Amanda Reyers

Amanda est une femme ayant vécu une bonne partie de sa vie en marge de la société. Son aspect extérieur actuel reflète plus de l'animal que de l'humain.

Pourtant sur le papier sa sonne bien, écoutez plutôt. Elle est plutôt svelte avec sa taille avoisinant le mètre soixante et ses cinquante kilo. Ajoutons à cela qu'Amanda est blonde aux yeux couleur vert de gris. Des formes féminines présentent, et une musculature fine et légèrement marquée.

Vu comme ça Amanda est plutôt une très jolie femme. Hélas la vie ne lui a fait que peu de cadeau durant la pré-apocalypse. Ce qui fait qu'Amanda a toujours eu une apparence un peu négligée. Ajoutons à cela son passage par la case prison et la case junkies. Et voilà comment de belle on passe à fade voir raté. Enfin c'est toujours comme ça qu'Amanda c'est vue.

L'après arrivée des zombies n'arrangea rien à son "look". Amanda tient maintenant plus de l'animal que de l'humain, ses cheveux blonds sont sales et emmêlés, elles même est des plus négligée et crasseuse. Pourtant dans son regard on peut y lire une étincelle de vivacité qui ne demande qu'à être réveiller et à rendre à ce pauvre corps devenu chétif et mal nourrit s’apparentant plus à Golum en plus beau et en plus puissant tout de même, une apparence de femme.

Aux dernières nouvelles elle avait été aperçue aux alentour Millersburg au sud de Salem non loin de la Willamette River. Elle portait à l'époque de vielle baskets usées un pantalon à poche trop large pour elle, limé et troué en plusieurs endroits un sweet noir à capuche lui aussi mal en point.

La psychologie d'Amanda ? Suicidaire ? Non ça c'est ce qu'elle tente de faire quand il n’y a plus rien qui va. Mais elle a toujours échoué. Non Amanda est ce genre de femme qui toute sa vie s'est sentie rabaissée, humiliée, écrasée par les autres.

Dire qu’elle n’a pas eu de chance est un doux euphémisme. Pourtant, des gens dans son état il y en a et qui s'en sont sorti. Elle ben elle a espère la mort même lorsque les zombies sont apparus. Elle s'est laissé mordre par un zombie isolé se disant qu'enfin elle serait délivrée de cette vie de merde. Mais non. Comme si son corps avait décidé de lutter tel la teigne, ou une maladie de ce genre. Il a fallu qu'elle soit immunisée au virus.

Déjà durant son enfance Amanda a subit l'oppression et l'humiliation des autres. Seule sa mère Jessica était son rocher dans cette mer tumultueuse. Les rares moments où mère et fille avaient du temps pour elles étaient de vrais trésors. Mais à côté de ça Amanda voyait bien la rudesse de la vie. Ramenée à l'état de moins que rien par tous, elle a fini par se convaincre que sa place était celle-là. La vie dans la rue ne lui a guère appris plus que la méchanceté des autres.

Sa vie est jonchée de morceau de méchanceté et d'humiliation subie. Et ce même après l'arrivée du virus qui réduisit la population mondial à l'état d'aujourd'hui. Les différent groupe d'humain ne l'on jamais considéré que comme un bout de viande sexuelle, ou comme "une esclave". Vu qu'elle avait peu de personnalité et peu de répondant. Elle a tout de même finit par quitte le dernier groupe ou elle était pour vivre par ses moyens, seule. Une vagabonde qui fait son chemin a la seule force physique de son corps. Parce que de volonté Amanda n'en a pas ou plus ou pas encore allez savoir. Les seuls contacts humains qu'elle a eus l'occasion de faire elle les a évités devenant plus "animal" dans sa façon de se comporter plus vagabond.

On dit que l’être humain est un exemple d’adaptation. Ce n'est pas faut si par adaptation on entend un retour de l'animal sur l'humain. Amanda a des réactions très bestial et exacerbé. Sa peur la fera fuir ou devenir agressive et dangereuse.

