Life is but a journey, an ephemeral and fragile one. Now it simply became bloody as well...
Jericho est de retour, et ses sbires ont remis en marche l’entreprise d’esclavagisme qu’ils semblaient avoir mis en veilleuse depuis quelques mois. N’importe quel survivant est une cible potentielle pour le regroupement de pillards et Dieu seul sait ce qui arrive alors aux pauvres âmes qui en sont les victimes… Le seul espoir des survivants de la ville s’incarne dans le maître d’orchestre de la seule victoire que les rescapés de Salem ont arraché à Jericho, Azad Kamrane. C’est-à-dire, l’homme derrière la chute de la Marion et qui a dans le même temps remis en liberté les esclaves que les Raiders avaient si durement rassemblés à l’intérieur des murs de la prison. L’Iranien a poursuivi les préparations de la lutte à venir, mais au-delà des questions concrètes qu’il lui faut considérer, plusieurs interrogations restent sans réponse. Qui sont-ils réellement? Que veulent-ils? Où sont-ils? Que font-ils de leurs victimes? Combien de personnes suivent Jericho? Autant d’inquiétudes auxquelles le leader des Offsprings devra très rapidement trouver des réponses…
CharteContexteFonctionnalitésBazarEspace PersonnelScénarios
A savoir
# Un event important est actuellement en cours ! N'hésitez pas à suivre son déroulement ici → An unreachable, yet invaluable prize...
#
Contexte
De l'humanité il ne reste presque plus rien. Derniers survivants face à la menace zombie, vous avez combattu la peur, la maladie et la misère. Six années se sont écoulées, combien de jours tiendrez-vous encore ? Nous sommes en 2017 et le monde a été plongé dans le chaos suite à une catastrophe biologique. Que vous veniez de Central City ou de contrées plus éloignées, votre course effrénée pour la survie vous a mené jusqu'à Salem, dans l'Oregon. L’accalmie qui régnait dans les derniers mois s’est terminé dans le sang et la douleur avec le retour des Raiders qui sont sortis de l’ombre dans laquelle ils se trouvaient. Ils ont depuis repris leur entreprise sombre, et tout être humain encore dans les environs, homme, femme et enfant sont à risque d’être faits prisonniers comme ils l’ont fait lors de leur arrivée en mars. Dans ce monde totalement changé, le danger rôde à chaque instant, et l’avenir de tous ceux se trouvant dans Salem est voilé d’une incertitude qui n’est pas près de se lever. Face à un tel raz-de-marée de sauvagerie, la survie de tous dépendra des actions individuelles de chacun... Et vous, qu'attendez vous pour nous rejoindre ?
Remerciements
Nous tenions à remercier le forum Never-Utopia grâce à qui le forum peut aujourd'hui connaître un renouveau. Un merci aussi à nos joueurs pour leur patience et leur soutien après tout ce temps. ZA n'est pas encore parfait, mais grâce à vous il vit. Un merci également aux administrateurs qui donnent de leur temps et ne cessent d'essayer d'améliorer le forum et le confort des joueurs...

Longue vie à ZA, et que la passion de l'écriture continue de nous lier, tous ensemble, dans cet univers.
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 Charlie Smith

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Messages : 213
Points : 3548
Date d'inscription : 08/05/2015
Résidence du Personnage : Dans le bois
Emploi du Personnage : Chasseur, pister la trace de son étoile
Rumeur : Il ne parle pas beaucoup

Gestion du Personnage
Points "6e sens" disponibles: 1
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Santé (blessure/maladie):
Charlie Smith
Charlie Smith





Charlie Smith
aka Robert Joy


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Nom complet : Charlie Smith
Date et lieu de naissance : 25 Avril 1985, Arizona
Nationalité : Américain
Groupe : Nomade en voie de devenir Offsprings of Freedom
Caractéristiques (375 pts à répartir) :
Force : 20  Charlie n’est pas Monsieur Univers. Loin de là. Il est rachitique. Mais à force de monter dans des arbres, tracter des cervidés et chasser toute sa vie, il a développé une musculation certes discrète, mais présente.
Agilité : 70  Il a toujours été agile et ses mouvements ressemblent à du vif-argent. Lors des combats rapprochés, il esquive plus souvent qu’à son tour.
Endurance : 60  Très résilient pour un homme de sa corpulence, le chasseur à une excellente santé qui lui a permis de tenir bon juste à aujourd’hui.
Perception : 70  Des yeux de faucons combinés à son expérience de chasseur. L analyse toujours son environnement.
Charisme : 5  Ressembler à une chandelle à demi fondue et être muet de surcroît ne permet pas des interactions sociales très développées.
Ténacité : 50  Vivre seul dans un monde apocalyptique forge le caractère. Mais après la mort de William et la disparition de son amour, le muet ne vit que pour revenir le lendemain traquer ses proies. Donc il est plus prudent qu’avant.
Intellect : 40 N’ayant pas une scolarité des plus développée, il apprend tout de même facilement le fondement du comportement à avoir pour survivre.
Instinct : 60  L’instinct du chasseur combiné à une régression vers la bête qui sommeille dans tout être humain à développer ce côté de sa personnalité.

