle de métal et nombre de gravas, servant à nous cacher avec brillo.

#Boby.

Je cours et ne m'arrête pas, chaque bond fait s'envoler le M24 dans mon dos, rendant désagréable la course, enfin j'aperçois Matthew et tout le groupe se tenant derrière lui, aller c'est quoi ? 15 mètres à découverts ! Rien du tout, quedal ! Combien de fois je me suis retrouvé dans des situations de merde, c'est juste courir à découverts. Je m'arrête et me mes à genoux, et empoigne la lampe tactique et l'allume passant ma main gauche dessus puis je la retire et recommence le geste très vite plusieurs fois. Matthew me voit enfin, je vais pouvoir y aller quand il m'aura donnai le signal.

#Matthew.

Enfin j'aperçois Boby, je me lève et regarde, mettant ma tête à découverts et me cache aussi vite des balles siffles puis s'arrête. Je détermine l'angle de tir, okay, je saisis l’une de mes flash bang, la dégoupille, je m'accroche au mur brisé de ma main gauche pour gagner en équilibre et mobilité affiche la moitié de mon buste et lance la grenade flash vers les cookers qui nous on repérés. Je compte jusqu'à trois et me cache aussi vite. Je regarde Boby, la détonation crée un bruit lourd, je m'agenouille et me met à découverts après avoir indiqué à Boby de se mettre à courir.
Je suis passé en mode rafale et vide un chargeur tirant en continu sur l'ennemie, j'en vois plusieurs tombés à terre, déjà aveuglé par la grenade, tandis que je recharge Frank fait exactement ce que je lui avais dit et tire à son tour en direction sur l'ennemie. Je recharge et tire de nouveau vidant un deuxième chargeur. Les balles siffles des deux côtés Boby arrive enfin. Plusieurs balles viennent se casser contre le mur, une d'elle est trop près par réflexe je me jette en arrière, une ogive vient érafler ma joue droite, là où j'étais un milli seconde plus tôt celle-ci me brûle. Plusieurs cookers sont éliminés ou tomber à terre. Frank c'est prit une balle dans le bras droit. Il tombe à terre je l'attrape par le tibia et le tire de toutes mes forces, j'arrive à le hisser, sa plaie semble profonde. J'indique au reste du groupe d'aider Frank à se lever, nous ne pouvons plus rester ici, il faut avancer puis le soigner.
Je lève la tête vers Boby il est assis en face de moi contre un tas de béton, gravats des mortiers, il pisse le sang il en crache même, je vois le ... son sang couler de son cou ... “non, non NON.“

Je me jette à ses côté prit de panique, je dois me calmer il me regarde avec un sourire j'ai l'impression que le temps lui-même se fige comme si tout se passer au ralentit, il murmure quelque chose je tente de stopper l'hémorragie arrachant l'extrémité de ma manche, pas le temps de sortir la trousse de soins. - Tu vas t'en sortir Boby je te le jure, tu vas pas clamser reste avec moi bordel, reste avec moi !- Sa voix est faible il galère à parler d'ailleurs. - parle pas Bob, arrête de parler !-

-J'ai jamais aimé qu'on m'appelle Bob, Matthew tu le sais ... bien ... sou ... souviens toi ... d'un ... truc,- Je le supplie du regard, il tente de se rapprocher de moi et pause sa main sur mon épaule. - arrête tu vas te vider ton sang encore plus rapidement !- Il rigole et chaque mouvement le fait souffrir. - Matt ... s'adapter ou mourir.- Ses yeux ne bouge plus son regard est posé sur moi, comme un pantin désarticulé sa main lâche prise et son bras tombe sous son poids.

Je le pousse contre les gravats et ma main et toujours pausé contre son cou, le sang continu de couler j'en suis couvert des mains quelques gouttes sur mes avant bras. Je n'arrive pas à le lâcher. Pour la première fois de ma vie j'ai l'impression d'être un gamin en plein milieu d'une nature hostile, seul, désemparer un goût amère s'empare de moi je voudrais le serrer, qu'il me parle à nouveau qu'il se moque rigole ou me félicite. Je sens qu'on me tire en arrière c'est Jean-Marc qui m'attrape par l'épaule et me force à lâcher prise, le M24 est par terre. Je l’empoigne fermement pour l’emmener avec moi.
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16 Décembre 2014 - 05h30, heure locale
San Armonico,
Tucson, Arizona.

L'attaque suicide contre le char M1 ne manqua pas de surprendre les cookers lancés en plein combat, même si le colosse d'acier s'en était tiré presque indemne, les pertes parmi les troupes cannibales furent suffisamment conséquentes pour faire redescendre leur bestialité combative d'un bon cran. Sous les attaques nouvellement coordonnées par les troupes de SafePoint, l'enceinte de San Armonico s'est vue un peu plus affaiblie ; l'agencement des bidonvilles soufflé en une multitude de pièges d'acier encombrant les ruelles étroites, aux rebords saillants et écorchés tranchant comme des lames de rasoir. Les servants de mitrailleuses se voyaient abattus les uns après les autres par les tireurs d'élite, tandis que le plus gros des cannibales se battaient encore à l'extérieur de l'enceinte, fonçant sur les troupes d'Hudson dans une rage sanguinaire, sous les tirs d'obus hasardeux d'un blindé aveuglé par une épaisse fumée noire.

Mais ce n'est plus l'extérieur qui nous intéresse désormais. Vous voilà tous parvenus au sein même de San Armonico, trouvant votre chemin parmi les multiples brèches qui scindent les murailles d'enceinte. Ne comptez pas vous repérer facilement au sein de ce dédale d'acier partiellement effondré. Seule l'ombre imposant de l'immense aciérie et manufacture d'armes se découpant sur le ciel argenté par l'éclat de la lune peut vous servir de point de repère. Votre progression est à peine entamée que vous comprenez à quel point l'extérieur ressemblait au paradis face à l'enfer qui vous tend les bras désormais. Les étroites ruelles regorgent d'ennemis dissimulés surgissant au dernier moment, armés de crochets, de barres de fer pointues, de larges couteaux ou même à grands coups de mâchoires pour venir frapper dans vos rangs, tuer un ou deux de vos hommes avant de mourir de votre main.

Groupe de Matthew O'Conner

Alors que vous progressez depuis votre brèche, vous prenez la décision de vous enfoncer le plus rapidement possible vers les usines d'armes, d'autant que les munitions risquent de vous faire défaut. Progressant en file indienne au sein d'une ruelle rendue presque impraticable par les amas de ferrailles, c'est avec horreur que vous voyez Jean-Marc être happé à l'intérieur de ce qui s'apparente à une cabane d'acier, son hurlement d'effroi s'éteignant très rapidement dans un bruit glauque de viscères répandues au sol. Quelques mètres plus tard, c'est la jeune Wendy qui se retrouve avec un esse de boucher planté sous la mâchoire, avant d'être soulevé dans les airs par quelques Cookers glapissant de rage.

Groupe d'Alexis Ryder, Zachary Thomas et Davis G. Inverness

Les Cookers ne cessent d'affluer vers votre position, cherchant à reprendre le contrôle des tours de mitrailleuse dans une progression totalement chaotique. L'importance de votre groupe, ainsi que celui de l'Adjudant Robertson en pleine progression n'a pas manqué d'attirer leur attention ; et alors que vous vous trouvez en plein combat, à lutter contre des vagues de cannibales, vous entendez le hurlement strident d'alarmes provenir tout droit des ateliers de San Armonico.

Pour l'ensemble des joueurs

Impossible de dire ce que signifie ce funeste signal sonore, sinon la certitude que désormais, c'est aussi tous les infectés de Tucson qui risquent de se joindre à la partie. Il est grand temps pour vous de progresser afin de faire taire ces alarmes au plus vite, et achever la conquête de San Armonico avant que la massive horde des Z n'arrivent sur le bastion.

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16 Décembre 2014 - environs de 5h20
San Armonico,
Tucson, Arizona

Quoi ? Que voulez-vous que je fasse ? Que pensez vous que je puisse faire, si ce n'est garder mon fusil entre les mains et la tête froide, dans l'éventualité que cette dernière option soit encore réalisable. Que voulez-vous que je fasse ? Que je prie ? Comme s'il y avait encore un Dieu qui pourrait entendre mes prières. Que je pleure ? Pas le temps, et puis c'est pas le moment pour les états d'âme. C'est peut-être triste à dire, mais je suis là pour tuer un maximum d'ennemis afin que la menace s'amoindrisse. Certains me contrediront, affirmeront qu'ici, je sers mon camp, défend ma ville, Safepoint. Je ne pense pas comme cela. Si je me fais ce monologue intérieur aujourd'hui, c'est que j'ai l'impression de devenir un monstre. Un monstre qui abat d'autres monstres plus carnivores sous les coups de ses ogives. Je me dégoûte. Je me répugne. Je me déteste. Mais je ne lâcherais rien...

Sans dire un mot, je suis mon groupe, dirigé par Alexis et son ami. C'est celui que j'ai croisé au bar une fois, mais son nom m'a échappé. Nous bravons la fumée brûlante, reste vaporeux de l'explosion qui nous pique les yeux. Je ne cherche pas à comprendre, je calque mes pas sur ceux d'Alexis durant toute la durée de la manoeuvre. Quoi ? J'ai peur, et j'ai que seize ans je vous signale. Et puis vous n'avez qu'à imaginer que je sers de garde du corps au sergent. Nous avons perdu des soldats, beaucoup de soldats. Et, en temps de guerre, un gradé est toujours plus utile qu'une adolescente lambda. Dites tout ce que vous voudrez quant à l'égalité des sexes, et tout le tralala, vous ne pouvez pas prétendre que j'ai tort. Tenez, par exemple. Je n'aurais jamais été capable de diriger les opérations à venir comme il l'a fait à travers la radio. Un dernier "terminé" et ...