₪ LE TIR [Nul pour ne pas dire incapable] - Armes de poing : Niveau 0 - Armes d'épaule : Niveau 0 - Armes de trait et de jet : Niveau 0 - Fusil de précision : Niveau 0	₪ LE CORPS-A-CORPS - Combat à mains nues : Niveau 6 - Armes courtes : Niveau 4 - Armes à une main : Niveau 3 - Armes à deux mains : Niveau 3
₪ LA PRÉDATION - Cueillette, chasse & pêche : Niveau 3 - Fabrication de pièges : Niveau 1 - Traque : Niveau 6 - Camouflage : Niveau 3	₪ L'EXPLORATION - Escalade : Niveau 6 - Reconnaissance : Niveau 3 - Exploration rurale : Niveau 4 - Exploration urbaine : Niveau 3

Rappel des niveaux à répartir : 20 niveaux en compétences de survie, 25 niveaux en compétences techniques et 25 niveaux de compétences à répartir librement entre survie et technique.

₪ AGRICULTURE [NTR] - Elevage : Niveau 2 - Plantations céréalières : Niveau 0 - Plantations fruitières : Niveau 0 - Plantations maraîchères : Niveau 0	₪ ARTISANAT [FBL] - Métallurgie : Niveau 0 - Maçonnerie : Niveau 0 - Menuiserie : Niveau 0 - Charpente : Niveau 0
₪ ELECTRONIQUE & INFORMATIQUE [NTR] - Electronique : Niveau 0 - Électrotechnique : Niveau 0 - Informatique : Niveau 2 - Programmation : Niveau 0	₪ EXPLOSIFS [FBL] - Bombes artisanales : Niveau 0 - Explosifs plastiques : Niveau 0 - Engins incendiaires : Niveau 0 - Grenades et lanceurs : Niveau 0
₪ MÉCANIQUE [FBL] - Mécanique auto & moto : Niveau 0 - Mécanique PL et engins : Niveau 0 - Mécanique Aéronautique : Niveau 0 - Carrosserie : Niveau 0	₪ MÉDECINE [SPE] - Chirurgie : Niveau 3 - Pharmacologie : Niveau 5 - Psychologie : Niveau 1 - Médecine : Niveau 5
₪ PHYSIQUE & CHIMIE [NTR] - Electricité : Niveau 1 - Optique : Niveau 0 - Chimie/Biochimie : Niveau 2 - Géologie : Niveau 0	₪ PILOTAGE [NTR] - Deux-roues : Niveau 1 - Automobile : Niveau 2 - Poids lourds et engins : Niveau 0 - Hélicoptère : Niveau 0

Rappel : N'oubliez pas de préciser quelles sont vos domaines de spécialités (SPE), neutres (NTR) et faibles (FBL) à côté du nom du domaine.
Rappel des niveaux à répartir : 20 niveaux en compétences de survie, 25 niveaux en compétences techniques et 25 niveaux de compétences à répartir librement entre survie et technique.

Du plus loin qu’elle se rappelle, Amanda n’a jamais connu que sa mère. Les histoires qu’elle lui a raconté annonce que son père serait mort dans un accident de voiture. Mensonge ou réalité ? Amanda ne le sait pas vraiment. Sa mère a toujours éludé le sujet. Mais elle semblait prise de chagrin et de sentiment quand elle en parlait. Et Amanda, pour ne pas faire pleurer sa mère, a préféré ne pas en savoir plus. Mais il y avait peu de photo d’homme dans la maison voir pas du tout au fil des années. Amanda ne se rappelle pas de son visage. Mais, aux dires de sa mère, s’était un homme bien.