_________________________________________________________


Compétences (300 pts à répartir) :
Combat au corps à corps : 24  Le chasseur est plus du style à attaquer dans le dos. Éliminer efficacement et en silence des sentinelles, des goules. Devant un adversaire, il peut tenir la ligne, usant de sa vivacité et d’esquives pour leurrer son ennemi et l’emmener à le poursuivre. Pour l'isoler et le tuer de sa manière favorite. Sinon il va essayer de le blesser pour lui permettre de prendre la fuite. Mais devant deux ou plus agresseurs,il va se replier simplement.
Tir : 50  Avoir un grand-père vétéran de la guerre du Vietnam et d’avoir chassé toute sa vie a rendu Charlie à l’aise avec les armes à distance. Il préfère cependant les carabines de chasse, les arcs et arbalètes et les pistolets de petit calibre. Dans ce monde où les balles sont rares, pourquoi utiliser des armes automatiques?
Exploration : 30  Le chasseur n’est pas une sommité dans ce domaine. Il  traque et chasse le plus souvent qu’à son tour. Il fouille aussi, mais il se dépêche, car on ne sait jamais ce qui va se passer.
Survie : 76  Il a survécu dans les bois toute sa vie. Charlie habitait au sommet de la montagne. Il se débrouille un peu en ville, mais ne lui parler pas du désert ou bien d’un autre milieu. Il n’aime pas être là tout simplement. Mais avoir habité près du désert, il a appris deux ou trois choses par lui-même.
Mouvement : 30  Charlie n’aime pas le bruit de la course et se borne à marcher le plus silencieusement possible.
Discrétion : 70  Chasseur de talent, il doit s’approcher de ses proies pour délivrer le coup parfait. Donc, Charlie est des plus silencieux, même en plus qu’il est muet. Ce qui est un double avantage en soi.
Construction : 10  Il a toujours dû réparer son chalet, le fortifier et l’entretenir. Donc il connaît le bon sens pour tenir un marteau.
Larcins : 0  Il n’est pas un gredin dans l’âme et ne prend que de l’équipement sur ses victimes mortes. Sinon il se débrouille avec ce qu’il a sous la main.
Médecine : 10  Les bases des premiers soins.
Conduite : 0  Il peut conduire lentement, mais laisse toujours les autres la joie de manœuvrer ses véhicules bruyants.
Compétence libre (écrire le nom ici) : ici

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Description physique :
Charlie est un homme dont le physique est durement éprouvé depuis les quinze dernières années. Il mesure un mètre 68 et pèse soixante kilogrammes. Nous avons affaire à un monsieur qui est un peu plus petit que la moyenne. Commençons par décrire ce que les gens voient en premier de lui. Charlie a les cheveux blond pâle et ils sont coupés avec peine au niveau du front. Son œil qu’on peut discerner est vert foncé comme les aiguilles d’un sapin. Passons à la forme de son visage, qu’on pourrait comparer à la forme d’un œuf. Sa paupière droite est tombante à cause de son accident de jeunesse (il ne peut plus vraiment l’ouvrir à cause des brûlures). Des lèvres minces et un long nez terminent un visage des plus banals. Sauf bien entendu si nous nous attardons à ses tissus cicatriciels, qui englobent la moitié droite de son visage. Un autre vestige de son accident de son passé qui a failli lui être fatal. Je ne peux décrire son timbre de voix, car il est muet de naissance. Mais ne vous en faites pas pour lui, car il a plusieurs moyens de communication à sa portée. Il a bien entendu le langage des signes, l’écriture et aussi le langage morse que son grand-père lui a appris. Donc, il a toujours un calepin avec des crayons de bois pour communiquer avec les gens. Passons maintenant à son habillement, qu’on peut qualifier de vêtement de chasse. Charlie porte toujours une tuque noire sur la tête, une veste de chasse de couleur vert forêt et un chandail à manche longue couvre son torse maigrelet. Sur le devant de sa veste, il porte un insigne qui le présente et qui évite par la même occasion des embêtements. "Bonjour ! mon nom est Charlie et je suis muet." Une paire de pantalons cargo gris et des rangers noirs complètent son habillement. Maintenant c'est un uniforme de prisonnier alors il n'a plus rien sauf sa gueule de porte-bonheur.