C'est ainsi que nous entrons au coeur de San Armonico. Mon premier réflexe fut de regarder en l'air, au niveau des tourelles. Plus aucun Cooker ne semble nous menacer en hauteur. Je lâche alors mon Steyr Scout, l'envoie se promener dans mon dos, et j'empoigne fermement mon pistolet mitrailleur. J'ai dans l'idée qu'il me sera plus utile en cas d'attaque massive d'opposants et ..

C'est quoi ce bruit ? Ça fait trop de bruit pour que ce soit un véhicule d'urgence. Une sirène alors ? Mon expression désemparée traduit plutôt bien mon état d'esprit. Non, désemparée n'est pas le bon mot. Fatiguée, lasse, me paraît être plus approprié, si l'on rajoute à cette idée une pincée de colère et une bonne dose de haine. Ce petit mélange d'émotions en moi qui fait grouiller mon estomac et trembler mon corps tout entier, me pousse à saisir Alexis par le bras et lui balancer avec détermination :

- Je serais une bonne soldate si je proposais à mon supérieur de trouver cette putain d'ânesse hurlante d'alarme et de la faire taire net, histoire d'être un poil plus discrets ?!!

Une rage dévorante, une haine grandissante, et une accumulation impressionnante d'épisodes de ras-le-bol me poussent à prendre les devants du groupe. Je n'ai même pas pensé au fait que je pouvais paraître ridicule, petit bout de femme que je suis, en bousculant les deux soldats plus costaud postés au devant de la troupe. J'engage alors ma route avec précautions, suivant aussi bien que je le peux la piste du timbre dissonant de l'alarme que j'ai distinguée être au Nord-Ouest, dans l'écho des pas des Cookers qui se rapprochent.
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ALEXIS RYDER

Alors qu'un dernier cooker s'effondrait une immense clameur jaillie des entrailles de San Armonico. Des signaux d'alarmes stridents qui allaient rameuter tous les infectés de la région.
Alors que la vingtaine de survivant reprenait son souffle entre deux vagues d'attaquants la jeune Davis vint voir Alexis et lança hargneuse :

- Je serais une bonne soldate si je proposais à mon supérieur de trouver cette putain d'ânesse hurlante d'alarme et de la faire taire net, histoire d'être un poil plus discrets ?!!

Elle commença ensuite à partir à l'avant du groupe. Mais Alexis la retint par le bras et la pris entre quatre yeux pour lui intimer d'essayer de se calmer. Ils allaient s'occuper des alarmes. Et il lui expliqua, ainsi qu'au reste du groupe en haussant la voix, qu'ils devaient de toute façon bouger d'ici car les cookers tenteraient de reprendre les mitrailleuses. Or ce n'était plus une priorité maintenant si l'on ne voulait pas se retrouver avec deux groupes de bouffeurs de chairs humaines aux fesses. Les cookers et les infectés.

Il demanda doucement à Davis de rester prudemment derrière lui et de le couvrir, il espérait ainsi qu'elle resterait calme, et en -très- relative sécurité.

Le petit groupe se remit en formation et emprunta un dédale de ruelles étroites entre les bidonvilles en tôle et autres matériaux de San Armonico.
Épisodiquement ils eurent à faire avec des duo ou trio de cookers les attaquants soient tels des bêtes armés de morceaux de métal, tantôt avec de l'armement hétéroclite.
Le groupe de Zack et Alexis perdit ainsi quatre personnes de plus.

Bientôt ils arrivèrent dans un rue un peu plus large permettant de progresser à environ cinq personnes de front et à part l'alarme stridente rien ne laissait supposer qu'il y avait ici des êtres vivants.
Ils avancèrent prudemment le long de la rue pointant leurs armes vers les divers ouvertures dans l'amas de ferraille autour d'eux.

Sans s'en rendre compte plusieurs safepointiens passèrent le pied au dessus d'un fin fil tendu à quelques centimètres du sol. Bien entendu ce qui devait arriver arriva.
L'un des membres du groupe percuta le fil et ne s'en rendit sans doute jamais compte.
Alexis qui avait tous les sens en alerte vu la situation entendit un 'SCHLAC' et hurla en espérant que les gens réagiraient :

-A TERRE !

Alors qu'il se jetait lui même au sol il sentit quelque chose passer au dessus de lui et entendit plusieurs impacts et cris de douleur. Du sang éclaboussa la rue jusqu'à Alexis et les cris des cookers résonnèrent au dessus de l'alarme.
Sans avoir le temps d'analyser ce qu'il venait de se passer le jeune sergent, qui était tombé à plat ventre, se mit rapidement à genoux et ouvrit le feu sur un premier cooker qui sortait d'une des nombreuses cavités un fendoir à la main.

-RELEVEZ VOUS ! ILS SORTENT DES CAVITÉS. UN TIREUR SUR DEUX A DROITE L'AUTRE A GAUCHE. FEU A VOLONTÉ.

Alexis ne pouvait plus qu'espérer que les membres du groupe encore en vie réagiraient. Et ce jour là l'instinct de conservation humain démontra qu'il pouvait faire des miracles.
Le combat fût bref mais d'une intense violence. Les cookers se jetaient avec une rage suicidaire sur les rangs clairsemés du groupe de safepointien.
Plusieurs hommes et femmes moururent sous les coups de l'acier rouillé des cannibales, et nombreux furent les blessés.
Alexis quand à lui avait laissé approcher un des cookers trop près de lui et celui-ci lui avait entaillé profondément la cuisse gauche d'un coup de couteau de boucher. Heureusement Zackary qui était à environ trois mètres d'Alexis l'avait débarrassé de son adversaire avant de continuer à faire feu.

Le temps des remerciements viendrait plus tard. Et une fois l'épisode chaotique terminé Alexis pût analyser la situation.
Il étaient tombé sur un piège rudimentaire mais efficace. Un mécanisme actionné par la rupture du fil avait projeté de nombreux pieux de bois de médiocre qualité agrémenté de morceaux de métal coupant. Plusieurs safepointien avait été ainsi littéralement cloué et transpercé par les projectiles. Puis les cannibales, au nombre d'une quinzaine, c'était jeté à l'assaut dans une rage sanguinaire.

Alexis pris la ceinture d'un mort et se fit un garrot sur sa blessure qui saignait abondamment. Le saignement diminua très fortement mais il devrait rapidement se faire un bandage pour limiter les pertes de sang. Néanmoins avant cela il tenait à s'informer de l'état du groupe.
Il compta seulement sept survivants en état de se lever. Au moins autant de blessé qui n'avait plus longtemps à vivre et cinq cadavres encore chaud.

Il fût soulager de voir que Zackary et Davis faisaient partie des vivants. Mais avant qu'il est pût aller se renseigner sur leur état il fût agripper par un main ferme venant de son côté. Il tourna la tête et vit un homme d'une quarantaine d'année, bien bâti, allongé dans une flaque de sang. Un pieu avait transpercé son abdomen et l'homme devait souffrir le martyr. De plus il mettrait peut être des heures à mourir d'une blessure à l'abdomen. Le pieu arrêtant en grand partie l'hémorragie. Néanmoins seuls ses yeux trahissaient la douleur immense de son corps.

-Gamin...écoute moi...Ma femme...Any Carter...Dit lui que je l'aime.... Et...Soulage moi...

Le jeune sergent était bouleversé par ce que l'homme lui demandait. Il avait très vite compris qu'il avait affaire à un homme dur. Quelqu'un qui connaissait les risques. Il savait qu'il était condamné. Il espérait simplement que le français pourrait peut être retrouver sa femme et lui transmettre un dernier message.
Sa dernière phrase était sans équivoque. Le regard de l'homme s'était fait très dur en prononçant ces mots et sa mâchoire c'était crispé.

La voix d'Alexis était hésitante et enrouée, une énorme boule remontée dans sa gorge lorsqu'il prononça :

-Je.... Il s'arrêta, il allait dire qu'il ne pouvait pas faire ça. Puis il se ravisa. C'était à son tour de serrer les dents et d'assumer les caprices du destin. C'était lui qui avait pousser ses hommes et femmes à le suivre jusque ici avec le sergent Thomas.
Il posa sa main sur le manche de son couteau de chasse attaché à sa poitrine sur sa veste modulaire. La prise de l'homme sur l'autre poignet d'Alexis se raffermit et il hocha presque imperceptiblement la tête. Son regard voilé par la douleur était maintenant suppliant.

-Je retrouverai votre femme si je le peux...

Les yeux de l'homme se perlèrent de larmes alors qu'Alexis faisait passer sa main tenant la lame de chasse derrière les côtes de l'homme, du côté du cœur.

Il murmura tout en fermant les yeux :

[color=green]-Je suis désolé...[/green]

Puis il enfonça d'un coup sec la lame entre deux côtes, remontant vers le cœur et tuant instantanément l'homme qui arrêta enfin de souffrir.
Le sergent Ryder rouvrit les yeux et retira sa lame, tournant doucement l'homme sur le dos. Il sentit un goût salé sur ses lèvres et comprit qu'il pleurait en silence. Il passa une main pleine de crasse sur les fin sillons tracer par les larmes sur son visage noir de saleté due aux combats puis il se retourna vers le reste du groupe.