Amanda a passé son enfance dans la banlieue de Las Vegas. Et contrairement à ce qu’on voit dans les films et les promos des tours opérateurs, Végas n’est pas qu’une ville lumière ou tout est grandiose. C’est aussi une ville pleine de crimes, de zones défavorisées, ou les gangs sont présents et actif. Drogues, prostitutions, meurtres, font le charme de la zone non touristique de Vegas. Bon ok c’est assez noir comme tableau.  Pourtant c’est comme ça. Elle vivait au début de son enfance dans une petite maison avec un petit jardin. Sa mère enchainait les petits travaux mal payé pour pouvoir payer le loyer, et un minimum d’école pour Amanda. Mais les choses sont ce qu’elles sont et les études, même primaire, sont chères.  Et les propriétaires  ne sont pas tous clément avec les retards de payements. Malgré la gentillesse de ce dernier, sa compréhension, et sa compassion pour le statut de la mère d’Amanda, il dut se résoudre à leur demander de quitter les lieux. Il ne leur réclama pas les trois mois de loyer en retard si elles partaient.

Amanda connu ainsi son premier déménagement. Non pas vers un coin plus paisible ou même semblable mais pour une zone de la ville plus dense et moins charmante. Le soir on pouvait entendre les sirènes de police. Et ce pratiquement toutes les nuits. Depuis la chambre d’Amanda les coups et les engueulades des voisins. Jusqu’au jour où ce fut un coup de feu. Et la police. Elle se rappelle très bien être descendue pour aller à l’école ce jour-là et avoir jeté un coup d’œil par la porte. L’homme était étendu au sol sa cervelle rependue en parie contre le mur et le fauteuil. Non loin de lui pendait a une corde accrochée au lustre le corps de la femme. Les flics allaient et venait dans l’appartement. Sa mère lui avait caché les yeux rapidement mais elle avait encore cette image en tête de ses deux corps sans vie. Ses premiers cadavres. Mais ce qui l’avait marquée le plus était l’odeur. Il faisait chaud ce jour-là et la présence des mouches rendait encore plus l’image macabre comme si Belzebuth s’en mêlait. L’odeur de chaire morte, mais aussi des déjections de la pendue, lui avait soulevée le cœur si bien qu’Amanda avait vomit son déjeuner a la sortie de l’immeuble.

Le reste de l’enfance n’a été qu’une répétition perpétuelle d’évènements qu’Amanda aurait préféré faire abstraction. Humiliée à l’école par ses camarades de classe parce qu’elle était petite. Rackettée à plusieurs reprises dans la rue. Amanda agrandit espérant un jour devenir plus forte et plus grande pour leur montrer. Elle s’était forgé un but à l’époque. Mais rapidement les problèmes d’argent ont refait surface. Sa mère a perdu son dernier emploi. Rapidement la dépression maternel a laissé entrer les bouteilles d’alcool dans la maison. Bien qu’elle les cache pour ne pas faire subir cela a sa fille, Amanda en a retrouvé plusieurs.

Amanda a quatorze ans lorsqu’elle arrête l’école contre l’avis de sa mère et de plusieurs de ses professeurs qui la voyait comme prometteuse. Mais Amanda voulait aider sa mère. Elle trouve plusieurs petits travaux mal payé comme livreuse de journaux, plongeuse dans un restaurant. Ce n’est pas grand-chose mais sa permet déjà de payer la nourriture, et d’aider à payer les factures. Sa mère recommence à travailler mais de nuit cette fois. Elle prétexte qu’elle a trouvé un travail de femme de ménage dans un hôpital. L’argent rentre à nouveau. Et Amanda reprend des études en cours libre et cours du soir avec l’aval de ses anciens professeurs. Pour pouvoir continuer à aider sa mère. Les rares moments privilégiés avec sa mère, elles les passent à la campagne loin de tout. Là, mère et fille oublient leur misère.