Description morale :
Charlie est avant tout un individu profondément sensible et émotif. Il se sent vulnérable et Charlie mobilise constamment ses énergies à prendre des précautions. S’il éprouve le besoin de se protéger en ne s'embarquant pas dans n'importe quelle aventure, Charlie estime ne faire preuve que d'une prudence parfaitement légitime. Il ne peut s'empêcher de réagir d'une façon très émotionnelle à son environnement. Ses sentiments et ses sensations joueront toujours un rôle important dans sa vie, mais c'est à lui de les canaliser, par exemple : de ne les laisser s'exprimer qu'au bon moment. Dans ces conditions, la permanence de ses émotions peut faire sa force, mais elle peut aussi, bien évidemment, être pour lui un handicap. Charlie est incapable de méchanceté. Loué ou calomnié, caressé ou battu, sa réaction est presque toujours ce sourire que des gens pourraient parfois qualifier de stupide. Charlie déteste le mensonge, la duplicité et il tient à sa réputation d'intégrité et de sincérité comme à la prunelle de ses yeux. Sa tolérance est légendaire. Mais il combat sa naïveté et de sa crédulité excessive. En effet, Charlie est très enclin à prendre pour argent comptant tout ce qu'on lui raconte, l'exposant ainsi à bien des déboires et déceptions. Toute sa vie, il cherche à éviter ou à désamorcer les situations de tension ou de conflit. Il fuit les querelles et les disputes comme la peste. Mais quand il croit que quelqu’un veut être son ami, il va tout faire pour être le protecteur. Son instinct de protection est très développé et il couvre du mieux qu'il le peut ses amis. Et bien sûr il est muet, donc il ne raconte rien ! Bien entendu si cet ami venait à le trahir, le doute va submerger Charlie et ce dernier va apprendre de ses erreurs justes à la prochaine fois qu’une nouvelle amitié va éclore.


Biographie :
Je suis comme à mon habitude en train de faire ma tournée des collets pour voir si j’ai capturé une prise. Je grimpe au second étage d’une maison en ruine et j’entendis un cri de rage. Comme le cerf qui cherche à identifier un son, je m’immobilise dans la seconde et je reste sans bouger pour bien m’orienter vers le cri. Un second hurlement et une série de coups de feu se firent entendre à ma gauche. Comme une ombre, je me dirige en silence vers la fenêtre et me plaque contre le mur. Les carreaux de la baie vitrée étaient cassés depuis belle lurette et je fis attention pour ne pas mettre mes pieds sur les morceaux de verres au sol. Je regarde au travers de mon télescope et je vis un colosse en trench-coat entourer par une multitude de morts-vivants. Il est acculé au mur et il n’avait aucune voie de retraite. L’homme ressemblait à Frankenstein, mais bientôt la marée commença à le submerger. Maintenant, il cri de douleur. Calmement, je place ma crosse à mon épaule et je lève les yeux pour avoir une vue globale. J’estime la distance à environ 480 mètres et il n’a pas de vent. Je pris appuie sur le bord de la fenêtre et ensuite le replace mon œil sur la lunette de ma carabine.

Je ne peux rien faire pour lui. Trop de morts-vivants et je ne tire pas assez vite pour lui dégager une voie. Je m’en veux de faire ça, mais une balle est une mort douce à comparer de vivre en zombie et de ne plus avoir d’âme.

Pendant un instant, j’ai cru discerner le regard de l’homme dans ma lunette. Son regard est implorant et il a l’air de savoir ce que je vais faire. Il hoche la tête avec ferveur. Comment peut-il me voir à cette distance. Mais avec son accord muet, je place ma mire sur son visage ensanglanté. Ce dernier commence à glisser vers les abîmes de la mort et de la souffrance. Je peux même voir des éclaboussures de sang jaillirent et ce que je crois pour des tripes commence à ce promener entre des mains putrides. Je presse la gâchette et le projectile de la carabine de chasse perfore l’œil droit de l’homme, détruisant son cerveau et mettant fin à la souffrance du mastodonte. J'essuie mon oeil et je pensai.

Au moins, il ne souffre plus!

Je relève mon arme et me dirige vers ma planque. Bien sûr, les zombies festoyaient sur le cadavre de l’inconnu, mais je ne veux prendre aucune chance. Après un trajet en zigzag au milieu des décombres de Riverside, j’escalade un amas de débris pour atteindre un point d’observation que j’ai aménagée pour surveiller les alentours de ma planque. Je sors mes jumelles et j’observe l’horizon, aucune créature, morte ou vivante, ne m’a suivi. Voilà déjà une semaine que je suis arrivée et le mastodonte que j’ai tué était le seul être vivant que j’ai vu dans les parages. Je sais que la majorité des êtres vivants habitaient dans l’enceinte fortifiée, mais comme j’ai vécu seul pendant un grand laps de temps, j’ai des sentiments mitigés pour ma première rencontre avec un être doué de raison. En restant aux aguets, je repense à mon cheminement.