-Soignez vos blessures pour ceux qui le peuvent. On doit être reparti dans cinq minutes. Je veux voir personnellement tous les blessés graves et écouter leurs dernières volonté.

Durant les quelques minutes qui suivirent le jeune français mis fin, sur leurs demandes, aux souffrances de deux autres blessés. Un homme et une femme. Il n'adressa la parole à personne d'autre que les intéressés durant cette période. Puis lorsqu'il eu fini sa besogne il accepta enfin que quelqu'un lui pose un bandage sur la cuisse. Il aurait été incapable sur le moment de dire qui s'occupait de lui tellement, encore sous le choc de l'attaque et des évènements. Mais il pensait avoir accompli au mieux sa tâche. Il n'en attendait aucune récompense. Il souhaitait simplement ressortir d'ici vivant avec le plus de personne possible.
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ZACKARY THOMAS

Les signaux d'alarmes d'origines inconnus avaient flanqués la trouille et l'angoisse à tout le monde dans le groupe. Ils n'avaient pas plus peur des Cookers, mais ce que le survivant lambda d'aujourd'hui craint par dessus tout, c'est le mort-vivant affamé qui cherche de la chair humaine. Cette alarme allait attirer tout les zombies du secteur. Étant donné la position fébrile de l'escouade sur les murailles avec les tourelles, il fallait se bouger le cul le plus vite possible avant d'être pris entre Cookers et Zombies.

Le groupe se remit en formation et fit route vers la provenance de cette alarme : les ateliers d'armes de San Armonico. De la sueur coulait sur son front et tombait dans ses yeux, Zack était obligé de s'essuyer le visage avec sa manche régulièrement.
Plusieurs fois, les hommes et femmes de Safepoint durent abattre des petits groupes de cannibales qui avaient complétement péter un câble et qui s'attaquait à eux en gueulant. Ils ne durent pas faire face à une grande résistance durant leur avancée dans la ville. Néanmoins, ils perdirent quelques hommes pendant les attaques Cookers.

Alors que tout le groupe continuait à avancer sur leurs gardes, ils débouchèrent sur une sorte artère du bidonville plus large que les autres rues. Ils pouvaient avancer à cinq de front.
Alors que le sergent Thomas s'essuyait le front une fois de plus en vérifiant que tout le monde suivait derrière, il entendit son homologue français crier à tout le monde :

-A TERRE !

N'ayant rien vu de la menace qui pesait sur le groupe, Zackary fit complétement confiance à Alexis et se jeta à terre immédiatement. Des bruits sanglants ainsi que des éclaboussures rouges eurent lieu juste côté de lui. Zack avait du sang partout sur lui et un civil du groupe lui était tombé dessus, mort un pieu enfoncé dans le ventre !
Sans réfléchir un instant de plus, le militaire poussa le cadavre sur le côté et essaya de reprendre ses esprit le plus vite possible. Il aperçut Ryder non loin de lui, ce dernier avait apparemment repéré le piège et organisait déjà la défense face à l'embuscade ennemi.

-RELEVEZ VOUS ! ILS SORTENT DES CAVITÉS. UN TIREUR SUR DEUX A DROITE L'AUTRE A GAUCHE. FEU A VOLONTÉ.

Le bruit strident de l'alarme lui avait dissimulés les cris barbares des Cookers. Ils arrivaient en courant près à en découdre avec les Safepoitiens. Zackary mit son arme en joue et vida le reste du chargeur de son arme sur quatre Cookers provenant de la droite. Les autres membres du Commando faisaient également feu, opposant une résistance héroïque aux cannibales. Mais le corps-à-corps fut mortel pour nombre d'entre eux. Un des cookers avait réussi à atteindre le sergent Ryder, mais Zack fonça sur cet ennemi et le asséna un coup de genou dans le ventre puis un coup de crosse de son arme sur le crâne, puis il sortit son pistolet et l'acheva d'une balle sauvant ainsi la vie à Alexis. Le sergent américain remit un chargeur dans son M4 et lâcha une rafale de trois balle sur un autre cannibales. Les forces ennemis se faisaient désormais plus rares et le combat tournait à l'avantage du commando de fortune formé par Thomas et Ryder.
L'intensité du combat fut proportionnel à sa breveté. Les soldat de l'Armée de Safepoint avait remporté la victoire à un terrible prix. L'alarme semblait retentir pour prévenir de la mort qui les attendait dans ce bastion.

Après que les blessés eurent été soulagés de leur douleur et que Alexis se fut fait un bandage à sa blessure à la cuisse, le groupe put repartir. En repartant, Zack se rendit compte à quel point il avait eut de la chance lors de cette embuscade, il avait éviter par réflexe le piège et pieu de bois et n'avait pas été blessé durant l'attaque au corps-à-corps.
Alexis semblait un peu sous le choc, alors ce fut Zack qui donna fit avancer les quelques survivants du groupe, cinq pour être précis plus la copine de Ryder et lui-même.

Le groupe avança ensuite sans rencontrer de résistance, beaucoup de Cookers étaient mort devant les enceintes de la ville ou encore en train de se battre. Certains devaient s'être planqués dans les ateliers ou les attendaient plus loin sur le chemin. L'alarme rendait la situation encore plus stressante.
La radio grésilla :

- Ici Robertson ! Thomas ? Ryder ? Vous me recev... PUTAIN, mais bute le !! ..... Avons subi de lourdes pertes... groupe décimé, continuons avancée vers les ateliers d'armes de la ville. Terminé.
- Nous aussi, on y va, terminé, fit le sergent Thomas.

Il n'y avait pas besoin de tergiversé, trop parler à la radio pouvait peut être les faire repérer.
Après un quart d'heure d'avancé aussi stressante que périlleuse, les survivants arrivèrent en vue de leur objectif. Mais un petit groupe de Cookers retranchés dans une sorte de maison du bidonville commença à faire feu sur eux. Zackary se trouvant en tête de colonne, il fut pris pour cible le premier, dés le coup de feu, il se rejeta sur le côté recherchant un éventuel couvert. Une balle lui frôla la tête mais son casque balistique le protégea.

En retombant au sol, il cria :

- FEU !! Ennemi sur la droite dans un bâtiment !

Les tirs ennemis continuèrent et un membre de leur groupe s'avança pour faire feu, il vida son chargeur et réussit à toucher un des trois ennemis, mais il finit par se faire trouer la peau par plusieurs rafales ennemis.
Ryder profita de l'attention des deux Cookers survivants sur le défunt coéquipier pour aligner un cannibale d'une rafale précise. Les autres membre du groupe continuèrent un feu nourri et tuèrent le derniers ennemi.

Le sergent Thomas se releva et remercia son casque. Ils reprirent leur souffle une minute et se remirent en marche vers leur objectif tout proche. Zackary essaya tant bien que mal de remonter le moral des troupes :

- Bon, maintenant les restant des troupes doit être en train de pénétrer dans l'enceinte de Safepoint... On a plus qu'à trouver le dispositif de cette alarme et à l'éteindre pour éviter une horde de zombie et à finir de prendre cette putain de ville !

Il vit bien que son petit discours n'avait pas eut un grand effet mais ils se remirent tous en route tant bien que mal, abandonnant le cadavre d'un de leur camarades.
Les ateliers se trouvaient à une trentaine de mètres devant eux derrière un bloc de tôle formant les habitations normales d'un bidonville cannibale post-apocalyptique. On entendait l'alarme encore plus fort que lorsqu'ils l'avaient entendu pour la première fois. Les ateliers risquaient d'être remplis de Cookers mais étant donné le nombre d'entre eux qui étaient sortis se battre et la probable avancée des troupes de SafePoint, prendre l'usine d'armement serait sûrement faisable à force de détermination et de courage... et de chance un peu aussi.
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Je ne compte même plus les attaques Cookers. Je ne suis même pas sûre qu'elles m'effraient encore. Je me contente simplement de les parer et de me défendre aussi bien que je le peux. Je ne compte même plus les soldats qui tombent. Pour l'instant, je me satisfais de ne pas être l'un des leurs. Je continue à avancer, près de Ryder et son collègue sergent, l'arme en main et la tête aussi froide que possible. Comme si la guerre devenait quelque chose de prosaïque. D'atrocement prosaïque. Seule la blessure d'Alexis et sa démarche boiteuse me font mal au coeur à présent. Je m'attends à le voir s'écrouler à tout moment. Je le surveille avec précaution, me tentant même de passer un bras sous le sien pour qu'il puisse s'appuyer sur moi, s'il en sentait le besoin. C'est l'autre gradé qui prend les rênes de notre groupe. J'avoue ne pas lui faire plus confiance qu'à n'importe lequel des soldats encore debout, surtout après l'épisode du Red. Je m'en souviens bien, que pensiez-vous ?

- Bon, maintenant le restant des troupes doit être en train de pénétrer dans l'enceinte de Safepoint... On a plus qu'à trouver le dispositif de cette alarme et à l'éteindre pour éviter une horde de zombie et à finir de prendre cette putain de ville !

Des zombies. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas parlé d'eux tiens, ils m'auraient presque manqué. Je hausse les sourcils en soufflant. C'est de l'humour bien sûr. Une bonne grosse bande de zombie est la dernière chose que je voudrais voir rappliquer ici. D'ailleurs, tant que nous en sommes à parler d'apparition éventuelle de nuisibles, je ne vois aucun Cooker à l'horizon. Je prends alors quelque secondes pour parler à Ryder avant l'assaut final, je l'espère.