Il ne faut pas attendre bien longtemps pour qu’Amanda découvre qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Sa mère revient de plus en plus souvent avec des bleus et de moins en moins d’argent. Mais c’est un soir en rentrant de son travail au restaurant qu’Amanda découvre la dure réalité de la chose. Sa mère se prostitue pour pouvoir les faire vivre. Sa mère ne peux plus rien caché a sa fille prise sur le fait elle abandonne son client dans la ruelle ou elle se trouvait. Et rentre avec sa fille. Dans les heures qui suivirent le mac débarque dans l’appartement Amanda se réfugie dans sa chambre et se cache. Mais elle entend. Elle entend les cris, mais aussi les coups qui s’abattent sur sa mère. L'homme a un léger accent de l'Est

A partir de ce jour, la mère d’Amanda fut amenée sur son lieu de travail par les sbires de l’homme qui avait enfoncé leur porte. Et elle ne rentrait qu’au petit matin. Souvent Amanda la rejoignait dans sa chambre pour se coller à sa mère en pleur afin de tenter de lui apporter un peu de réconfort. Mais ce fut de courte durée. Ils finirent par rapidement mettre la main sur des preuves qu’Amanda était présente dans la maison. Sa mère fut battue à nouveau pour savoir où elle était afin de la mettre au travail aussi. Mais cette fois elle tint bon et ne dit rien. Lorsqu’ils furent partit Amanda appela une ambulance qui emmena sa mère a l’hôpital. Le diagnostic n’était pas bon. La prostitution avait rendu sa mère séropositive, et les coups répétés lui avaient fragilisé plusieurs organes. Amanda resta à l’hôpital au chevet de sa mère. Celle-ci choisit un moment ou sa fille était sortie pour mettre fin à ses jours. Dans la lettre qu’elle tenait à la main, et qui visiblement avait été écrite il y a longtemps, elle s’excusait de son geste mais ne pouvait plus vivre ainsi. Prise de panique sur son avenir Amanda pris la fuite de l’hôpital devant chez elle se trouvait le mac et ses hommes de main. Amanda entra dans la vie de SDF ainsi. Elle venait d’avoir seize ans deux jours plus tôt.

La vie dans la rue ne lui a pas plus réussit. Hormis la débrouillardise et la survie comme elle pouvait. Rapidement, elle rejoignit un groupe de jeune marginaux de son âge certain aussi SDF d’autre pas mais en passe de le devenir. On lui fit découvrir certain atout de sa personne comme son agilité sa rapidité. Ça facilité pour s’enfuir des rafles de police aux moyens parfois dangereux, lui avait valu le surnom de la catwoman des clochards c’est vrai qu’elle n’avait pas son pareil pour la fuite par les toits ou les parcours extrême. En revanche elle ne volait pas. Son histoire triste se mêlait à celle des autres, jusqu’à ce que l’un d’entre eux un jour lui propose un fixe. Un shoot d’héroïne pour se sentir mieux. Elle l’a pris. Elle en a redemandé. Pour finir elle en était devenue accro.
Étrangement alors qu’il lui aurait été facile de voler pour obtenir de l’argent pour se payer sa dose, on lui proposa un autre deal. Elle refusa d’abord puis accepta et se mis à racoler. Elle se laissait faire et mettait peu d’entrain a l’acte en lui-même. Elle aurait pu aimer le sexe. Mais à vrai dire l’image de sa mère faisant le trottoir lui apparaissait en même temps et la ramenait a un image misérable d’elle. Cette image elle tentait dans l’héroïne de la faire disparaitre mais alors que le dragon rose se jouait d’elle lorsque le shoot redescendait les pleurs et la misère revenait. Lorsqu’elle a finalement été arrêtée elle a expliqué au flic qui avait eu les tripes de la suivre sur le toit que à chaque fois elle avait espéré glisser et tomber pour en finir. Mais que son corps l’en empêchait. Le policier très croyant lui avait répondu c’est que vous êtes protégée et qu’un jour vous serez amené à être quelqu’un. Elle lui avait répondu par un petit sourire.