Je sais ma date de naissance, mais je me souviens plus en quelle date nous sommes. Je suis né le 25 avril 1985. Williams est le lieu où j’ai passé la totalité de ma vie. C’est une ville du comté de Coconino, Arizona, située à 45 kilomètres à l'ouest de Flagstaff, dans la forêt nationale de Kaibab. Elle comptait 3 121 âmes. Une goutte d’eau parmi la multitude de villes au travers des États-Unis. Mais c’était ma ville et je l’aimais. Maintenant je ne sais plus si elle est encore envahie par les morts-vivants ou bien une bande de pillards. Bon comme je n’ai plus de famille dans cette ville, autant ne plus y penser. Ma famille me manque énormément. Mais au moins, ça me console de les savoir au paradis et non dans cet enfer. Mon père et ma mère me protégeaient, à un point que c’était presque étouffant. Mais je savais que c’était par amour et non par inquiétude. Ils ont eu tellement de fausses couches qu’ils avaient perdu espoir d’avoir un enfant. Ils m’appelaient « leur petit miracle sur deux pattes» et j’étais leur enfant unique. Même si j’étais muet, le langage de l’amour n’avait pas de frontière. Mon grand-père était aussi aux petits soins avec moi et je lui rendais bien. Même si je ne le voyais pas souvent, il était un forestier et aussi un chasseur reconnu dans la ville, j’avais toujours de ses nouvelles par des lettres ou bien par téléphone. Malgré mon handicap, j’ai appris à communiquer par signe et j’adorais lire. Pour le téléphone, je communiquais avec mon grand-père parce qu’il m’avait appris le morse. J’avais un bon parcours scolaire juste au jour de l’accident qui changea toute ma vie.

Je venais de fêter mes quatorze ans quand nous avions décidé d’aller au cinéma pour voir le film American Beauty quand mon père avait omis de faire un arrêt obligatoire. C’était une des rues les plus animées de Williams et une bétonnière arrivait à sa vitesse de croisière. La seule chose dont je me souviens c’était le cri de terreur de ma mère. J’avais perdu connaissance, mais la chaleur me réveilla. Une chaleur insupportable et des plus douloureuses. Notre voiture était en feu. J’essayais de me dégager, mais je ne pouvais pas. Le feu se propagea et il atteignait mon visage. La moitié de mon crâne était en feu. Je voulais hurler, mais aucun son ne sortit de sa gorge. Un bruit de verre cassé et des mains gantées me saisirent pour me sortir de la voiture accidentée. Je m’évanouis de nouveau à cause de la douleur et du choc. Les médecins me firent plonger dans un coma artificiel pour essayer de me guérir. Après plusieurs greffes, ils purent donner à mon visage une apparence un peu plus humaine. Mais ils me dirent que j’allais avoir des tissus cicatriciels tout au long de ma vie. Je leur fis signe que je voulais du papier pour écrire. J’écrivais que je voulais voir mes parents. Je voyais que les médecins et les infirmières étaient embarrassés par ma question. Mon grand-père entra sur l’entrefaite. Après avoir lu le message que j’avais écrit, il me parla d’une voix douce et les yeux pleins d’eau.

Salut mon grand. Tu vas mieux? J’étais plein d’inquiétude pour toi. Pour tes parents, ils sont morts dans l’accident.

Il me prit dans ses bras et je pleurais à chaudes larmes. Il me dit aussi qu’il m’aimait et que j’irais vivre avec lui en haut de la montagne dans sa maison sur la réserve de Bill Williams Montain. Après ma sortie de l’hôpital, nous avions eu plusieurs étapes à faire : les enterrements, le notaire, la vente de la maison et le déménagement chez mon grand-père. Une des périodes noires de ma vie. Ensuite, j’étais retourné à mes cours, mais maintenant j’étais une bête de foire. J’étais démoralisé et je n’avais plus de volonté de vivre. J’ai même fait une tentative de suicide. Mon grand-père décida qu’il allait me faire l’école à la maison. Mais le genre d’éducation qu’il me prodigua fut un autre genre que ceux appris dans les livres. Il avait décidé de faire de moi un chasseur et un amant de la nature.

Pour tout dire, au début je m’en foutais. J’étais encore sur la dépression. Mais mon grand-père avait la patience du chasseur et il l’instinct que j’avais du potentiel. Au début, c’était des grandes marches dans la forêt. Il m’apprenait à pister les petits animaux, identifier les plantes et me retrouver dans la forêt. Avec sa grande persévérance, mon grand-père sut faire la paix avec moi-même. La nature ne riait pas de mon visage ou bien de mon absence de parole. Je fus un bon apprenti et je pus chasser avec mon grand-père dès mes quinze ans. Mon premier cerf. Un beau mâle à six pointes. Je pensais que j’allais figer, mais mon index trouva la gâchette et mon arme fit feu. Mon premier gibier abattu d’une longue série. Mais comme tout bon chasseur qui se respecte, nous n’avions rien perdu. Une belle peau pour faire une veste, de la bonne viande et les pattes nous les avions utilisés pour faire des appâts pour la chasse aux coyotes. Il m’apprit tout ce qu’il savait sur le trappage, sur la survie, les premiers soins et même de la construction. Je me souviens de ses enseignements et le son de sa voix. Mes douze ans de bonheur. Alors vint la grande épidémie de 2011.