- L'un sans l'autre, dans une guerre, on est morts. C'est toi qui l'a dit. Je reste à côté de toi pour te soutenir, littéralement. Tu dois rester avec moi. J'ai besoin de soutien moi aussi, j'ai besoin de toi.

Si cette scène avait été filmée, les producteurs nous auraient demandé de nous embrasser. Je les imagine, à deux mètres de nous, cachés derrière les cabanes en toile du bidonville, et juste pour faire chier des fantômes, je ne le fais pas. Puis aussi pour d'autres raisons qui mettraient en danger le peu de fierté qui me reste. Je ne sais pas si mon regard s'arrête dix, vingt, trente secondes ou plusieurs minutes dans ses yeux, mais en tous cas, il a eu largement le temps de percevoir certaines choses, que je ne citerais pas non plus pour ne pas heurter ma pudeur. Je dois quitter son regard lorsque je vois se dessiner, dans le dos du militaire, la silhouette d'un jeune garçon brandissant au dessus de sa tête une lourde massue cloutée. Il ne doit pas avoir plus de trois ans de moins que moi, à en croire l'état de sa peau de pré-pubère. N'empêche qu'il court vite, le temps que je réalise qu'il représente un danger imminent, il est déjà à une petite dizaine de mètres de nous. Le souffle coupé, je prends Alexis par le bras, le déportant vers moi, et sans avoir besoin de prendre le temps de viser, je tire une balle de mon pistolet mitrailleur dans le genou du gamin, et une autre dans son abdomen. Il persiste à avancer, il hurle, lance sa massue qui arrache la manche gauche de ma veste, en même temps que de griffer profondément mon bras. Je hurle comme je n'avais encore jamais hurlé de douleur. C'est insuportable. Je parviens cependant à envoyer une dernière ogive dans l'épaule, avant qu'il n'atteigne Ryder. Sa lourde arme tombe alors, en même temps que lui. Il suffoque. Il pleure. Il se vide de son sang. Ce gosse meurt.

Incapable de faire un commentaire, je relève les yeux vers Ryder. Mon bras nu me lance une douleur horrible, le froid sur la plaie ne brûle la peau. La massue a creusé plusieurs profonds sillons dans ma chair, ça pisse le sang. Je ne me tente pas à toucher le carnage, de peur de ne me faire encore plus mal. Le mieux à faire étant de l'oublier tant que la situation ne se sera pas arrangée. Je vois l'escouade qui commence à s'agiter. L'un des soldats, Nolhan je crois, nous fait signe sur que nous nous rapprochions, mais à la vue de ma blessure, je le vois écarquiller les yeux. Il prend alors le nécessaire de soin et vient me faire un bandage, me demandant des explications quant à cette horreur sur mon bras et au corps gisant du jeune garçon. Je lui raconte brièvement l'aventure en grimaçant, gémissante, avant qu'il ne murmure :

- Maintenant, on se la pète ou on se dégonfle..

Nolhan tapotte amicalement l'épaule d'Alexis, et nous rejoignons tous les trois notre bataillon d'infortune. Dernières vérifications d'armes. De brefs encouragements .. Et nous voilà lancés...
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MATTEW O'CONNOR

J'ai tout de même fait demi-tour pour arracher ces plaques et ai distribué des grenades, ainsi que des munitions. Je sais parfaitement ce que deviennent les corps de ceux qui tombent au combat, il n y a pas d'enterrement, seulement une fosse commune. Si l'on retrouve le corps bien sûr. Nous progressons de plus en plus vite, mais chaque mètre est intense, mon regard se pose partout, analysant le terrain, Jean-Marc est happé à l'intérieur de ce qui s'apparente à une cabane d'acier, son hurlement d'effroi s'éteignant très rapidement dans un bruit glauque de viscères répandues au sol. Je me tourne et ouvre le feu éliminant l'ennemi, tandis que j'ordonne de continuer la marche.

Frank est blâme, une rapide opération visant à nettoyer la plaie et à arrêter l'hémorragie, mais sans plus. Quelques mètres plus tard, c'est la jeune Wendy qui se retrouve avec un esse de boucher planté sous la mâchoire, avant d'être soulevé dans les airs par quelques Cookers glapissant de rage.
Je pointe mon arme en l'air tandis que deux autres font de même et ouvrons le feu l'un des cookers et éliminer et tombe avec le cadavre de Wendy, tandis que les autres prennent la fuite. " Les fils de putes "

Alors que j'ordonne de ralentir le rythme, c'est Clara qui commence à essayer de faire reprendre raisons aux autres et de partir, après tout ils n'ont rien demandés, pourquoi devrait-il se battre pour nous, pour les militaire ... je me tourne exaspéré, je sens la colère bouillir en moi rien que le fait de ne pas avoir sus protégé J-m et Wendy m'énerve, je n'ai carrément rien vu venir.
Pourtant, je n'en suis pas étonné, c'est évident qu'ils tentent de tous nous tué.
Je lui lance un regard haineux. - Mais tu vas la fermer ta gueule salope ! Et nous putain tu crois qu'on se bat pour qui ? Hein espèce de ... - Romain me coupe sèchement, indiquant que nous devons continuer au lieu de nous engueuler et qu'il n y a pas meilleur moyen de se faire repérer.
" Putain ... je suis en pleine opération et je me préoccupe de choses complètement con. Bordel, comment j'ai pu perdre mon sang froid."
Une boule qui se resserre dans sa gorge, le lieutenant est en sueur, la pression oppressante que peut engendrer ce genre d'endroit, des couloirs limités dans l'espace de mouvement et dans la hauteur, crée de manière anarchique, en complet désordre. Ce que l'on voit comme un mur peut très bien être une porte ou une fenêtre ... Là un bruit métallique, celui d'une lame aiguiser comme un rasoir entre choqué sur un quelconque métal ... je me tourne et me suis à mon instinct, mouvement du bassin à gauche je lève la jambe, la repliant à moitié et donne un coup de pied accompagnais de tout mon poids sur une tôle l'arrachant sauvagement.

Elle n'est pas fixe. Je reprends équilibre et donne un coup de talon faisant partir en vrille la tôle et découvrant un cookers à moitié sonné, je l'accueille d'une balle entre les deux yeux, lève mon fusil d'assaut, vise le second cookers qui hurle dans une langue qui m'est étrangère, je l'exécute aussi de deux balles dans le torse et une dans la mâchoire, pulvérisant celle-ci sous le choc. De la main je donne l'ordre de continuer, un dernier coup d'oeil, rien.
Plusieurs détonations résonnent dans mon dos. " merde " je me tourne et cherche une cible, des cookers sont étalés à terre criblé de balle, " si ont continuent comme ça, on aura plus de munition avant d'atteindre le fabrique ... "
Clara est tachée de sang et tremblante le cadavre de romain gisant d'un coup de lame le défigurant et ces tripes qui sortent. Les autres sont sur le qui vive tremblant de peur et sous la pression, mais je détecte une lueur de détermination pour survivre, dans certain.

Seule la fabrique est visible de toute sa hauteur et permet de nous repérer dans ce bordel, mais contre toutes attentes une alarme s'enclenche déclenchant un véritable enfer sonore, qu'est ce que ça veut dire. Putain ils veulent attirer les zombies pour nous faire tous tué ... LES MALADES !
Je lève le poing et m'arrête jetant un coup d'oeil rapide dans la prochaine ruelle rien. Je me tourne et m'adresse au groupe, -On doit se diriger vers le centre, c'est la fabrique et ce bordel vient de là, une fois sur place faudra trouver la source- Clara est toujours aussi nerveuse, les autres semble concentrer.
Je ferme les yeux et respire un coup. Nous avons parcouru la moitié du chemin et j'ai quasiment perdu la moitié de l'équipe ...

" je suis chef d'équipe ... je suis chef d'équipe "
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ALEXIS RYDER

Ils avaient continué d'avancer dans les méandres de San Armonico malgré leur nombre réduit. Davis c'était rapproché d'Alexis depuis le piège mortel où il avait été blessé.
Elle lui parla, disant des choses à la fois juste et sincère. Alexis sentit la tension entre eux. Et nous ne parlons pas ici de tension lié au stress. Mais à d'autres besoins humains bien présent. Cela dit ce n'était ni le lieu ni le moment pour ça. Ils échangèrent un regard lourd de sens et de promesses. Le jeune soldat aurait aimé être déjà sortit de ce merdier. Et simplement être ailleurs avec elle..

Alors qu'il pensait à un hypothétique futur un jeune cooker leur sauta dessus, blessant Davis au bras et s'effondrait transpercé de plusieurs balles. Il gémissait encore au sol alors que Davis se faisait poser un bandage. Sans état d'âme le sergent sortit son Five-seven de son holster et acheva l'ennemi d'une balle dans la tête.

Ils arrivèrent quelques minutes plus tard à l'entrée des ateliers. Ils étaient face à un immense bâtiment ressemblant à un grand entrepôt en tôle de l'extérieur. Une grand double porte défoncé plongeait dans le bâtiment et elle ne semblait pas garder. Néanmoins il pouvait y avoir plusieurs raison à cela. La première étant bien entendu un piège. La deuxième, tout aussi plausible, étant que la majorité des cookers étaient partis se battre à l'extérieur et dans les bidonvilles, ne pensant sans doute pas qu'un groupe d'envahisseur safepointiens arriverait jusqu'ici. Il pouvait également s'agir des deux options..