La justice l’ayant arrêté pour racolage et consommation de drogue la plaça dans un établissement ou elle suivit une cure de désintoxication. Étrangement le policier revint prendre de ses nouvelles à plusieurs reprises. Il l’encouragea à reprendre des études ce qu’elle fit. Les études d’infirmière la passionnent. Elle aurait préfère médecin ou chirurgien. Mais elle n’a pas les moyens. Infirmière ou aide-soignante c’est toucher son rêve a sa façon. Elle réussit ses études d’infirmière au sein de l’établissement pénitencier. Et lorsqu’elle eut finit sa peine, elle fut renvoyée à la vie communautaire.

Elle trouva un travail chez des gens ayant des moyens. Le travail consistait à être la bonne à tout faire de la maison et à appliquer ses connaissances médicales d’infirmière sur un des membres de la famille hémophile et handicapé. En contrepartie elle était logée dans une pièce de la maison. Soyons honnête s’était une cave aménagée en une sorte de pseudo chambre. Elle avait toutefois un revenu financier mais léger. Trop peu pour se permettre de partir et de se trouver un logement à elle. A nouveau elle fut exploitée. Ses journées étaient longues et pénible. Et on ne manquait pas de lui faire savoir que sa place n’était pas dans ce monde. Elle devait éviter les invités. Elle se faisait rabrouée quand ça n’allait pas. Cependant Amanda était une belle femme, elle avait de jolie forme féminine et avait en prison réussis à se refaire une santé correcte et un peu de sport.

Hélas les différences de position sociale, ajoutée à son éternel bonté, ou plutôt son incapacité à se dresser contre l’oppression, ont renforcé l’idée de devenir un jouet sexuel en plus du contrat de boniche et d’aide-soignante. Si bien qu’Amanda fut un jour coincée dans le plus simple appareil dans sa chambre alors qu’elle venait de sortir de sa douche par la maitresse de maison. Celle-ci lui fit des avance, lui proposa même de l’argent, et finit en menaces si elle n’acceptait pas de s’exécuter et de devenir sa chose. Mais cette fois Amanda n’en pu plus et s’enfuit en pleurant. Le soir même elle fut récupérée par une patrouille de police sur un banc d’un parc. Ils l’emmenèrent chez ses employeurs. Et elle découvrit l’ignominie. Ils l’accusaient d’un vol d’une œuvre d’art qui fut retrouvée cachée sous son matelas. Un peu grossier comme planque non ? De plusieurs sommes d’argent. Pas très importante mais tout de même et de façon régulière. Et finalement d’abus sur la personne dont elle devait s’occuper. La suite coule de source. Elle fut défendue au tribunal par un avocat commis d’office qui fit ce qu’il put mais e parvint pas à faire en sorte d’élever le moindre doute et elle fut condamnée à la prison. Étant donné que s’était la seconde fois qu’elle y allait elle la peine fut plus lourde.

Six ans. Six longues années s’étaient écoulées entre le début de la fin de l’humanité et ces derniers jours passés tel un animal dans cette cave. Attachée au mur via une lourde chaine et un collier de métal, Amanda vivait, ou plutôt survivait avec les maigres éléments nutritionnels que lui lançait ses geôliers. Voir en tuant un rat qui avait le malheur de s’approcher de trop près de son corps inerte. C’est qu’elle avait attrapé une belle vélocité. Comment elle en est arrivée là ?