Je me souviens de la radio à manivelle de grand-père qui parlait d’une épidémie en Asie. Mon grand-père disait que ça allait rester là-bas, que les autorités allaient s’en occuper et que la saison de la chasse allait commencer sous peu. Mais la proie n’était pas les animaux, mais les humains. Bientôt des signalements de l’épidémie apparurent aux États-Unis. Mais mon grand-père était têtu et il n’écoutait pas les avis des autorités qui voulaient que tous les gens soient placés dans de lieux sécuriser. Il se sentait en sécurité dans les montagnes. Nous avions fait notre saison de chasse et passé l’automne dans la maison. Quand nous voulions aller en ville, nous avions pu constater que les morts-vivants avaient pris possession de toute la ville. Nous avions fait demi-tour et nous sommes réfugiés dans la montagne, notre terrain de chasse. Nous sommes mis à la tâche pour préparer le terrain, le couvrir de piège à ours, faire des trappes et des caches. Nos premiers contacts furent vite éliminés, car nous étions des chasseurs hors pair. Nous étions ébranlés de voir les ravages du virus sur des humains. Ensuite chaque matin nous faisions le tour des pièges pour éliminer les zombies. Des personnes qu’on connaissait, mais maintenant, nous avions décidé de survivre, alors nous mettions nos sentiments de côté et nous abrégions leurs souffrances. Mais bien vite les zombies commencèrent à se faire rares. Mon grand-père avait alors émis son hypothèse. Les zombies devaient être attirés par les concentrations de nourriture et ils étaient partis vers les grands centres urbains. Ceux qui étaient venus juste à eux devaient les avoir remarqués lors de leur descente à la ville. Maintenant, ils pouvaient se concentrer sur la chasse et la survie.

Au printemps 2012 nous étions retournés à la ville de Williams. Mon grand-père avait un arc à poulie et moi j’avais ma carabine de chasse. Nous avons rencontré quelques zombies, mais mon grand-père les élimina en silence. Nous avions visité quelques magasins, mais la plupart avaient été mis à sac. Nous avions trouvé quelques vivres et des outils qui pourront nous servir. Alors vient l’été que nous avions passé à fortifier la maison de grand-père. Des échelles pour accéder au deuxième, des planches sur les fenêtres au premier, des détecteurs de mouvements avec des boîtes de conserve. À l’automne, nous avions fait notre chasse et nous avions fait sécher la viande, car nous n’avions plus d’électricité. Nous avions rationné notre nourriture, mais nous ne mourrions pas de faim. À la radio, les appels à l’aide s’étaient estompés. Nous avions une carte routière et nous avions marqué les lieux de rassemblement. Nous faisons des croix sur ceux qu’on entendait plus parler. Il ne restait que Central City qui était situé à 423 kilomètres à vol d'oiseau de notre maison. Mais en 2013, la radio eut une défaillance et ils n’eurent plus de nouvelles de l’extérieur. Pendant les trois prochaines années, mon grand-père et moi, nous avions une routine à toute épreuve. Nous chassions, nous protégions notre maison et nous survivons. Nous faisions des excursions dans les maisons près de la ville pour les fouiller. Nous avons été malades, mais juste des grippes et des maux de ventre. Avec le gras des animaux, notre hygiène était garantie avec la production de savon. Tout allait assez bien exception faite des coupures et des cicatrices dues aux maniements des lames de boucher ou bien de l’équipement de construction. Au début de 2015, un zombie avait réussi à franchir nos défenses et à mordre mon grand-père. Nous en sommes débarrassés en vitesse. Mon grand-père tomba malade à son tour et je veillai sur lui. Je m’étais assoupi quand je sentis une vive douleur à mon bras. Mon grand-père était devenu un zombie. Je croyais que la maladie était partie avec le temps, mais elle se propageait avec la morsure. Je le repoussai et avec des gestes frénétiques j’essayais de le raisonner. Mais il ne me reconnaissait pas. J’ai dû saisir ma carabine et je lui demandai de me pardonner en pensée avant de faire feu. Je me couchai sur la dépouille de mon grand-père et je pleurai toutes les larmes de mon corps. Curieusement, après avoir désinfecté la blessure, je n’avais pas de fièvre. J’enterrai mon grand-père sur le terrain de sa propriété et j’ai décidé de partir.