Ils progressaient au milieu d'un amas de débris d'acier et autres matériaux, et ici aucune habitation ne semblait coller les ateliers. Alexis avait l'impression d'être au milieu d'une décharge.
Il se dirigea vers Zackary qui était à l'avant de la colonne pour s'entretenir avec lui quant à la suite des évènements, et notamment la prise de l'atelier en face d'eux.

Il n'avait que quelques mètres à parcourir, et alors qu'il marchait vers Zack un zombie sortit d'un petit chemin entre deux piles de débris et sauta sur le jeune français qui ne pût rester debout à cause de sa jambe blessé.
Il tomba au sol avec son affectueux nouveau camarade essayant de mordre sa jugulaire. Son arme était coincé entre lui et l'infecté et il maintenait d'une main le zombie hors d'atteinte tout en cherchant à taton le manche de son couteau de chasse. Il vit alors que l'infecté n'était pas seul et qu'un genre de 'cage' contenant quatre infectés était ouverte au fond du chemin entre les piles de débris. Il venait de comprendre le piège. Ils avaient dû l'activer d'une manière ou d'une autre en pénétrant dans la zone. Il devait y avoir plusieurs coin avec des cages contenant chacune quelques infectés.

Il finit par trouver le couteau et planta la lame dans l’œil du mort avant de le repousser sur le côté. Les autres membres du groupes avaient réagi à la scène mais n'avaient osé tirer de peur de blesser Alexis. Mais ils s'étaient rapproché pour l'aider. Le sergent Ryder avait simplement était plus rapide qu'eux pour se débarrasser du danger.

Il vit que Zack était non loin de lui et en profita pour dire à la ronde :

-Il y a une cage au bout de ce petit chemin, elle contient quatre ou cinq infectés. Il doit y en avoir plusieurs sur la distance nous séparant de l'entrée de l'atelier. L'alarme va tous les faire bouger hors de leurs cages. Préparez vous.

Et en effet les camarades de 'chambre' de l'agresseur d'Alexis était déjà entrain de se diriger vers le petit groupe. Il n'y avait plus qu'à espérer qu'ils ne seraient pas cent ou deux cent dans le coin...

-Trois tireur sur la droite et quatre sur la gauche. On avance le plus vite possible en groupe. C'est à dire à mon allure -Il était en effet le plus handicapé au niveau du déplacement- Zackary je te laisse réfléchir à la suite une fois que l'on a atteint l'atelier.
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ZACKARY THOMAS

L'incident avec le zombie mis les nerfs de Zackary à vif. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas été confronté directement aux morts-vivants qui peuplaient maintenant la majorité de la planète. La panique s'empara de lui un instant alors qu'Alexis se battait avec le cadavre ambulant.
Heureusement, le sergent français réussit à le dégager après l'avoir éliminé. Néanmoins, il risquait d'avoir d'autre zombies dans le coin et ça compliquait vachement les choses. Déjà, avec plein de Cookers dans le bastion c'était la possibilité d'y rester à chaque coin de rue, mais si des zombies se cachaient dans les débris autour des ateliers, ça devenait presque une mission suicide.
Ryder se releva et s'adressa à lui :

- Il y a une cage au bout de ce petit chemin, elle contient quatre ou cinq infectés. Il doit y en avoir plusieurs sur la distance nous séparant de l'entrée de l'atelier. L'alarme va tous les faire bouger hors de leurs cages. Préparez vous.

Les paroles d'Alexis mirent fin à l'instant de doute qui avait traversé l'esprit du sergent Thomas. Il se reprit et se mit en position, son arme en joue et prête à cracher sur l'ennemi. Zack ne mit qu'une seconde à repérer les quatre infectés qui avançaient vers le reste du commando décimé dont il faisait parti.

- Trois tireur sur la droite et quatre sur la gauche. On avance le plus vite possible en groupe. C'est à dire à mon allure . Il était en effet le plus handicapé au niveau du déplacement. Zackary je te laisse réfléchir à la suite une fois que l'on a atteint l'atelier.

Il était risqué de rester dans l'allée pleine de débris avec les zombies qui progressaient vers eux, si les tirs rameutaient d'autres morts-vivants la situation deviendrait merdique et mortelle pour les soldats et civils de SafePoint qu'ils étaient. Le groupe pouvait se réfugier dans l'atelier qui se trouvait non-loin de leur position, mais Zackary redoutait ce qui pouvait se cacher dans le bâtiment.
En plus de cela, l'alarme stridente de San Armonico continuait son bordel et risquait d'attirer les zombies qui se trouvaient à l'extérieur de la ville.
Le sergent Thomas prit sa décision.

- Allez on se bouge ! On rentre dans l'atelier et on se démerde pour bloquer les portes ! cria-t-il au groupe. Si on n'y arrive pas on tire dans ces tas de chairs avariés !

Le groupe se mit donc en marche lentement. L'entrée défoncé de l'atelier se trouvait à une bonne dizaine de mètres. Largement faisable. Les quatre zombies étaient à presque 40 mètres du groupe.
Le sergent Ryder faisait de son mieux, mais sa blessure à la cuisse le handicapait et les zombies gagnaient un peu de terrain. Zackary hésita à donner l'ordre de tirer pour les ralentir, mais il redoutait d'attirer plus de problèmes qu'il n'en réglerait.
Finalement, alors qu'il pensait qu'ils n'atteindraient jamais les portes de l'atelier, il rentra dans le bâtiment.
L'alarme de San Armonico retentissait toujours et accentuait la pression qui pesait sur les épaules des membres du commando.

- Bloquez ces putains de portes avant qu'ils n'entrent dans l'atelier !ordonna-t-il. Alexis, surveille leur avancée, s'ils sont trop proches tu tires et on te rejoindra pour t'aider.

Un des civils survivant s'employait déjà à pousser une grosse table en fer qui trainait dans l'entrée de l'atelier. Avec l'aide des autres, il refermèrent les portes et placèrent la porte pour bloquer l'entrer. Avant que les portes défoncées ne retombent de l'autre côté et permettent aux zombies de passer par dessus la table, il empilèrent tout ce qu'ils trouvèrent afin de bloquer plus efficacement les portes de l'atelier. Des caisses, une autre table ainsi que des bout de métal qui trainaient là furent placés et enfin ils s'arrêtèrent pour attendre et voir si la protection tenait.

Les râles horribles que les zombies émettaient étaient toujours audibles, mais la barricade semblait tenir debout et empêchaient les morts-vivants d'entrer. C'était l'essentiel, il pouvait maintenant se concentrer sur leur objectif.
La menace ayant été écarté, ils se retournèrent tous attentivement vers le reste de l'atelier, armes en joue et paré au combat ! Il ne semblait pas qu'il y ait des Cookers ou des zombies à proximité d'eux dans le bâtiment. Néanmoins, la prudence était de mise. Une chaleur encore plus insoutenable qu'à l'extérieur frappait Zackary mais il n'avait pas de bonnes bières fraiches pour se rafraichir.

- Bon, tout le monde va bien ? On prend une minute de pause et on repart ! Faut éteindre cette alarme de merde. Personne à capter de message radio du gros des troupes à l'extérieur ?

Le sergent Thomas comptait sur l'entrée des forces Safepointiennes dans la ville pour en finir avec cette bataille qui tournait au véritable massacre.
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DAVIS G. INVERNESS

J’ai regardé les hommes de mon escouade s’affairer sous les ordres du sergent Thomas. Je suis la seule à ne pas avoir réagi à sa demande, et à ne pas avoir obéi. Quelque chose, une voix me soufflait que ce n’était pas la bonne chose à faire. Certes, l’idée de nous confiner n’était pas si mauvaise, mais un petit détail a été négligé. Les Cookers.. Qui a dit que nous n’en avions pas sur les talons ? Comment être sûr qu’un petit groupe ne nous suivait pas, discrètement ? Qui nous dit qu’il n’y a pas un passage qu’ils pourraient emprunter, une entrée derrière l’atelier pour qu’ils se rendent à l’intérieur ? Thomas n’a pas pensé à ça. Je savais bien que je n’aurais pas du lui faire confiance, à cet alcoolo. Nous sommes faits comme des rats à présent, et j’en suis furieuse.


- Bande de crétins ! Comment les renforts vont pouvoir entrer avec une barricade pareille ! Et comment on va pouvoir évacuer s'il s'avère que les bâtiments sont piégés ?! Ce que vous êtes CONS !


J’ai crié cette phrase avec une telle agressivité que je la regrette déjà.. Sans attendre aucune réaction de qui que ce soit, je m’empresse d’attraper le talkie walkie d’Alexis, fixé à sa veste modulaire, et de contrôler moi-mêmes les interférences. Le soucis, c’est qu’il n’y a rien. Seul le grésillement de la radio perce le brouhaha incessant de l’alarme qui hurle, inlassablement, infatigable. Je décide tout de même d’envoyer un message, qui arrivera peut-être à un destinataire.. sait-on jamais. Sinon, ces quelques mots passeront pour ceux d’une jeune femme désespérée, condamnée.. Voyez la poésie.


- Ici Inverness, avec le sergent Thomas. Nous sommes entrés dans les ateliers de la ville. Vous me recevez ? Inverness avec Thomas, Ryder .. dans les ateliers.. Terminé.