Tout commença la troisième année de son incarcération pour vol et attouchement. On commençait a parler d’une maladie qui faisait revenir les morts. Un virus qui transforme les gens en zombie. Difficile à croire. Et pourtant … Lorsque les gardiens ont commencé à être moins nombreux et plus agressif les détenus ont commencé à être plus hargneux aussi. On a commencé à entendre parler d’élimination drastique dans certaine prison pour utiliser les bâtiments comme fort de protection fasse a la menace pandémique.  Et du coup les détenues se sont rebellées. Il y eut des morts plusieurs blessées aussi. Amanda ne savait trop quoi penser et réagir. Mais connaissant ses compétences d’infirmière elle fut mise à contribution un peu forcée par les plus fortes pour soigner les blessées. S’était relativement facile : placé un bandage, posé une attèle, recoudre une plaie. Mais parfois on lui demandait des choses plus complexes. Retirer une balle d’un membre ou d’un flanc. Elle ne savait pas vraiment y faire. Elle avait eu des cours. Oui mais purement théorique. Sur le retrait de corps étrangers. Elle finit s’y appliqua à plusieurs reprises. La mutinerie dura trois jours avant que les premières blessées et les premières mortes revinrent parcourir les couloirs en quête de chair fraiche. Amanda supplia la mort de la délivré de cette vie de merde. Et celle-ci l’entendit envoyant un de ses pantin la mordre. Mais la douleur de la morsure fit réagir Amanda. Et dans un réflexe de survie elle propulsa de toutes ses forces la zombie contre le lavabo métallique de sa cellule. Le bruit sourd et caractéristique de la colonne vertébrale cédant sous l’impact du choc surpris Amanda. Une telle force elle ne s’en était pas doutée. Même si dans la cour de la prison elle était assez présente à l’appareil de musculation et d’endurance. Elle regarda son poignet.  Il y avait là une belle marque de dents. Un dentiste aurait pu y faire un beau moulage dentaire. Son esprit s’embruma et un léger sourire s’afficha. Certes elle allait devenir une zombie à son tour mais elle serait morte, … Enfin morte délivrée de tout. Elle sortit et alla se réfugier dans les sous-sols, dans la laverie, il y avait là des espace ou se caché en attendant la mort. Elle s’y réfugia et ferma les yeux. Lorsqu’elle les rouvrit elle n’était toujours pas zombie pourtant la nuit était tombée. Et la plaie s’infectait. Elle voulut rejoindre l’infirmerie mais il ne restait plus dans la prison que des zombies et quelque survivant qui tentaient de s’en sortir. Elle retrouva un groupe qui s’était barricadé dans la salle des gardes. Plusieurs était dans le même cas qu’elle. Une morsure mais toujours rien depuis un moment. Mais comme pour Amanda, les plaies commençaient à s’infecter. Il fallait a tout pris allez chercher du désinfectant et de quoi soigner ces plaies. Un petit groupe dont Amanda partit pour l’infirmerie. Mais il fallut passer par l’extérieur et escalader le mur. Amanda se laissa convaincre d’y allez. Et commença son ascension. Elle s’aidait à la fois de la gouttière mais aussi des grille sur certaine fenêtre, des appuis de fenêtre et des barreaux d’autre.  Rapidement les reflexe qu’elle avait acquis SDF en faisant de la voltige sur les toits pour échapper au policier lui revinrent. Elle eut droit à des sifflements d’appréciations de son escalade.  Pour une fois, elle était fière d’elle. Arrivé au niveau de l’infirmerie, elle descella le reste de la grille devant la fenêtre et entra. Elle entendit en bas une des filles qui l’avait accompagné dire qu’elle était un vrai chat. Elle sourit à nouveau amusée de la comparaison. C’est vrai que depuis qu’elle n’avait plus rien d’autre comme univers que les murs de cette prison elle passait pas mal de temps à augmenter sa vitesse son agilité etc. avec ce que l’on mettait à sa portée. Mais jamais elle n’aurait pensé que ça lui aurait servi un jour. Elle trouva ce dont elle avait besoin des bandages, du désinfectant de nettoyage, et un antiseptique a s’injecté. Elle retourna à la fenêtre pour redescendre mais en bas le combat avait commencé. Les deux autres qui étaient avec elles faisaient face à leur congénère rongée par la mort. Elles furent rapidement dépassées .Et Amanda fut seule. Sa première réaction fut de s’injecter l’antiseptique, de nettoyer la plaie et de la bander. Elle n’avait pour échappatoire que le toit. Dans le couloir, et en bas dans la cours, se trouvait maintenant pas mal de codétenues transformées. L’ascension reprit et elle se retrouva sur le toit. Il fallait quitter la prison. Elle se glissa donc le long du tuyau reliant le bâtiment au réservoir a eau. Puis descendit de celui-ci et rejoignit le mur d’enceinte. L’escalade de ce dernier allait poser problème. Les murs étaient lisses et haut. Heureusement pour elle, lors de la mutinerie plusieurs avait tenté leur chance aussi. Elles n’avaient pas pu atteindre le mur, c’est vrai. Mais pas mal une partie de matériel avait été lancé à l’encontre de celui-ci. Elle s’en servit pour grimper. Ce ne fut pas chose aisée et elle glissa manqua de prise en plusieurs endroit. Elle finit tout de même par y arrivée et fuit la prison devenue un mausolée aux morts … vivant. Devant il y avait des voiture de police désertée Elle entra dans une et démarra elle ne s’arrêta que lorsqu’elle n’eut plus d’essence. Elle sortit de la voiture et se mit à marcher. Elle ne savait pas vers ou ni pourquoi. Si elle savait une seule chose. S’éloigner de Végas et du pénitencier. Et vu la direction prise en voiture. Elle avait roulé plein nord.