Mû par mon instinct qui me dictait de me rendre à la dernière place que je savais qu’il y avait des survivants, Central City. En chemin je fouillais des carcasses de voitures et des maisons abandonnées. La seule trouvaille digne de ce nom fut le Smith et Wesson M29. Je l’avais trouvé sur la dépouille d’un state trooper dont sa voiture avait fait une embardée dans une dénivellation. J’avais aussi évité un groupe d’individus louches qui conduisait une camionnette avec des têtes humaines sur des piques.

Je m’installai dans la forêt d'Edgewood près de la ville de Safepoint. J'aurai bien aimé aller vivre dans l'enceinte fortifiée, mais je sentais toujours le regard de peur et mon ouïe entendait les murmures de sarcasmes dans mon dos. Alors, j'ai fait comme Papi m'a enseigné. J'ai fortifié un chalet dans les profondeurs du bois, j'ai installé une multitude de pièges et j'ai vécu en ermite. Une fois au deux-trois semaine, j'allais vendre mes surplus de chasse, de mes cueillettes et de mes trouvailles à monsieur Thompson. Il m'échangeait ces denrées contre des munitions et de l'équipement que je ne pouvais pas me fabriquer. Lors d'une de mes randonnées de chasse, j'ai aidé un petit groupe de survivants, dont deux militaires à tenir tête contre des pillards. À voir un des hommes, la jambe gauche en moins, je me disais que j'étais arrivée trop tard. Mais je l'ai revu après avec Mark le mercenaire (j'ai de la misère à le sentir lui) et Gabrielle une future maman. Nous avons fait un pique-nique et c'était la première fois que je me sentais accepter par des gens. Et depuis ce temps, William est devenu mon seul véritable ami.

Il a appris le langage des signes et m'invite souvent chez. Il me défend contre les moqueries des autres, me permettant de retenir le côté sombre que j'ai dans mon subconscient. Car oui j'ai un côté que Papi appelait le chasseur. Il est vraiment ignoble et j'en ai même peur. Je me considère comme un monstre, à grande partie à cause de mon apparence et de mon mutisme, mais aussi à cause de ce chasseur qui rôde jamais très loin et qui est prêt à tout pour reprendre le dominion. Je vivais du mieux que je pouvais, rendant visite à William. C'est durant cette époque que trois anges ont surgi dans ma vie. La première dame qui m'a approchée sans dégoût et qui a su apprivoiser le monstre qui sommeillait en moi fut Mary Snow. En premier lieu nous avons fait connaissance pour retrouver un meurtrier d’enfant. Ensuite nous sommes rencontrés lors d’une mission pour comprendre pourquoi certaines herbes attiraient les zombies. Je ne connais rien là dedans, mais nous sommes entendus elle et moi. Chose très surprenante si par habitude j’évite le contact des gens. Elle venait du Québec et c’était un ange qui avait connu la morsure du feu comme moi. Elle aidait les gens avec un groupe et elle m'a accepté comme j'étais. Elle m'a demandé de lui apprendre le langage des signes et elle fut ma première amie depuis de nombreuses années. Elle a disparu dévorer par un zombie et comme d'habitude je n'ai pas pu rien faire pour l'aider, car j'étais à mon chalet et elle dans la banlieue de Riveside.

Deux anges ont surgi presque simultanément. La première fut Helwa, une beauté rare et une personne au combien empathique! Nous avons entretenu pendant un temps une chaîne de lettres. Notre première rencontre fut des plus mouvementés, car elle s'était fait piquer par un scorpion. Elle a su me calmer et me faire sentir humain. Nous avons développé rapidement une relation de frère et sœur. Elle appelait ce lien des êtres de cœur. Yuri arriva aussi, une Coréenne qui ne parlait pas anglais et qui était enceinte. Comme de raison je lui ai fait peur et au début elle se méfiait de moi. Mais je ne sais pas pourquoi, elle a commencé à s'approcher un peu de mon ignoble personne. Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait, pourquoi ces deux anges préféraient rester à un résidu d'humanité de la sorte? Mais un soir le passé de mon amie est venu frapper à la porte et j’ai été à l’hôpital, assez amoché merci. C’est durant cette période que j’ai perdu la trace de mes deux anges. Je sais qu’Hewla est parti pour une mission de reconnaissance pour le conseil et que Yuri a disparu de son appartement. Je m’ennuie d’elles, car les gens qui font attention à moi et qui voient de l’autre côté de ma laideur ne sont pas légion.