Et cette alarme ? Elle ne cessera donc jamais de sonner ? La sirène me broie les neurones, et sa dissonnance me file un mal de casque incroyable. J’ai juste envie qu’elle s’arrête, je m’en peux plus. Je ne sais même plus si mes idées se brouillent encore plus, ou si, au contraire, elles s’éclaircissent, n’empêche qu’en voyant la barricade.. Tous ces meubles empilés les uns sur les autres, et l’idée qui me paraît mauvaise de sa construction, je me dis qu’il faut que je sois folle. Personne ne le sera à ma place, de toute façon, et tout le monde sait que ce n’est pas dans la simplicité et dans la facilité que l’on fait des choses extraordinaires, mais dans la déraison et l’exubérance. Me vient alors l’idée de prendre un soldat, par exemple, et de me détacher du groupe. Ryder ne doit pas s’en apercevoir, il me suivrait et ferait rater mon plan. Ainsi, je tapotte l’épaule de Nolhan pour attirer son attention, et lui fais signe de me suivre. Son visage exprime une expression étrange qui m’est plus que familière. Un mélange de stupéfaction, d’appréhension et d’exaspération, mêlées à de la surprise et une pointe de tentation. Je ne lui explique rien, nous n’avons pas le temps de discuter, il me suivra, ou non. Me sauvera peut-être, ou non. Peu importe. Je ne peux juste pas rester là, à attendre des ordres. Je dois me bouger le train. Ce n’est pas comme ça qu’on sauve un camp.

Mon pistolet mitrailleur en joue, je me démarque du groupe sans demander l’autorisation à personne, le soldat Nolhan sur les talons. Nous marchons, prudemment vers un couloir ouvert, à la droite de la barricade. Un genre de tunnel, large de trois mètres, qui mènent sans doute dans les entrailles de l’atelier. De vieilles portes en alliage rouillé sont plantées tous les cinq mètres, sur les murs débraillés de l’atelier. Le bruit de l’alarme semble s’intensifier au mur et à mesure que nous nous enfonçons dans le couloir. Nous rasons les murs, afin d’être les plus discrets possibles et d’entendre le moindre changement de tons de l’alarme. La première porte semble cacher une pièce vide. La deuxième, pareil. C’est arrivés à la troisième porte que les choses se compliquent. Nolhan, qui couvre mes avants, me fait signe de m’arrêter et m’ordonne de faire quelques pas en arrière. Je refuse de lui obéir, et c’est avec une mine exaspérée qu’il ouvre violemment la troisième porte. J’étais loin de me douter que le bruit de l’alarme puisse être beaucoup plus fort, et pourtant, mes tympans pourront attester de cette augmentation de décibels instantanée. Pas de doute, c'est là-dedans qu'est enfermée l'épicentre des sirènes. Je vois Nolhan qui rentre dans la pièce, et ...

- Davis ! Sauve toi !


Un frisson parcourt alors ma colonne vertébrale, et le bout de mes doigts s'endolorit subitement. Quoi ? L'alarme se tait, et est remplacée par un cri d'agonie insupportable. Poussée par l'incompréhension, je me décale vers l'ouverture pour voir ce qui se passe à l'intérieur. J'ai l'horreur de découvrir le grand corps du soldat, pendu au levier rouge fixé au mur. Son dos est transpercé d'une multitude de couteaux, dont les pointes sont la source de rivières de sang qui inonde peu à peu la pierre du sol. Mon souffle se coupe, mes membres se figent et les larmes commencent à me monter aux yeux. Je fais un pas en arrière, collant mon dos au mur opposé du couloir, prête à tirer. Il y a quelqu'un dans la pièce. Avec Nolhan, ou ce qu'il reste du militaire. Je l'attends, j'attends qu'il ose se montrer. Je n'ai pas à attendre longtemps ..

Une silhouette horrible se découpe alors, se dévoilant depuis l'envers de la porte. Un homme, maigre et courbé, fait son apparition devant mes yeux. Les premières choses auxquelles je porte attention, ce sont ses mains. Il n'est pas armé, c'est déjà cela. Enfin, disons plutôt qu'il n'a pas d'arme à feu sur lui. Mais en regardant mieux son profil répugnant, j'aperçois un holster, dans lequel doit être rangé une dague, ou un poignard. Je ne pense pas qu'il m'aie remarqué avant de tourner mécaniquement la tête en ma direction. Il me dévoile un sourire d'une perversité cruelle. Ses grands yeux bleus au maquillage charbonneux paraissent être ceux du démon. Ainsi, il décroche vivement un couteau du dos de Nolhan et donne un grand coup de langue sur la lame pour en essuyer le sang. Davis ! Qu'est ce que t'attends pour déguerpir ?! Allô ! Réveille toi ! Je ne peux pas bouger, pas encore. J'ai juste envie de vomir. Il conserve son sourire et ouvre grand les bras, m'invitant presque à le rejoindre.

- Un petit steak de gonzesse, ça fait longtemps que j'en ai pas goûté. Viens là ma jolie !

Je le laisse faire un pas vers moi. Un. Pas deux. Il ne voit rien arriver, pourtant je lui tire une balle dans la main droite, le forçant à lâcher le couteau et à crier aux morts alors que je prends mes jambes à mon cou pour rejoindre le groupe. Je pleure, bien sûr que je pleure. Qu'auriez-vous fait à ma place. Mais c'est con, parce que du coup, j'halète, et me vois très vite essoufflée dans ma course. Le cannibale me suit. Je le sais, j'entends ses pas dans mon dos. Il lance des jurons, il m'appelle, mais je ne me retourne pas. C'est alors que je reçois sur le haut du crâne couvert par mon casque balistique, un grand coup de dague, qui me déstabilise et me ralentit. J'ai presque envie de dire, heureusement que ce n'était pas la pointe et qu'elle ne m'a pas transpercé le crâne, mais l'arme a pu ricocher sur mon casque et, après quelques secondes, se retrouvent à nouveau entre les mains du cannibale. Il ne perd pas une minute. Je suis presque arrivée au bout du couloir, je ne suis qu'à deux mètres environ du hall où sont regroupés les militaires lorsque la pointe de la dague me transperce le mollet droit. Je m'écroule par terre dans un hurlement...

- ALEXIS !!!!!

En effet, c'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit. Allez savoir pourquoi.. Sûrement parce que je suis en train de briser toutes les promesses que je lui ai faites. Je ne trouve ni le temps ni la force de me relever, le cannibale est déjà en train de me remettre sur pied et me plaquer la dos contre lui. C'est absolument abominable. Je renouvelle mon cri, me déchire les cordes vocales avant que le cannibale ne me mette sa main ensanglantée devant la bouche, en me donnant des coups de cuisses entre les jambes pour me forcer à avancer. Je m'essouffle, mes larmes coulent lorsque mon champ de vision me dévoile progressivement la barricade devant laquelle les militaires de Safepoint évoluent. Le cannibale m’enlève mon casque balistique, dévoilant à toute l’assemblée mon front mouillé de sueur, avant de le lancer à terre. En entendant le bruit, tous les safepointiens se retournent, je vous laisse imaginer la réaction de chacun ..

- Oh, quelle jolie petite bande de zozos. S'il me restait des citoyens à nourrir, j'aurais fait de vous mon festin général !

Il rit avec perversité. Vous savez, ce genre de rire satanique, insupportable qui vous noue les tripes.. souvent accompagné d'un sourire absolument ignoble et dégoûtant. Je l'entends prendre une profonde respiration avant de reprendre, sur un ton bien moins faussement cordial..

- Baissez tous vos armes ! Ce serait bête que vous la flambiez en voulant la récupérer ! J'ai faim moi !

Je cherche le regard de Ryder. Il peut lire dans mes larmes, tout ce qu’il aurait voulu, et qu’il aurait fallu que je lui dise. Le cannibale me force à détourner les yeux en griffant mon visage de ses ongles saillants et vernis de noir. Je retiens mes gémissements alors qu'il déchire ma peau. Il appuie bien sur mon bras déchiqueté, pour jouir encore plus de ma douleur. Je ne peux pas me débattre. Je ne peux pas lutter. Mon mollet me fait atrocement souffrir, j'ai un mal fou à tenir mon pied au sol. Ce type veut me tuer.. et je ne vois pas comment, ni pourquoi je pourrais l'en empêcher.. Non Ryder, arrête de me regarder avec ces yeux là. Je ne tiendrais pas.. à part si .. Si ...
Je ne trouve qu'une chose à faire. J'encoche fermement mon coude valide dans l'abdomen du cannibale, jusqu'au diaphragme, et ne trouve rien de plus intelligent que de me jeter au sol. Je tente de m'enlever l'arme blanche du mollet, et de viser les parties génitales du cannibale qui se courbera en gémissant...
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MATTEW O'CONNOR

Le commando improvisé, essuyant plusieurs embuscades de cookers, mais aussi de mort-vivant à leur grande surprise il y en avait ici, confiné dans des cages, attendant que la grille se lève et qu'une proie y passe. Tuant une dizaine d'entre eux, Clara est mordue à l'épaule droite et personne ne sait si elle est immunisée, même si l'infection met plusieurs heures à se déclarer, commençant par une fièvre brulante puis par la mort de l'hôte avant qu'il ne se lève de nouveau. Le morale de Matthew est au plus haut, guidé par cette envie insatiable de vengeance et de mort, mais se venger de qui ?
Des cookers ? Dans le fond ils ne font que survivre avec leur moyen, de plus c'est Safepoint qui les agresse, mais qu'importe ce qui doit être fait arrivera.Ne négligeant aucun des détails de là où ils posèrent leurs pieds, ils évitèrent plusieurs pièges, ingénieusement déposé, de fin fil relié à des bombes artisanal, contenant bout de fer aussi tranchant qu'une lame, des clous et autres objets tranchant.