Sa survie elle l’a doit plus à sa faculté d’observation et d’adaptation qu’à l’aide d’autrui. Amanda mis du temps à s’en sortir pour trouver sa nourriture. Mais elle observa les animaux un moment, les baie que ceux-ci mangeai et celle qu’il laissait. La façon dont les chiens ou les chats chassaient. Au début elle eut des coliques de diarrhées, des maux de ventre, des envies de vomir. Puis petit à petit elle s’adapta. Plus elle mangeait frai meilleurs elle se sentait. Ce qui est normale me direz-vous. Mais lorsqu’on est novice en chasse ou à la pêche ou dans l’art de trouver les bonnes baies. Avoir de la nourriture fraiche souvent c’est pas donné à tout le monde. Le pillage aussi lui ramena quelques vivres supplémentaires et lui ramena aussi pas mal d’expérience en agilité. Grimper aux arbres, aux murs des granges, des maisons pour atteindre un endroit ou l’autre, fuir en courant parce que des zombies approchent, tout cela a permis à Amanda d’augmenter ses capacités physiques. Du plus loin qu’elle se rappel c’est là où elle excellait le plus c’est dans les cours d’éducation physique. Sa mère lui avait déjà dit que depuis toute petite elle n’avait pas son pareil pour grimper aux arbres. Le temps passa et a vrai dire la notion de celui-ci elle la perdit rapidement. Mais elle passa un hivers seule.

Puis au printemps, elle rencontra un petit groupe de personnes  Des vivants comme elle qui s’étaient regroupé dans un petit village. Elle les aida en soignant l’un des leur qui s’était enfoncer un morceau de verre dans le bras. Elle aida aussi l’une des femmes a accouché. Le bébé était hélas chétif et n’avait que très peu de chance de s’en sortir. Elle resta avec eux un bon moment, probablement quelque années. Pour une fois qu’on lui tendait la main.