J’ai trainé ma carcasse carbonisée encore un certain temps. J’ai aidé un gus de l’Académie du nom de Soren à fouiller des immeubles. Mais durant cette période, j’ai rencontré mon étoile et aussi mes deux amies. Phyllis  est la personne que j’aime le plus dans ce monde de merde. Elle a trouvé la force de faire ressortir l’humain caché dans les profondeurs de mon être. J’ai même recommencé à jouer du violon. Je m’en fous qu’elle était une prostituée, l’important c’est que je me sens bien avec elle. J’ai des envies bizarres, comme de le prendre dans mes bras et même de l’embrasser. Juste pour dire qu’à cette époque je fuyais les femmes et les regards. Un couple des plus solides que j’ai rencontré, Isabella et Paloma, m’ont encouragé à m’ouvrir d’une façon très spéciale. Je croyais que faire l’amour c’était d’être tout en douceur. Avec ce qu’elles m’ont montré, il y a plusieurs façons que je ne soupçonnais pas. Disons que ma vie a pris un tournant imprévu et j’étais sur que mon étoile allait me renier. Non elle a paru surprise que je sois honnête avec elle et Phyllis m’a dit qu’elle m’aimait et que j’étais son héros. J’ai déjà eu du laid à mort, gueule de porte-bonheur, leatherface, zombieman et j’en passe. Mais elle me dit des choses tellement belles que je ne peux l’aimer davantage.

Mais un jour ma bonne fortune a tourné et je me suis fait prendre par des militaires qui pensaient que j’étais un dissident. Essayer de leur expliquer que non, mais en étant muet ça ne sert à rien d’essayer. On m’a embarqué de force dans un convoi de prisonniers et j’ai fait de la prison. J’étais gênée et surtout mal à l’aise dans ce groupe. J’aurai dû écouter mon étoile et rester avec elle au lieu d’aller vérifier mes collets. Un nouveau convoi et à ma plus grande stupeur, une bombe à exploser et ça à raser la ville. Au moins, j’ai vu de loin les véhicules de l’Académie et j’espérais que mon amour était avec eux.  J’ai dû travailler avec la Famille et être le mitrailleur de Kathleen. Disons que des fois je n’aurai pas dû être là et je m’en veux.  J’aurai dû être avec mon étoile. Au moins, j’étais avec mon meilleur ami qui filait un mauvais coton. Il fut blessé, mais j’étais du bon groupe sanguin alors je n’ai pas hésité. Chose incroyable, près de Salem les gens ont commencé à se transformer d’un coup. Sans être mordu ou quoi que ce soit. J’ai dû faire un dernier travail pour la Famille et rendre sécuritaire une ferme pour soigner mon ami. Mark m’a dit que je pouvais y aller et il m’a équipée comme il faut. J’ai décidé d’aller vers la dernière position connu de mon amour. En chemin j’ai reçu un appel de mes amies et j’ai bifurqué. Nous sommes installés dans un bois et nous avons créé la Meute.  Mais je devais aller à Portalnd. Pour revoir mon étoile. Je n’ai trouvé que la mort et la désolation. Mon monde s’est brisé quand j’ai vu le cadavre d’une femme blonde déchiqueter et mon collier. De retour dans la forêt, je comprenais maintenant la perte subie par mon ami. Je ne voulais protéger que mes amies et les membres de ma Meute et c’était rendu obsessionnel.

Isabella m’a appris après quelques mois que mon amour était vivante. Phyllis m’a acceptée et je n’ai jamais été aussi heureux, même si je me suis fait battre par un costaud qui était jaloux.  Elle a même accepté de porter l’anneau de mamie et d’être liée à moi comme mari et femme. Je ne pensais jamais qu’une femme allait m’accepter de la sorte. Une année presque complète de chasse, de fouille, d’apprentissage  et de musique, car oui j’avais un violon, fut terminer brusquement par une attaque. La Meute était partie dans une exploration à Seattle et j’étais restée avec mon étoile à l’Académie. Les pillards nous ont attaqués et je me suis retrouver en prison pour la deuxième fois de ma vie. Je sais que Phyllis est dans l’autre aile et je fais tout pour essayer d’être transférer avec elle. Je m’ennuie tellement d’elle. Mais j’aide au moins William et je sais qu’il s’en veut pour n’avoir pas pu protéger les siens. Des fois je crois voir Phyllis au travers de barreaux et j’aimerais tellement pouvoir crier son nom. Ben non je ne peux pas je suis un putain de muet.  Alors, je passe mes nuits à imaginer des compositions que je pourrais lui faire entendre. Je voudrais juste lui tracer un cœur sur sa joue et sentir sa respiration sur mon côté de mon visage qui le peut encore.

Histoire récente...