Mais l'embuscade d'un groupe de cookers faillit tué le lieutenant qui fit l'erreur de laisser une ouverture, une erreur qui aurait dû être fatal pour n'importe qui, sauf que là, l'alliage de plaque en plus du gilet par balle le sauva de la rafale du MP5 ennemie. Vidant son chargeur dans un large arc de cercle de bas en haut, les balles s'écrasèrent à terre, sifflèrent dans l'air, percutant le dos du lieutenant qui se retrouva à terre. La colonne grinçante, il ne pouvait plus contrôlé son corps, la respiration bloquée, suffoquant et luttant pour réussir à inspirer de l'air, si précieuse.
Son dos lui faisait mal et ses poumons le brûlé horriblement quand il y parvint, ses Hommes tirés sur les cookers, certains maladroitement, faisant ricocher une frag contre les tôles, atterrissant aux pieds du groupe de cookers, bien trop sur exciter de vidé leur chargeur sur le commando planqué et bloqué par les rafales, ils ignorèrent le lieutenant qui semblé mort et n'ayant pas vu la grenade. Puis l'explosion retentit.

Se relevant presque sonné, il ne s'était trouvé qu'à peine à sept ou huit mètres de l'explosion, sa vision était flou puis clair, enchaînant ainsi plusieurs fois, ses oreilles sifflés, mais il n y avait pas de temps à perdre. Ils continuèrent leur marche silencieuse, parmi les dédales c'est à peine s'il fut surprit par l'attaque des morts-vivants, en plein San Armonico. Ca n'était pas la première fois que des humains capturé ces choses, ça n'était que des ennemies de plus à abattre, comme un seul homme le commando avait ouvert le feu sur l'ennemie. Les éliminant efficacement un par un, mais obligé de se replier vers l'atelier, lui ouvrait la marche et s'assurait qu'il n y est aucun cookers pour les accueillir, tandis que le reste du commando lui s'efforcé d'éliminé les cadavres ambulants. Un groupe de trois cookers voulurent les surprendre, mais de nouveau lucide, Matthew ouvrit le feu en premier tuant deux des cookers tandis que le troisième se jeta sur lui pour un corps à corps brutale.

Se prenant plusieurs droites qu'il encaissa et contra il ne perdit pas de temps pour répliqué et donna un coup de crosse au cooker, ne pouvant se séparé de son fusil d'assaut qui malheureusement l'handicapé grandement. Il tenta de saisir son couteau, mais n'y parvint pas, luttant de toutes ses forces pour évité que le cooker ne réussisse à lui planté le sien. Ils se tenaient tout deux fermement empêchant la lame de plonger dans un des corps. L’intervention de Nadia qui tira à bout portant dans la boite crânienne du cooker qui tomba à terre mollement, mit fin à la risque. Se relevant, ils procèdent à un rapide check, la troupe n'était qu'à quelques mètres de l'atelier, proche de couper cette putain d'alarme et possiblement proche du chef de tous ces tarés.

Poussant de grande porte, ils entrent en fil indienne, suivant la stratégie que le lieutenant leur a indiquer, deux à gauche, deux à droite et deux en centre, balayant la salle d'entrée dans laquelle ils se situent, une faible lumière éclaire dans c'est immense ténèbres.

La tension est presque palpable, en plus de l’alarme sonore infernale, mais Matthew est comme serein … de nouveau dans un élément familier, il a la rage et est particulièrement rancunier ce matin. Puis des ombres, un deux … six cookers qui marchent en groupe serré, le commando est planqué dans l’obscurité derrière d’énorme machines et bordel entreposer ici. Deux grenades roulent à terre, deux flash pour être sûr qu’ils soient tous atteint de plus, utilisé une grenade à fragmentation serait du suicide, sauf si vous ne vous trouvez pas dans une fabrique de munitions bien sûr.

Les cookers prient dans le flash éclair des deux grenade, insulte et crie à moitié courber, d’autre à terre essayant de s’accrocher à un garde fou, deux autres tirent à l’aveugle, tuant un des leurs, au même moment le commando sort de la cachette et ouvre le feu éliminant le groupe de cookers et ne laissant derrière eux qu’un bain de sang. - Ici Inverness, avec le sergent Thomas. Nous sommes entrés dans les ateliers de la ville. Vous me recevez ? Inverness avec Thomas, Ryder .. dans les ateliers.. Terminé.- Matthew empoigne le talki et répond. . –Fire en place dans l’atelier, inverness ? Passer moi un de vos sergent, vous me recevez ? Ryder, Thomas ! Où êtes-vous dans l’atelier? Terminé.-

Continuant leurs marches ils n'ont qu'une seule priorité pour l'instant. Trouver cette fichu alarme et la stoppé, sinon c'est tous les morts-vivants de la région qui vont venir festoyer. Cherchant la salle de contrôle presque à l'aveugle, leur chance de trouver est infime, puis l'alarme s'arrête. Des cris de lutte s'entendent, lointaine, mais audible. Matthew aux aguets et le reste de la troupe cherchent une explication, mais aucun d'eux n'a actionné un quelconque mécanisme. Nous quittons la pièce et prenons un escalier nous faisant redescendre au rez-de-chaussée, prenant la direction d'où est parvenu les bruits de combats.
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ALEXIS RYDER

Alexis se trainer le cul pour rejoindre l'entrée de l'atelier alors que les zombies envahissaient peu à peu le terrain derrière lui. Il arriva finalement, en dernier, aux portes de l'atelier. Il mit un coup de crosse de son arme dans la face d'un infecté un peu trop insistant avant de pénétrer dans le bâtiment.
Une barricade fût immédiatement érigée par le groupe sur les ordres de Zackary pour consolider la porte abîmée..

Alexis s'adossa à un pilier face à la porte pour couvrir la structure au cas où elle lâcherait, et surtout pour soulager la jambe et se reposer.

Il entend quelque part sur sa droite la voix de Davis qui pète un plomb après Zackary car elle pense que c'est une mauvaise idée de se barricader.
Le sergent Ryder préfère ne rien dire car tout le monde est à cran. Néanmoins il préfère être 'enfermer' que d'avoir une horde de zombie le poursuivant alors qu'il est tout juste bon à trainer la patte. Comme s'ils avaient d'autres solutions.

La furie se dirige alors vers Alexis et lui prend son Talkie :

- Ici Inverness, avec le sergent Thomas. Nous sommes entrés dans les ateliers de la ville. Vous me recevez ? Inverness avec Thomas, Ryder .. dans les ateliers.. Terminé.

Elle lui rend sa radio furieuse et s'écarte du groupe pour ruminer son agressivité. Pendant ce temps le jeune français est juste content d'avoir une pause pour lui même et il surveille la barricade qui tient bon face à la vingtaine d'infecté. Pendant ce temps les autres membres du groupe et le sergent Thomas discutent de la marche à suivre pour investir l'atelier et éviter les pièges.

–Fire en place dans l’atelier, inverness ? Passer moi un de vos sergent, vous me recevez ? Ryder, Thomas ! Où êtes-vous dans l’atelier? Terminé.-

Le jeune français sursaute quand sa radio grésille et lui transmet le message. Alors ils ne sont pas les seuls à avoir réussi à atteindre les ateliers?
Il attrape sa radio et répond :

-Ici le Sergent Ryder. On est au rez de chaussée. L'entrée est bloqué par des infectés mais la barricade tient. On va essayer de couper l'alarme. Terminé.

Alors qu'Alexis termine son message il remarque que Davis n'est pas avec le groupe de Thomas entrain d'élaborer un plan. Et au même moment le bruit strident de l'alarme se tait subitement. Il jure pour lui même à propos d'une idiote inconsciente et décolle le dos de son poteau pour rejoindre les autres.

Alors qu'il allait atteindre le petit groupe il entend des bruits de courses venant du couloir sombre menant à l'intérieur de l'atelier à quelques mètres.
Puis il entend Davis hurler son nom avant de la voir trébucher en pénétrant dans la pièce.
Immédiatement une silhouette décharnée bondit sur la fille et la saisit pour la relever et la mettre en lui et les armes du groupe.

-Oh, quelle jolie petite bande de zozos. S'il me restait des citoyens à nourrir, j'aurais fait de vous mon festin général !

Alexis comprend alors qu'il est face à Cook le chef de San Armonico. Il a dû déclencher l'alarme par dépit pour tuer tous les safepointiens venant attaquer sa ville. Les zombies venant de l'extérieur les soldats d'Hudson aurait été coincé entre la horde d'infecté et les cookers.
L'homme est complétement fêlée en témoigne son mode de vie et son rire idiot alors qu'il a une bonne demi-douzaine d'armes braqués sur lui.

- Baissez tous vos armes ! Ce serait bête que vous la flambiez en voulant la récupérer ! J'ai faim moi !

Le regard de Davis croise celui d'Alexis et il peut y lire le désespoir et la douleur. Cet enfoiré est entrain de torturer la jeune fille sous leurs yeux. Le sergent Ryder à l’œil droit dans sa lunette ACOG et vise Cook. Malheureusement il n'ose pas tirer de peur de tuer Davis du même coup. Alors que son cerveau tourne au maximum pour trouver une solution il voit la fille se débattre contre Cook et lui enfoncer son coude dans le plexus solaire. Cook en a le souffle coupé et Davis retombe au sol.