Mais le sort devait s’acharné sur elle. Elle constata que les réserves de morphine du groupe disparaissaient trop vite. Elle découvrit que deux d’entre eux se droguaient. Elle en avisa le responsable de groupe, qui plutôt que de tenter quelque chose, les abattit froidement avant de la remercier d’avoir mis ça en avant. Elle resta médusée face à la gravité de la situation. Elle se renferma sur elle-même. Et un soir alors qu’elle dormait, elle fut réveillée par la présence dans son dos d’un homme. Elle n’aurait pas pu en douter au vu de l’état du membre dressé qui se frottait contre le tissu de son pantalon. Elle préféra en plus bouger. Elle ne savait comment réagir, il était plus costaud qu’elle. Son instinct lui disait de s’en aller de fuir à nouveau ou de crier. Mais elle n’y arrivait pas. Lorsqu’elle sentit son pantalon glisser le long de ses cuisses et le phallus s’introduire en elle, … elle ne bougea pas plus. Seule des larmes glissèrent le long de ses joues. Lorsqu’il eut finit, elle le sentit s’en allez. Elle respira à plein poumon pour se reprendre. Elle entendit alors rigoler dans la pièce d’à côté. Et un autre entra. Le même rituel eut lieu. Prostituée elle avait été. Prostituée elle était encore. C’est ainsi qu’elle se voyait.

La nuit fut longue. Et le lendemain, elle avait mal, très mal. Que ce soit physiquement parce qu’il se l’était passé comme un jouet. Mais aussi dans son esprit. Elle choisit un moment de la journée ou elle était seule pour fuir à nouveau. Elle courut à travers la campagne. Combien de temps ? Elle ne sait pas. Elle ne s’arrêta pas avant un bon moment.

Elle reprit son périple seule reprenant ses mimiques de plus en plus animales quand il fallait chasser pour manger. Les saisons passèrent à nouveau. Et elle finit par atteindre l’Oregon. Elle trouva sur la route des cadavres de gens exécuté, pas des zombies, non d’autre vivant. Elle n’avait déjà plus grande estime envers l’être humain, mais ces visions eurent le don de lui établir une rage et une honte de ces congénères. Elle se mit à vivre en ermite profitant de ce que lui offrait la région de Millersburg. Beaucoup de zombie. Mais elle se laissait allez à faire parler se rage et sa haine contre eux. Tel un animal jamais elle ne s’attaquait à un groupe. Les seuls qui passaient sous sa rage étaient des zombies isolé qui était entre elle et sa pitance ou son logis du moment. Et lorsqu’elle se laissait couler dans ce torrent qu’étaient la rage qui bouillait en elle, elle ne retenait pas ses coup une planche cassait facilement en un ou deux coup sur un zombie. Pas que le bois soit pourrit, ou que la créature soit solide non mais la violence du coup était tel que cela réduisait l’arme improvisée en morceaux mais éclatait la tête flasque du pantin de mort. Elle n’avait plus cette apparence féminine ou suffisamment de graisse pour dire qu’elle garde une forme humaine correcte. Non en revanche sa musculature était bien la toujours aussi ciselée sur son corps.

Arme à feu : non posséder ne sais pas s'en servir

Arme de corps-à-corps : se qui passe a sa portée : cailloux brique morceaux de verre.

Sac à dos : n'en a pas

Objets de départ :  n'en a pas j'aurais bien dit sa bite et son couteau mais Amanda est une femme et n'a pas de couteau

Votre pseudo : j'en ai eu plein faire un choix est complexe et j'en aurais surement encore d'autre donc on va rester sur Amanda

Avez-vous plus de 18 ans ? oui j'en ai 36

Vos expériences en JDR : joueuse a de multiples jeux de role la saga white wolf ne m'est pas inconnue (Vampire la mascarade / dark age - Loup garou l'apocalypse / dark age - Changelin - Mage - ...) mais aussi Call of Chtullu - In Nomine Satanis / Mana Veritas - Warhammer 40k - ... j'en passe et des meilleurs

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Des suggestions ou des remarques à faire ? pas faire chier la joueuse
Plus concrètement, j'aurais peut être une remarque : les écritures vertes en dehors des panneau de catégorie (ex : le lien "Voir les nouveaux messages depuis votre dernière visite") ne sont pas très lisible sur l'image de fond choisie a moins de faire remonter bouger le forum jusqu'a arrivé sur une teinte qui les rende lisible. Mais en dehors de ça pour le moment rien a redire