Une attaque massive sur la prison a eu lieu. Heureusement pour moi, car je devais être pendu peu de temps après. Enfin bref me voilà en train de me sauver hors de là avec trois Québécois, William et Aya. Il y a même un chinois. Nous avons trouvé une cachette, un refuge. J’ai écumé les alentours pour essayer de retrouver mon étoile. Retourner chaque pierre. Au plus profond de moi je savais qu’elle n’était pas morte. Mon cœur et mon âme me le dictaient. Dans le même souffle, je recherchais Kelsey, la douce amie de mon frère d’âme. Par la grâce divine, j’ai retrouvé mon ange et Wolfie, mon loup qui l’accompagnait fidèle à sa meute. Nous avons passé des jours, des semaines à nous aimer et nous cajoler. Je redevenais humain sous ses caresses et son amour véritable. Mais une seconde attaque fit tomber notre refuge. Je n'étais pas là, mais j'ai su que William et Aya ont combattu avec hargne et mourir sous la violence de l’assaut. Tout ça pour couvrir leur groupe, leur laisser le temps de retraiter. J’ai perdu mon amour des yeux. Mon cœur s’est alors déchiré en de multiples fragments sanglants. Estelle est arrivée, choquée et traumatisée par la mort violente de son frère. Je suis retourné à la ferme et j’ai pu trouver le chapeau de cowboy de William. À l’intérieur se trouveraient quelques photos que je chéris de toute mon âme. Il y a une avec mon amour et moi. Chaque soir je caresse du pouce  le doux visage de Phyllis et je redeviens l’espace d’un instant un homme, un mari. Mais après je deviens le chasseur, la bête qui traque les assassins de mon ami, de mon groupe. Estelle me suit, fait partie de ma nouvelle meute. Donc nous sommes trois à chercher vengeance et rédemption. À essayer de retrouver Phyllis car je suis persuader qu’elle n’est pas morte. Elle doit vivre sinon je vais mourir pour la rejoindre. Retrouver mon ange et mon ami en haut…


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1 objet inhabituel (Parmi les objets utiles, les équipements militaires, les armes de corps à corps et les consommables médicaux) : Bracelet allume-feu
1 arme de corps à corps (commun ou répandu) Couteau de chasse

Objet donné lors de la transition : Moyen : Remington 700
Petit : Couteau de chasse et lampe de poche
Minuscule : Cartouches de .308 win (15), Antibiotiques et batterie (2)



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Dernière édition par Charlie Smith le Mar 1 Nov - 15:35, édité 2 fois
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Rebonjour Charlie, et rebienvenue sur ZA!

Bien heureux de te voir réessayer ZA, tu es bien évidemment le bienvenue dans notre petite famille et tout ce qui t'en sépare, ce sont ces quelques détails. Tu les règleras très rapidement j'en suis sûr.


  1. Le combat corps à corps de Charlie me semble adéquat pour effectuer la technique subtile à laquelle tu fais référence, mais je ne pense pas que Charlie sache aussi bien se débrouiller dans un réel cadre de combat, lorsqu'un autre être vivant mobilise son attention et son énergie à lui résister. Il faudrait que tu l'indiques un peu plus en détail dans le court descriptif.

  2. Vu la grande utilisation de ses capacités physiques au fil de ses activités de survie, un 10 me semble légèrement trop bas. 20 serait parfait et tu pourrais aller les chercher dans l'intellect en le descendant à 40. Un score très adéquat pour représenter la débrouillardise de Charlie et son manque de formation académique poussée.

  3. Ayant lu le scénario dans le 4283 Markham Street a tombé, il y a un élément qui nécessiterait des corrections pour qu'il concorde avec le récit. C'est que Charlie n'a pas pu voir William et Aya se battre puisqu'il n'était pas là. Il a dû apprendre les faits après coup, et être retourné sur place prendre le chapeau et les photos quelques temps plus tard lorsque l'endroit fut plus sûr. Pour des détails sur le sort de William, tu peux aller lire le scénario "Fraternal love".


Plus que quelques corrections et ton retour sera officialisé. La famille ZA vous accueillera de nouveau avec les bras ouverts. Comme je te l'ai indiqué en privé cela dit, ceci constituera la seule chance de retour possible. J'espère sincèrement tu trouveras ton compte parmi nous.  

Cordialement,

Mastermind
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Voilà c'est fait je crois. Pour le rp en question c'est où?
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Re-Bienvenue sur le forum !

Ton personnage est désormais validé, tu intègres le groupe des Survivants.

Tu as maintenant accès à ton Espace Personnel, et avant de commencer tu devras effectuer les quelques actions suivantes :


  • Ouvrir tes quatre sujets obligatoires (bilan de tes RPs, inventaire personnel, tes relations, et tes lancers de dé).
  • Activer ta feuille de personnage. Pour se faire, clique sur ton profil, et regarde bien la ligne d'options au-dessus de l'encadré noir. Au bout à droite tu en verras une nommée "feuille de personnage". Il suffit de l'activer, et d'ajuster les paramètres qui s'y trouvent (le nombre de RP complétés et ta réserve de point 6e sens qui passe à "1" avec ton inscription)

En espérant que tu te plairas parmi nous, à bientôt en jeu !
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Charlie Smith
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