Sans réfléchir Alexis ouvre le feu sur le cooker et plusieurs balles font tressauter le corps du cannibale. Apparemment il n'est pas le seul à avoir tiré.

Sans attendre il se dirige vers Davis en claudiquant à cause de sa cuisse. La jeune fille est à genoux à quelques mètres à peine.
Il entend alors d'autres bruits de course venant de la coursive d'où sont arrivés Cook et Davis. Ainsi que plusieurs silhouettes arrivant vers eux précipitamment. Il n'est pas le seul dans le groupe à réagir et plusieurs coups de feu retentissent en direction du couloir. Alexis étant presque sur d'avoir touché quelque chose.

Pour un cri retentit :

-Cessez le feu ! Cible Allié.

Il est incapable de dire qui a crié ça mais confiant en Thomas pour le couvrir il arrive enfin au niveau de Davis qui est à genoux.
Il s'agenouille à son tour, grimaçant à cause de sa cuisse. Il redresse le visage de la jeune fille d'une main sous son menton pour que leurs regards se croisent. Leurs deux regards sont chargés de douleurs à cause de leurs blessures physiques, mais aussi psychiques, causés par la guerre et cette situation merdique.

Sans plus réfléchir aux conséquences le jeune homme porte le visage de Davis à hauteur de siens et dépose un baiser rapide sur ses lèvres avant de marmonner :

- Espèce d'idiote.

Puis il regarde autour de lui et voit qu'Alice la dernière femme du corps médical les accompagnant se dirige vers l'entrée du tunnel alors que quelques safepointiens en sortent. L'un d'eux lance :

- Le Lieutenant Matthew a été touché ! Qu'est ce qui vous a pris de tirer !

Alexis se redresse de toute sa taille tout en aidant Davis à faire de même après avoir retiré le couteau de son mollet. Une blessure qu'il faudrait bander.
Tenant la jeune femme contre lui il lance furieux au type qui vient de parler :

-Vous arrivez en courant sur une zone de combat bande d'abrutis ! Depuis que l'on est dans San Armonico des Cookers nous sautent dessus toute les dix minutes ! On vient de descendre le cinglé qui leur servait de chef et vous vous pointez au même moment ! La prochaine fois vous prendrez vos précautions.

Il n'en a strictement rien à foutre que lui ou l'un des membres du groupe ai touché un officier. Après tout c'est un champ de bataille et ce genre de choses arrive. S'ils ne s'étaient pas rués ici comme des idiots mais avaient pris leur temps en avançant prudemment il n'y aurait pas eu de blessé. Ou de mort. De toute façon Alexis voyait mal qui que ce soit lancer une enquête sur les circonstances d'un tir ami accidentel. Il n'y avait plus qu'à espérer que le lieutenant en question n'était pas gravement blessé, ou qu'Alice pourrait le sauver.
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ZACKARY THOMAS

La copine de Ryder péta un câble et traita Zackary d'imbécile pour avoir donner l'ordre de se réfugier dans le bâtiment et d'avoir tout barricader. Peut-être que c'était stupide mais entre deux problèmes il faut trancher. Et le sergent Thomas pensait avoir fait le bon choix. Il décida de ne pas répondre à la furie et de souffler un peu, tout en conversant avec les autres membres du groupes sur la conduite à adopter pour continuer l'avancée dans l'atelier.
Après que la folle furieuse ait prit la radio d'Alexis et envoyé un message pour connaitre la position d'éventuelle unités dans le secteur, elle se calma et permit à Zack de se détendre autant que faire se peut dans une telle situation.

Mais à peine quelques secondes après l'appel radio, une réponse survint :

– Fire en place dans l’atelier, inverness ? Passer moi un de vos sergent, vous me recevez ? Ryder, Thomas ! Où êtes-vous dans l’atelier? Terminé.-

Le sergent Ryder fut le plus prompt à répondre :

- Ici le Sergent Ryder. On est au rez de chaussée. L'entrée est bloqué par des infectés mais la barricade tient. On va essayer de couper l'alarme. Terminé.

D'un coup, l'alarme s'éteignit mettant à nerf le commando.
Les événements semblaient accélérer à grande vitesse car l'instant d'après des bruits de pas et des cris se firent entendre dans le couloir. Au même instant, Zackary remarquait l'absence de Nolhan et de la copine d'Alexis.
Immédiatement sur ses gardes et re-tendu à l'extrême, Zack saisit son M4 et le met en joue en direction du couloir prêt à recevoir dignement toute menace que pourrait représenter les Cookers.

La femme qui lui avait crié dessus déboucha du couloir en s'affalant au sol et criant le prénom du Sergent Ryder. Tout de suite après, un homme au physique décharné se jeta dessus avec un sourire sadique. Il les regarda un moment et fit :

- Oh, quelle jolie petite bande de zozos. S'il me restait des citoyens à nourrir, j'aurais fait de vous mon festin général !

Si l'homme parlait des Cookers comme de ces citoyens, il ne pouvait qu'être que le dénommé Cook, chef des Cookers et de San Armonico. Le coup de l'alarme était sûrement de son fait. Zackary ne put s'empêcher de remarquer qu'il était aussi fêlé qu'on le prétendait. Cela se voyait dans son regard.
Au vu de la lame de Cook pleine de sang, le Sergent Thomas en déduit qu'il ne reverrait pas Nohlan...

- Baissez tous vos armes ! Ce serait bête que vous la flambiez en voulant la récupérer ! J'ai faim moi !

Cook les mettait dans une situation difficile, certes la fille était énervante et tapait un peu sur les nerfs à Thomas, notamment à cause de leur altercation au Red Dawn, mais il ne pouvait se résoudre à l'abattre pour tuer un seul homme. Tout les compagnons de Zackary avaient leurs armes braqués sur le chef cannibale et son otage. La situation était bloqué.
Ce fut la fille qui la débloqua en se débattant et frappant son ravisseur au plexus, lui coupant ainsi le souffle, puis elle se jeta au sol.
Comme un seul être, tout les membres du groupe tirèrent sur Cook. Ce dernier est vite criblé de balles et s'effondre au sol, mort.

Ryder se jeta vers son amie pour voir comment elle allait, mais d'autres bruits de courses retentissent dans le couloir et plusieurs silhouettes se découpent dans l'ombre. Zackary lâcha deux rafales dans la direction des ombres et se mit sur le côté pour éviter la riposte. Deux autres soldats du groupe avaient eux aussi le réflexe de tirer.
Un cri retentit soudain :

-Cessez le feu ! Cible Allié.

Sans plus attendre, Zack fit signe à ses hommes de baisser leurs armes et de ne plus tirer. Ryder arriva jusqu'à la fille pour examiner sa blessure et l'embrassa en lui chuchotant quelque chose.
La toubib, Alice, marcha vers le couloir alors que des hommes et femmes de SafePoint émergèrent de celui-ci, visible énervé par les tirs qu'ils avaient essuyés.

- Le Lieutenant Matthew a été touché ! Qu'est ce qui vous a pris de tirer !

Alexis se releva et répliqua :

- Vous arrivez en courant sur une zone de combat bande d'abrutis ! Depuis que l'on est dans San Armonico des Cookers nous sautent dessus toute les dix minutes ! On vient de descendre le cinglé qui leur servait de chef et vous vous pointez au même moment ! La prochaine fois vous prendrez vos précautions.
- Alice, va voir ce que tu peux faire pour le lieutenant, ramène le par ici qu'on puisse lui parler, fit Zackary. Et dit aux autres de venir aussi !

C'était vraiment embarrassant. Un tir allié qui touchait un des rares officiers de Safepoint était vraiment con. Mais en même temps, le groupe du lieutenant était arrivé sans prévenir à tout vitesse. Et si ç'a avait été des Cookers, la réaction du groupe de Thomas leur aurait sauvé la vie.
Si l'homme qui était mort était bien Cook, et il était plus que probable que ce soit lui, le chef qui fédérait les Cookers n'était plus.

Zackary prit sa radio et la brancha sur toutes les fréquences pour envoyer un appel.

- A toutes les unités de SafePoint, veuillez indiquez votre position. Cook est mort, je répète, Cook est mort. Où en êtes vous dans l'avancée dans la ville. Nous sommes dans l'atelier et avons plusieurs blessés.

Après son appel radio, le Sergent Thomas se dirigea vers Alice qui était accroupi aux côtés d'un homme qui devait être le lieutenant O'Conner. En arrivant à côté de la toubib, il souffla et demanda :

- Comment il va ? Sa blessure est grave ? puis il s'adressa à l'officier. Désolé pour cet accident, lieutenant.
- Il devrait s'en sortir, il a juste prit une balle dans ventre, qui lui a brisé une cote, heureusement qu'il avait son gilet de protection par balle. Il aura un peu mal, mais il pourra continuer à faire son job normalement.

Zackary se retourna vers les safepointiens du Lieutenant et de son groupe. Tous étaient exténués de la bataille et des combats dans la ville. Chacun avaient dû voir son lot de morts et de sang dans la journée. Mais la bataille pour San Armonico n'était pas terminé et tous devait se tenir prêt à repartir au combat, même si les effectifs Cookers avaient chuté brusquement, il pouvait en rester dans l'atelier et il faudrait se rendre maitre du bâtiment pour vraiment s'emparer de la ville.
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FLASHBACK : EVENT SAN ARMONICO
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